Culture général cas
Par Orhan • 20 Février 2018 • 1 081 Mots (5 Pages) • 512 Vues
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n’y a aucun impact sur les colonies pénitentiaires, ce n’est que en 1934 et grâce au soulèvement des colons de Belle-île-en-Mer que plusieurs campagnes de presses parlerons de ce sujet. C’est ces dernières qui un an plus tard feront prendre des mesures au législateur comme la dépénalisation du vagabondage et c’est à cette même époque le peuple prendra conscience de ces réformes. C’est enfin dans les années 1937/1938 que les premières réformes en partenariat avec le milieu de l’enseignement professionnel se feront. Les jeunes gens sont donc réincarcérer dans le milieu pédagogique. Malgré cela il faudra encore vingt ans pour que ces endroits n’est plus aucun lien avec les pénitenciers.
4. Comparaison de documents
Le thème de cette synthèse est les droits des enfants dans les maisons de redressement à Belle-île-en-Mer au 19ème siècle.
Les conditions de vie dans les maisons de redressement
Les conditions de vie dans ces maisons sont très compliquées ; dans la présentation du texte de Prévert on parle de mauvais traitements de la part des gardiens, de nourriture immangeable. Prévert lui parle carrément d’enfant mort tuer sous les coups des gardiens qui font écho aux propos d’Emmanuelle Bouchez qui parle elle aussi de ces violences faites aux enfants qui se termine parfois par la mort de ce dernier. Jacques Bourquin lui parle des dortoirs de plus en plus étroits.
La peine qui ne laisse pas beaucoup de place à l’éducation
Comme il est dis dans le préambule de Jacques Bourquin les lois n’ont jamais su vraiment se placer entre la peine et l’éducation de ces jeunes gens en maison de redressement. Comme il le dit clairement il a fallu un certain temps pour que l’éducation réussisse à se faire une place dans ce milieu ou l’on préfère punir qu’apprendre. La seule chose qu’il apprenne c’est comment survivre dans ce milieu comme le dis Emmanuelle bouchez.
La dénonciation de ces centres pénitenciers et de ces pratiques par la presse
Comme il est dis dans le préambule du poème de Prévert le fait divers de l’évasion de ces jeunes gens va alerter la presse qui va s’emparer du sujet. Les propos de jacques Bourquin font échos a ce préambule car lui aussi parle de journaliste comme Louis Roubaud qui dénoncera ce qu’il se passe a l’intérieur de ces endroits, ce sera ensuite de nombreuses campagnes qui relaieront ces information et c’est grâce a tout ces journalistes que les gens prendront conscience de ce qu’il se passe dans ces pénitenciers. Emmanuelle Bouchez parle elle aussi de ces journalistes qui ont fait bougés les choses comme Alexis Danan ou Albert Londres qui eux aussi ont dénoncés les conditions de vie horribles de ces jeunes gens.
L’inspiration qu’à engendrer ces conditions de vies
Prévert qui a souvent dénoncer ce qui le révolter le fait encore une fois en dénonçant le fait divers de Belle-île-en-Mer a travers tout son poème comme il est dis dans le préambule il n’est pas le seul à avoir était inspiré Marcel carné lui aussi a utiliser ce fait comme source d’inspiration. Ce qui fait clairement écho aux propos d’Emmanuelle Bouchez sur le documentaire qu’elle commente lui aussi inspirés de ces tragiques évènements.
Commentaires du correcteur :
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