Bts 1ère année culture générale
Par Orhan • 11 Décembre 2017 • 1 873 Mots (8 Pages) • 527 Vues
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l’emblême française : le bérêt. Celui-ci est arboré du blason AOC et aux couleurs de la France. Ces deux produits sont ici représentés comme étant des produits du terroir français.
Ces deux personnages principaux sont mis en présence avec des produits venus de l’étranger. La vache charolaise est confrontée à une vache asiatique de couleur jaune, aux yeux bridés et portant un chapeau chinois orné d’un drapeau du pays et coiffée de deux nattes. Le représentant au bérêt est lui confronté à un sandwich d’une taille énorme nommé « hamburger » qui coule et qui est orné d’un fanion où est écrit « Burger Land » qui démontre sa provenance Outre Atlantique. Cette présence étrangère n’est pas d’une grande gaïété. Le regard de la vache française vis-à-vis de la vache chinoise est très méfiant. L’expression du visage du français à la vue du hamburger est caractérisé par le dégoût et aussi par l’étonnement de cette abondance de nourriture superposée qu’il tient dans sa main. Ce sandwich lui paraît énorme et lui fait peur ainsi que ce qui en coule. On peut aussi dire, que le premier dessin peut aussi nous induire en erreur sur le produit. La vache chinoise porte une médaille du premier prix de la vache charolaise. On peut parler de tromperie sur le produit. Dans ces deux dessins, la France est représentée de façon ironique et huloristique par une vache et un bérêt et la Chine est représentée par la couleur jaune, les yeux bridés, les nattes et le chapeau chinois. Mais dans notre pays, il existe d’autres produits qui nous représentent.
1.5
1.6
1.7 I/ L’identité alimentaire : une réalisation obtenue avec différents facteurs
1. l’élément « phare » : rencontrer des autres cultures
2. la fonction des produits
3. la fonction de l’homme
II/ L’identité alimentaire et ses différentes causes
1. les conséquences économiques
2. les aboutissements positifs culturels
2. Rédaction de la synthèse
L’identité alimentaire d’un pays est en premier élaborer par plusieurs choses.
Au préalable, comme on peut le lire dans le premier document, Alexandre D. nous explique que pour que l’identité alimentaire soit forte, il faut qu’il se réfère à d’autres cultures. Comme l’exemple de la Belgique qui grâce à l’exposition universelle de 1910, lui a permis de pouvoir construire son identité alimentaire.
Eve Mongin, elle aussi est en accord avec cette conception. Malgré l’exemple des italiens qui eux sont beaucoup plus hostiles aux culture.
Après cette façon de se forger une identité alimentaire, d’autres points sont eux aussi capitales : les richesses du patrimoine alimentaire ont un rôle très important. Cependant, cela n’est pas vérifié dans tous les pays.
Catherine Dumas, pense que la France a un patrimoine très riche grâce à la qualité de ses produits qui sont en partie dû à sa situation géographique et de ses micro-climats différents.
Comme nous le démontre aussi Yves Lasserre avec l’image représentant un emblême français : la vache charolaise. Pour un pays comme la Belgique par exemple, Alexandre D. ne pense pas la même chose. Hormis quelques produits spécifiques, la Belgique s’est construit une identité alimentaire en adoptant des recettes d’autres pays mais en les modifiant. Comme le bœuf bourguignon français qui a été copié en changeant le vin par de la bière(ingrédient spécifique à la Belgique).
Cette identité alimentaire ne pourrait pas être sans l’intervention de l’homme. Son rôle a une place très importante. Tout d’abord, dans le travail effectué pour pouvoir récolter, créer tous les produits variés que nous avons en France. Les hommes politiques eux aussi sont très importants. La protection de certains produits par des labels comme nous l’explique Catherine Dumas.
Alexandre D., lui pense qu’il y a quatre personnes qui ont un rôle dans l’elaboration de l’identité alimentaire : les restaurateurs, les clients, les écrivains(guide Michelin) et les commerciaux. Ces quatre personnes sont liées tout en exerçant leur rôle de façon différente mais complémentaire.
Dans un pays, l’identité alimentaire doit aussi avoir une signification économique. Comme nous le démontre Catherine Dumas, en France les métiers liés à la nourriture génèrent énormément d’argent et ont aussi un impact très fort sur l’emploi. Elle nous dit aussi, combien la cuisine française est perçue dans le monde. Nos chefs sont très sollicités dans les autres pays et de nombreux chefs étrangers viennent afin d’apprendre notre cuisine. Cet échange est très bénéfique et enrichit notre patrimoine. Cela n’est pas le cas dans tous les pays. Comme nous le démontre Eve Mongin en parlant de l’Italie. Ce pays est très fermé à l’ouverture des autres cultures culinaires. De nombreuses querelles de voisinage sont en partie liées aux odeurs différentes des leurs. L’exemple du maire de la ville de Lucca est très démonstratif à ces hostilités. Il a interdit l’installation de restaurants venus d’ailleurs. Mais malgré cela, une certaine méfiance vis-à-vis des produits peut aussi intervenir. Comme nous le montre Yves Lasserre avec la vache chinoise et la vache charolaise française. La vache chinoise porte une médaille de premier prix d’un concours. Cela veut donc dire que l’usurpation est présente et que seul son chapeau et ses nattes démontrent qu’elle n’est pas issue de la France. Il faut donc être très prudent vis-à-vis des produits venus d’ailleurs et qui arrivent dans notre
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