La théorie de l'échange comparatif de Ricardo est-elle encore pertinente dans le contexte de mondialisation actuel ?

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France = décrochage dans les années 90.

ð Industrie du service qui stagne à l’exportation.

Secteurs forts en ‘67 : automobile, fer, acier 2007 : aéronautique + espace, céréales, produits pharmaceutiques.

Allemagne : fort réinvestissement dans l’industrie 2007 : moteurs, machines spécialisées.

Déspécialisation dans les services.

Italie : retour de l’industrie, déclin des services, maintien de l’agriculture. Voitures, cuir, tissu = 1967

2007: moteurs, cuirs, peau, meubles.

Italie = leader mondial de la chaise.

UK : Plein feux sur les services et désengagement de l’industrie.

Russie= leader énergie minérale, désengagement de l’industrie

Chine = Plein feux sur l’industrie 1 : matériel informatique 2 : matériel de communication 3 : articles manufacturés.

ð 1967 : l’industrie chinoise travaillait sur le textile et les produits manufacturés.

II. Le modèle Grossman Rossi (jointure entre l’éco inter et le management inter)

Article : « Ricardo est mort champagne pour tous »

Depuis les années 30, changement de la globalisation ;

ð Globalisation des affaires repose sur des éléments tangibles ex grandes décisions institutionnelles

- La baisse des tarifs douaniers ; Suppression des barrières douanières intra et extra zone

- La monnaie unique depuis 2002

- Libre échange des facteurs de production avec les accords Schengen

- Harmonisation des normes, libéralisation des contraintes techniques

- Libre accès aux services => services bancaires, services aux particuliers

=> perturbation des services a hautes valeurs ajoutées ( => services réalisés dans le pays d’origine) ; services attachés à la personne.

3 effets majeurs sur le cadre concurrentiel (dehors de l’entreprise)

- Comparaison des produits possible, libéralisation des normes

=> Chaque marché devient plus large, changement de dimension, volonté explicité ou menaces observées.

- uniformisation progressive de conditions concurrentielles de base,

=> chercher d’autres avantages concurrentiels, le capital et le travail et la technologie sont accessibles dans les mêmes conditions à tous le monde => infinité de solutions.

=> Délocalisation

- Plus d’intervenants sur les marchés.

ð Concurrences plus amplifiées, création d’un code du marché public (ex : respect de l’appel d’offre),

ð Elargissement du marché de référence.

Ces mêmes éléments vont avoir des conséquences très lourdes sur le dedans de l’entreprise, la manière dont l’entreprise fonctionne

- Accès à des marchés plus larges, => problème de massifier (logique de standardisation : produit normal de marché élargi)

ð trouver des invariants dans biens et services pour produire chez soi ou ailleurs

- marché plus éloigné accessible=> problème de baisse des couts logistiques et des échanges (jointure entre les nouveaux marchés), logistique interne et externe : jointure avec les clients final. Logistique=> fonction de la globalisation

- libre accès au marché amont => remettre a plat ou j’achet a qui, dans quelles conditions.

- Obligation de penser a des marchés de distribution pour les entreprises

ð Accès facilité à des marchés plus larges

- Exposition toujours plus grandes à des variantes de coûts

=> Solution alternative

- Harmonisation Normes techniques

Monde concurrentiel qui oblige à maitriser

Ex : fourassier avec le coiffeur

Economie traversée par trois contraintes

- Economies d’échelles

ð fabriquer plus avec moins de facteurs, double logique prix qualité qui s’enchevêtre

ð Confrontation augmentée par globalisation rendent plus présent les économies d’échelles

- Economie de variétés

ð Hyper choix, plus large, modification, amélioration

ð problème renouvellement accélérée, cycle de vie des produits de plus en plus court.

ð Démultiplication des modèles, produit personnalisé dans un prix raisonnable.

- Economie de vitesse

ð Délai de livraison, accessibilité aux produits

ð Rendre les choses accessibles rapidement tout en ayant une exigence de qualité de prix

Conclusion

- les documents et résumer

- Jointure entre le cours d’éco inter et management inter.

Lire « Ricardo est mort, champagne pour tous » de Grossmann-Rossi. Cela raconte qu’il est aujourd’hui impensable de penser le commerce international comme une affaire d’avantages comparatifs. Phrase clé : dans la théorie classique du commerce inter, l’échange entre un pays riche et un pays