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De la nature à la culture: L’institution de la société.

Par   •  4 Décembre 2018  •  2 040 Mots (9 Pages)  •  512 Vues

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tous était formé, éduqué, cultivé par une culture particulière qui a sa propre histoire. Tous les hommes ne vont donc pas cultivé leur capacité commune de la même façon suivant les sociétés auxquels ils appartiennent. C’est pourquoi si l’on veut pouvoir repérer ce que ces société on fait de l’homme, on ne peut pas seulement les comparer les unes au autre car nous n’aurions aucun critère de comparaison fiable, c’est a dire indépendant d’une culture particulière. Il faut donc s’imaginer ce qu’aurai pu être l’homme avant toute socialisation, avant toute culture autrement dit c’est une sorte d’homme des origines et en même temps il faut repérer ce qui est commun à tous les hommes que nous connaissons car c’est ce qui définit notre nature commune et c’est ce qui doit donc permettre de définir les caractères de cet homme naturel. Rousseau pour construire cette hypothèse va se servir d’une démarche scientifique que ses contemporains utilisés dans de nombreux domaine. Cette démarche c’est l’empirisme (l’expérience) en effet de nombreux savants ce disait empiriste parce qu’il pensé que toute nos connaissance avait une origine empirique, toute avait commencé par des expériences sensible qui réitérées pourrait grâce a la mémoire former des idées plus générales et plus abstraite. Les connaissances et les comportement des hommes pouvait donc s’expliquer par une histoire, une genèse qui commencé nécessairement par des sensations. Rousseau va donc employé la même méthode pour construire l’hypothèse de l’état de nature: il va ôter à l’homme tout ce qui est complexe, lié à la société pour ne retrouver que les émotions, les sentiments élémentaires qu’il devait avoir à l’origine. Les raisonnements, le langage ne peut pas exister à l’état de nature.

2) Les récits des explorateurs et les traités des naturalistes

Rousseau va consulter ses ouvrages afin de dégager ce qui est commun au homme, en effet c’est en comparant différente culture qu’il est possible de distinguer ce qui est commun et ce qui est particulier. Les sauvages, les peuples primitifs ne vivent pas à l’état de nature, il on des cultures, une histoire qui leur est proche mais en même temps leur mode de vie permet de relativiser celui des Européens et sans doute plus proche des origines. Quand au naturaliste il vont lui permettre d’inscrire l’homme dans le monde des êtres vivants tout en repérant ce qui distingue l’homme des autres animaux

3) La rêverie

Rousseau écrira à la fin de sa vie les rêverie du promeneur solitaire et il y explique quand dans l’expérience de la rêverie, dans la nature on peut retrouver des expériences qui ressemble a celle que pourrai avoir eu l’homme de l’état de nature. Car dans la rêverie nous sommes dans une sorte de somnolence et nous ne faisons plus vraiment la différence entre nos impression, nos représentation et le milieu ambiant qui les provoques. Se serai donc un état antérieur a la prise de conscience de soit, qui ressemble donc a l’expérience des enfants et sans doute à celle d’homme qui ne vivrai pas encore en société.

I) L’hypothèse de l’homme à l’état de nature. (1ère partie)

1) L’homme nature (au point de vue physique)

Rousseau commence par établir qu’il imaginera l’homme naturel anatomiquement semblable à ses contemporain. Certes les scientifiques de sont époque fessaient des hypothèse sur une possible évolution anatomique des espèces vivantes, l’intuition peut même être retrouver dans l’antiquité. Mais au 18eme siècle Rousseau considère que c’est théorie son trop peu fiable, c’est pourquoi il considérera l’homme naturel physiquement semblable à lui. Ce qui caractérise l’état physique de l’homme naturel c’est premièrement une grande facilité de subsistance car la terre est immédiatement fertile et l’homme trouve dans la nature tous ce dont il a besoin. Il peut donc vivre seul. Il n’à pas d’instinct déterminer comme les autres animaux mais il sait les imités, il est aussi omnivore. L’homme à des sens différemment aiguiser que l’homme moderne, il est plus rude. Deuxièmement l’homme ne rencontre pas d’hostilité particulière des autres animaux ni même des autres hommes. En effet Rousseau pense que l’homme naturel est semblable au autre animaux sauvages qui en dehors des rapports de prédation ou territorial, vivent plutôt dans une sorte d’indifférence les uns les autres. Troisième problème l’enfance la vieillesse et les maladies. L’enfance est vécu sous la protection de la mère et quand elle n’est plus nécessaire l’enfant est laissé a lui même. La vieillesse et la mort, l’homme naturel n’a aucune notion du temps, il ne fait presque pas d’anticipation. Quand a la mémoire elle est plutôt agit, c’est a dire sans représentation consciente des souvenirs. L’homme ne s’inquiète donc pas de sa mort à venir en vieillissant c’est faculté diminue et il meurt comme on s’endort ce qui préserve donc un rapport harmonieux avec la nature jusqu’a la fin. Les maladies, la plupart de nos maladie provienne de l’état de société car elle vont favoriser le développement des excès, des passions qui sont a l’origine de nombreux dysfonctionnement physique.

Article ‘droit naturel’, encyclopédie Diderot « Celui qui ne veut pas raisonner, renonçant à la qualité d’homme, doit être comme un animal dénaturé

Rousseau prend position ici contre Diderot qu’il soutenait une position plus classique, rationaliste dans la ligne d’Aristote et Descartes. Pour Diderot l’homme ce distingue des autres animaux parce qu’il est doué de raison, il est capable de réfléchir et il est donc responsable de ses actes. A l’opposé Rousseau pense que la raison ne ce développe chez l’homme qu’avec la culture et la société et qu’elle participe donc au excès que les hommes produisent quand ils vivent en société ce qui fini par les rendre malade. Rousseau ne voit donc pas dans la raison le signe de la supériorité de l’homme sur les animaux, il s’oppose donc nettement au encyclopédiste qui pensait que le développement de l’instruction permettrai de rendre les hommes meilleurs et plus heureux. Rousseau s’inscrit donc plutôt dans la suite du mythe de Prométhée qui voyait en l’homme un être monstrueux, animal oublié de la nature et doté de faculté divine qu’il ne sait

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