Assurance Sécuriplus
Par Ramy • 30 Octobre 2018 • 849 Mots (4 Pages) • 453 Vues
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pas le rendement requis. Si le cas de l’entreprise Assurances Securiplus correspondait au principe de l’autorité et la responsabilité, mentionné dans le concept d’administration classique de Fayol, M. Blanchette aurais donc été punis pour son manque de leadership face à cette situation.
Néanmoins, la plus grande similitude entre les principes administratifs définis par Henri Fayol et l’entreprise Assurance Sécuriplus se retrouve certainement au niveau de la hiérarchie. Prenons comme exemple la division médicale: << la division médicale comptait 66 employés répartis comme suit: sept cadres supérieurs, 20 vendeurs, 25 commis de bureau et 14 préposés à l’administration >> . De toute évidence le système de hiérarchie était présent puisqu’il y avait possibilité de faire partie de 4 niveaux hiérarchiques différents.
Sur la base des postulats du mouvement des relations humaines et du modèle participatif, quelles critiques pouvez-vous adresser à l’entreprise Assurance Securiplus?
Tout d’abord, un des points du mouvement des relations humaines est l’importance qu’on doit apporter à la satisfaction au travail des subordonnés. L’importance de créer une bonne atmosphère, incitant les employés à travailler ensemble vers le même objectif. Dans le cas de M. Blanchette, les continuelles reproches qu’il fait à ses employés n’aide certainement pas à les garder motivés. Non seulement, les employés ne sont pas motivés mais après avoir reçu plusieurs mémos menaçant leurs emplois, ils ont maintenant crainte de perdre leur travail. M. Blanchette va fréquemment blâmer ses employés de leur mauvais travail et pourtant il n’apporte aucune suggestion pour améliorer le rendement ou l’efficacité des subordonnés.
Pour bien illustrer le manque de leadership de M. Blanchette et son manque de connaissance du modèle participatif voici l’extrait suivant:
Encore un exemple, l’autre jour Olivier Le Scelleur un autre commis aux réclamations est venu me voir pour me dire que les bruits de corridors faisaient état d’une vérification des réclamations en cours. Il estimait que les commis aux réclamations devraient être consultés afin de pouvoir expliquer les erreurs et suggérer des façons d’améliorer les choses. Pouvez-vous imaginer ça!
M. Blanchette n’est aucunement à l’écoute de ces employés et selon moi cela semble être cruciale pour le bon fonctionnement du département. Les propositions suggérées par les employés pourraient faire de grandes différences et éventuellement accroître l’efficacité du service des réclamations médicaments.
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