L'adoption un marché comme les autres
Par Christopher • 22 Mars 2018 • 1 114 Mots (5 Pages) • 664 Vues
...
par un juge et non pas à trouver des enfants pour des couples en fessant la demande même si leur demande est légitime. L’adoption doit également être gratuite, de cette façon elle ne peut pas entrer dans un marché quel qu’il soit. Pour évité des dérives, il existe des lois qui sont différentes en fonction des pays.
Mais dès le moment où pour une adoption international on en vient à utilisé les termes d’offres et de demande, on entre alors dans une logique de marché et d’intérêt lucratif, qui passent inaperçu en se cachant derrière des principes et sentiments humain importants. Malheureusement certain couples dont le désir d’enfant surpassasse leurs conscience rationnel, ont crée involontairement un trafic qui peut se confondre avec un marché, puisque pour une demande toujours de plus en plus importante on crée l’offre.
Ce qui a crée l’existence de dérives, comme par exemple dans certain pays non signataire de l’Haye, des parents non consentant et/ou qui n’on pas comprit les conséquences de la signature d’un consentement que leur on fait signé des personnes très intéressé financièrement en « oubliant » tout droit de l’homme. En ayant également parfois recourt a un « racket financier » organisé pour les parents adoptifs, cette pratique étant majoritairement utilisé dans les pays en développements. Elles sont illégales est souvent utilisé sur des femmes pauvres, devant s’acquitter d’une dette, étant prostitués, ayant eu un enfant hors mariage… Les conséquences de ces actes sont d’abord très graves pour les enfants adoptés, mais aussi pour les familles d’origines et les familles adoptante, car l’âge et les antécédents médicaux sont souvent cachés, mais aussi un sentiment de culpabilité pour la famille adoptante apparait ce qui amène à des échecs graves comme par exemple un deuxième abandon de l’enfant mais l’enfant peut également être rendu responsable de cette fraude par les parents qui n’ont pas eu, l’enfant de leur rêve.
L’enfant doit également être informé et consulté sur n’importe quel projet de sa vie, en prenant en compte bien sur de son âge et de son degré de maturité. Il a son avis à dire, contrairement a un bien ou un service qui son mis sur le marché.
L’enfant est également unique, chaque enfant a des besoins unique, ils sont différents, et chaque discisions seras prise sur mesure pour que l’enfant soit au mieux dans son futur milieu de vie (solution familial, permanente, provisoire, nationale…) en étudiant son histoire, sa situation personnelle et familial. La famille adoptive doit pour cela être préalablement reconnue qualifiée et apte à assurer durablement la protection et le respect de l’enfant ayant un certain vécu et ayant put vivre des événements traumatisants.
La protection de l’enfant en état de vulnérabilité ne doit pas être une source de profit matériel ou autre. Tout les abus, trafics en la matière « viole » les droits fondamentaux de l’homme et doit donc être sévèrement puni par l’état. Par ailleurs tout dons aux pays d’origine de l’enfant ou a l’organisme du quel il provient doivent être fait après l’adoption, ce qui permet de limiter les dons qui pourraient servir a se procuré ou a choisir spécialement un enfant.
Pour c’est raisons l’enfant ne peut être considéré comme une marchandise et plus particulièrement pour des raisons d’éthique, des lois existent d’ailleurs pour essayer d’éradiquer cette forme de « trafic ».
...