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Le marché de l’épicerie

Par   •  3 Juillet 2018  •  8 631 Mots (35 Pages)  •  350 Vues

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Est-il intéressant pour l’entreprise de changer l’agencement de son magasin ?

- Qu’est ce qui pourrait plaire aux clients à l’intérieur du magasin ?

- Quel serait l’agencement idéal pour les clients ?

- Les clients désireraient un self-service rapide ou préféreraient-ils prendre leur temps et profiter du contact en magasin ?

- Qu’est-ce qui pourrait faire venir de nouveaux clients ?

- Connaître les attentes des individus vis-à-vis des services que propose CORNAND.

- Pourquoi les passants ne rentrent pas dans le magasin ?

- Comment attirer de nouveaux clients ?

1. Méthodologie

Mix d’une étude quantitative et qualitative.

L’étude est basée sur deux types d’études. Une de notoriété et une de satisfaction (notoriété + image).

BUT FINAL : Savoir comment agencer au mieux le magasin et découvrir, à travers cette étude, comment améliorer/augmenter le potentiel de l’entreprise CORNAND.

ETUDE AUPRES DE PERSONNES : essentiellement entre 25-35 ans (mais pour avoir des résultats plus satisfaisants, nous devons élargir l’échantillon)

L’échantillon sera donc basé sur les critères suivants :

 Age : 25-5O ans

 Sexe : Mixte

 CSP : CSP +

TAILLE DE L’ECHANTILLON : 250 personnes

Environ 25O questionnaires distribués entre le magasin et la ville de Saint Etienne.

Les questionnaires en magasin comprenant 14 questions.

Les questionnaires pour les passants comprenant 18 questions.

METHODES D’INVESTIGATION : 2 différents questionnaires à administrer :

 Dans le magasin CORNAND,

 Dans la ville de Saint-Etienne.

1. Les perspectives d’avenir sur le marché de l’alimentaire «haut de gamme ».

1) Le marché de l’alimentaire « haut de gamme ».

Toutes les épiceries sont considérées comme des magasins d’alimentation générale, on ne peut donc extraire des données pertinentes puisque chaque épicerie est différente. Certaines se sont spécialisées dans les produits de terroirs, d’autres dans des produits exotiques, des produits italiens, espagnols, épices et quelques entreprises intègrent même dans leur propre production quelques huiles et pâtes fraîches à la vente comme le fait par exemple CORNAND.

Par définition, les produits d’épicerie fine apparaissent comme synonymes de produits alimentaires haut de gamme. Ils sont associés à des produits rares ayant leurs propres spécificités. On peut répartir les produits d’épicerie fine en trois familles qui sont les produits sucrés (confitures, chocolats…), les produits salés (huiles, condiments, épices fines…) et les alcools.

Les produits d’épicerie fine sont de plus en plus innovants et suivent les nouvelles tendances. L’évolution de ce marché est telle que les propriétaires d’épiceries fines cherchent des biens de plus en plus raffinés et sophistiqués.

Le marché de l’épicerie fine a tendance à évolué plus rapidement que l’ensemble des produis alimentaires. D’après le SIAL (salon n°1 mondial de l’alimentation), l’épicerie fine est un marché dynamique et porteur. Il est important de noter quelques chiffres clés de l’étude publiée par XERFI sur le marché de l’épicerie fine et de l’agro alimentation « haut de gamme ».

 En 2010, XERFI évalue le CA du marché de l’épicerie fine à environ 5 milliards d’euros.

 En 2013, les perspectives sur le marché de l’agro-alimentaire restent favorables.

Le bon maintien de ce secteur peut être justifié au dépit des petites structures et par rapport à l’implication des enseignes de distribution qui ont découvert une niche et qui proposent aujourd’hui des produits haut de gamme. Actuellement, en 2013, les consommateurs n’attendent pas des produits totalement différents mais plutôt une innovation par rapport à certains produits, un bénéfice supplémentaire. Le bénéfice peut apparaître dans les notions de plaisir, de santé, de praticité...

Au commencement de l’essor de ce secteur, les produits d’épiceries fines étaient synonymes de produits que l’on ne trouvait pas dans les grandes surfaces ou les commerces. Cependant, depuis quelques années, la concurrence s’est intensifiée avec l’apparition de commerces qui se présentent sur le secteur de l’épicerie fine.

En effet, d’après le quotidien économique « les Echos », Carrefour est en phase d’ouvrir début 2014 une épicerie fine qui fera face aux prestigieuses épiceries fines telles que Fauchon ou encore Hédiard. Elle apparaitra sous le nom « Les Halles de la Madeleine » avec une restauration place de la Madeleine à Paris où les produits pourront être dégustés.

De son coté, Monoprix Gourmet met aussi à disposition de ses clients un large assortiment de produits d’épicerie fine sucré et salé.

Même si ce marché est difficile pour les petites structures et que les coûts restent élevés, les produits d’épiceries fines continuent à séduire les consommateurs même en période de crise. Même si les consommateurs se tournent de plus en plus vers le discount pour leurs achats alimentaires, ils accordent une certaine importance à vouloir bien se nourrir et à la qualité des produits qui leur sont proposés.

Le secteur de l’épicerie fine apparait être en expansion et s’implante au fur et à mesure du temps dans tous les types de commerces. Pour résister à cette pression, les petits commerces font le maximum pour s’adapter et trouver le juste équilibre entre le positionnement haut de gamme et l’arrivée des géants de la grande distribution.

1) Profil type des acheteurs sur le marché de l’épicerie fine

Exemple

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