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Sociologie, la migration

Par   •  12 Novembre 2018  •  1 132 Mots (5 Pages)  •  437 Vues

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• Une bourgeoisie « progressiste » contre la bourgeoisie traditionnelle et contre les minorités ethniques et pauvres. Cette bourgeoisie progressiste va revenir en ville, en raison économique mais aussi pour certaine des valeurs importantes, que les femmes doivent pouvoir travailler, c’est penser des raisons égalitaires entre les sexes, avec moins de contrainte liée au transport géographique ainsi que les logements plus petits. Année 60, s’installe cette bourgeoisie progressiste avec un enjeu de concurrence pour transformer le territoire, changer la confédération du peuplement avec des gens qui vont prendre le rôle d’entrepreneur. Un quartier a fort discours de respect social, ce sont alors les « outsounders » (nouveaux du quartier) qui prendront le pouvoir économiques et non les anciens dans le quartier.

c) Anaïs Collet, La croix rousse à Lyon, Bas-Montreuil aux portes de Paris

- 2004-2010

- Quartiers marques par une gentrification inégalement achevée :

→ Plus ancienne à Lyon – en cours à Montreuil → on est dans une gentrification en cours, car une juxtaposition

- Différentes générations de « gentrifieurs » :

→ Groupes sociaux militants qui vont exiger des éléments

→... aux professionnels de la culture et aux cadres du public et du monde associatif

Dans ces deux dernières enquêtes on a une situation dans laquelle une dynamique du peuplement qui va dé-saisir les anciens de leur pouvoir. Ce pouvoir va être accaparé par les nouveaux arrivants, et qui va être un facteur de changements social.

- D’autres exemples de relations entre établis (personnes anciennes) et marginaux ? Ou inclus et exclus ?

2. D’où̀ les « établis » tirent-ils leur force ?

- La construction d’une « communauté́ » Plus le groupe est soudé, intégré, plus le groupe est cohésif et plus il est en mesure de faire respecter et imposer leurs règles :

→ L’importance de l’intégration sociale : pas de. Possibilité des nouveaux, de nouvelle valeur dans la vie du quartier, et ce qui garde le pouvoir c’est théoriquement le groupe qui l’a organisé. Les nouveaux arrivants, ce qui va leur permettre de tenir le quartier et d’imposer de nouvelles normes, c’est qu’il construit des collectifs, t l’intégration sociale est la définition du pouvoir nouveau→ Elias p 33-34. L’intégration sociale c’est le fermant qui définit la dynamique des groupes qui ont le pouvoir. Le pouvoir dépend d’abord de notre capacité d’organisation et cohésion. Également, celui qui donne le pouvoir aux groupes est celui de capital social qui permet l’intégration social auquel il appartient.

- Engagement dans une sociabilité́ intense (Collet p 220-225) :

- Engagement dans le monde associatif

- Engagement dans les politiques publiques

- Une manifestation ambiguë de l’intégration : le commérage, c’est le produit de l’intégration, moyen par lequel on disqualifie la personne (Elias, p 34-36/Collet, p 238-240)

- Engagement individuel et collectif dans l’appropriation de l’histoire des lieux :

→ Rôle central de l’ « autochtonie »

→ Valorisation architecturale→« Patrimonialisation » des lieux

3. La dynamique des relations sociales

- L’importance de la construction collective de l’identité́ des groupes

- Les conditions de l’ouverture

- La valorisation de la « diversité́ »

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