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La crise de 1929: le grand Krach

Par   •  28 Avril 2018  •  2 391 Mots (10 Pages)  •  602 Vues

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Ainsi de nombreux bureaux de courtages sont ouverts à travers tout le pays ce qui conduit les gens à emprunter des sommes gigantesque pour acheter des actions et spéculer en bourse : la bourse est devenue omniprésente dans la culture du jeu des années 20.

III.FIN DES « ROARING TWENTIES »… DEBUT DE LA CRISE

Au milieu des années 20 près de 3 millions d’américains possèdent alors des actions à la bourse et Wall Street continu de captiver l’imaginaire, les histoires de fortune gagner du jour au lendemain laissent croire que le marcher sera sans cesse à la hausse et que les actions ne peuvent que grimper. [pic 5]

Les grands spéculateurs de Wall Street devenaient des vedettes : ils projetaient une image créatif qui amenait la richesse a l’Amérique, Joseph Kennedy le père du future président Kennedy faisait partie de cette nouvelle race de superstar de la finance leur succès rapide en bourse servait de modèle à la population,

A la fin des années 20, 90% du prix d’achat des actions étaient payé avec de l’argent emprunté et donc une grande partie de l’économie américaine était basée sur les emprunts accordés pour investir à la bourse.

Cette énorme afflux d’argent emprunter et investit à la bourse crée alors une demande grandissante pour les actions, en 1928 le marché grimpe de près de 50% en 12 mois à peine et à mesure que les actions montent de plus en plus d’investisseurs empruntent de l’argent pour prendre part à la fête.

Cette orgie de spéculation non réglementée continua de s’étendre, et une dégringolade fatale créa une dépression qui a touché tout le pays.

IV.1929 : LE GRAND KRACH…

De Mai à Septembre 1929, soixante nouvelles compagnies s’inscrivent à la bourse de New York et font gonfler la bulle financière en ajoutant plus de 100 millions d’actions au marché. Au mois de septembre le marché devient de plus en plus volatile.

Peu avant la clôture du Mercredi 23 Octobre 1929, et sans crier gars le prix des actions à la bourse s’effondre, les investisseurs sont sidérés depuis cinq ans le marché n’avait connu que des hausses, en l’espace d’une heure le nombre ahurissant de deux millions et demi d’actions sont vendues, et une heure avant la fermeture, une chute brutale des actions dans le secteur d’’automobile provoque une vague de transaction frénétique, des millions d’actions sont soudainement vendues.

On situe le début du krach au Jeudi 24 Octobre 1929 « the black Thursday » jeudi noir, on assistait à des baisses énormes, 13 millions d'actions sont vendues les cours s'effondrent.

Plusieurs spéculateurs réalisent alors pour la première fois que la facilité de crédit et l’achat sur marge comporte aussi des risques.

La dégringolade se poursuit, des milliers de gens ont commencé à se rassembler dans les rues très peu de gens dans cette foule mesuraient l’ampleur du désastre qui allait se produire.

[pic 6]

À midi, l'indice Dow Jones a perdu 22,6 %, les banques tentent de soutenir les cours.

Le lundi, le marché a commencé à baisser encore plus lourdement.

Le Mardi matin du 29 Octobre 1929 « The black Tuesday» les ordres de ventes arrivaient par gigantesques vagues sans discontinuer, 16 millions d'actions sont vendues, les cours continuent à baisser.

En 36 heures l’ensemble de l’économie américaine avait perdu 22% de sa valeur, la dégringolade a été si brutale que plein de gens ont été ruiné.

Les cinq jours suivants, une catastrophe financière allait saper les fondations même de la prospérité de l’Amérique, on estime qu’à la fin de ces cinq jours de transaction 25 milliards de dollars de richesse commune avaient tout simplement disparus : Wall Street s’effondrait.

En 22 jours, la chute des valeurs industrielles est de plus de 40 %.

L'effondrement est le résultat d'une surcote qui durait depuis des années, mais aussi celui d’une panique qui saisit possesseur d’actions et courtiers.

Les conséquences de ce krach catastrophique vont se répercuter partout en Amérique même ce qui n’avaient jamais détenu d’actions, ceux qui n’avaient jamais profité des années faste de la bourse deviennent eux aussi des victimes.

V.CONSEQUENCES DE LA CRISE

V.1. LA GRANDE DEPRESSION : DE LA CRISE BOURSIERE A LA CRISE BANCAIRE (CHOMAGE ET MISERE)

- Aux Etats-Unis

La population entre dans un cercle vicieux destructif, qui durera plusieurs années.

Dans l'éclatement de la bulle spéculative, trop de plans d'investissements se sont avérés insolvables, voire frauduleux. La crise boursière dégénère très vite en crise bancaire.

Prises en tenaille entre l'effondrement de la valeur de leurs actifs les défauts de remboursement de leurs emprunteurs, et la réduction de leur activité de crédit, des banques font faillite au premier faux pas et finalement le système bancaire s'effondre.

La population s'accrochant au peu de monnaie qu'elle possédait encore, il ne resta pas assez de liquidités sur le marché pour qu'une quelconque activité économique puisse inverser la tendance.

Le krach a miné la confiance des américains dans leur système bancaire, un système fragile constitué de milliers de petite banque locale qui n’avaient pas la taille ou la réputation nécessaire pour convaincre leurs clients que leur argent était en sécurité chez eux…et c’est l’effet dominos qui s’amorce.

En mars 1930, 35 000 personnes défilent dans les rues de New York.

Entre 1930 et 1932, 773 établissements bancaires firent faillite, ce qui va faire augmenter de manière conséquente le taux de chômage au début des années 1930 : il atteint 9 % et 13 millions de chômeurs en 1932. [pic 7]

En deux ans environ trois milles banque ont fermées : tout le système financier est devenu instable et ne valait plus rien, très rapidement le manques de liquidités et les pertes de capital ont placé les compagnies dans une situation critique elles ont dues procédées a des mise à pied ou même stopper leurs

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