Observation d'un repas de famille
Par Andrea • 4 Décembre 2018 • 2 738 Mots (11 Pages) • 847 Vues
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On sert les enfants en premier qui sont assis sur une petite table à part peut être par raison pratique mais c’est aussi pour marquer une distinction d’âge, c’est assez traditionel de procéder ainsi, c’est les anciens ui considéraient que les enfants n’avaient pas à suivre les conversations des adultes
On observe que c’est les femmes, debout qui servent à manger, alors que les hommes eux mangent déjà et s’inquiète de savoir si du bien-être de tout le monde, de la plus âgé à la plus jeune ( aza ?), sauf la mère. Il en va de même lors de la préparation du repas, ce sont les femmes qui ‘en occupent. La seule tâche exercé par un homme Rhiad est celle de la préparation du poisson. Illustrant ainsi la nature des rapports hommes –femmes, la femme étant un être protecteur qui doit prendre soin de son mari.
Julia arrive un peu après, le repas à déjà commencer. Elle arrive avec son fils, Akhim et son frère Sergeuï, son mari Majid étant arrivé plus tôt. Elle a le visage fermé et on sent qu’une certaine tension s’installe quand elle fait son apparition, peut être est ce du au fait qu’ils ont du retard et que les réfléxions à ce propos fusent. En regardant le film un peu en amont de la scène du repas à proprement parlé, on apprend que son retard et lié à une querelle entre elle et son mari, qui porte sur les infidélités de son mari. Sarah venant les chercher pour le repas, intervient et met fin à la querelle, sous le prétexte que c’est dimanche et qui faut donner le sentiment que tout vas bien, c’est dimanche, c’est le repas de famille, il faut que chacun mette ses problèmes de coté et faire en sorte que l’ambiance soit onvivial et jovial. Bien évidemment quand Julia entre chez la mère et que tout le monde est attablé tout cela passe sous silence et elle s’assied à coté de son mari naturellement. Et pourtant un peu plus tard dans le film on apprend que toute la famille est au courant des infidélités de Majid, mais personne ne dit rien, et tout le monde fait semblant. Ce qui amène Julia a traité cette famille d’hypocrite, derrière les apparences se cache une réalité moins joviale.
Sarah, fait son entrée c’est la dernière arrivé, elle dit bonjour à la mère et à Julia, elle engeule son mari et demande à Olfa, sa sœur « Où est ma place ? » cette dernière ce lève et va chercher une assiette et un couvert supplémentaire pour la retardaire. Cela montre une fois qu’outre le rapport de domination homme-femme, on retrouve une certaine hiérarchie en fonctio de la génration, les individus ont toujours l’acsendant sur plus jeune qu’eux. D’ailleurs quand olfa dit que c’est elle qui a fait les piments, sa grande sœur karima la taquine gentillement, « quand elle fait qqch elle le dit !, c’est tellement rare ! s» réfléxion qui semble être anodine mais qui semble être une façon de réafirmer les liens et les positions de dominations, et la hierrarchie familiale.
On sent qu’il y a des normes, des cadres pécis des quels il ne faut mieux pas sortir. Comme Mario dit «hamdoulah » on le reprend gentiment certes, mais on lui fait comprendre qu’il est pas vraiment de la famille ainsi. On l’initie donc à cette culture grâce à la sensibilisation et à l’apprentissage de la langue. Une famille à des codes et une culture qui faut assimilier pour en faire pleinement parti, on peut donc constater que la famille est une construction social comme tout fait social. Ils insistent, lui demandent quels mots il connaît en arabe…En effet, on comprend que c’est cette culture, de part le fait qu’elle est partagé, éprouvé par chacun membre de cette famille qui fait que c’est une famille. C’est également la vocation des repas de familles, de faire vivre cette culture, la partager pour la pérenniser. De plus, on ressent qu’indirectement un reproche est fait à Lilia, sa femme, qui est maghrébine, comme une façon de lui dire s’il ne connaît pas assez de mots en arabe et s’il n’est pas assez au fait des comportements que cette culture implique c’est ta faute. De ce fait, Lilia se sent obligé de se justifier, en expliquant qu’elle a bien voulu lui apprendre sérieusement mais que son mari aurait refusé, par manque de temps. Ce qui est intéressants notamment c’est le fait qu’ils interrogent leur fils, Thomas à la suite du père, Mario. On a le sentiment qu’il y a de la part de la famille la volonté de voir si un mariage « mix « , avec une personne qui n’a pas la même culture qu’eux va représenter un danger, du moins une défaillance dans la transmission de cette culture. Une fois de plus Lilia intervient pour préciser que les femmes « ont baigné » la dedans et qu’’ils l’habitude d’entendre parler arabe, de la bouche de sa mère à elle ou de ses tantes. En tout cas ça a était plus facile pour le fils que pour le père lui a du se faire accepter, et du s’adapter à une famille qui entre eux ne parlait pas sa langue maternel, on lui a clairement fait comprendre qu’il était étranger à tout ça et qu’il a fallut tu temps pour u’ l’accepteet qu’on fasse des efforts pour lui. On ressent une certaine gêne par rapport à ça, au sein de l’ensemble des convives. Mais en même temps, cela semble normal.
La mère mange avec les mains
on voit que le repas est qqch de central dans cette culture et que c’est qqch qui se partage avec les gens qu’on apprécient et sa famille. Définition élargie de la famille donc.
on parle de ceux qui ne peuvent pas être là aussi, les membres de la famille qui ne sont pas là pour diverses raisons, c’est ainsi qu’onen viebt à parler du père qui est absent car semble en froid avec la mère, il semble que son abscence est du à elle, mais on en parle quand même et il y est m^me présent parcequ’il fait partie de la famille. Montre que la famille est qqch qui à un périmètre précis, qqch de très inclusive, permet de voir que la famille est qqch de construit une fois de plus, car une famille monoparentale par exemple, comme ç ‘esr de plus en plus le cas, le père par exemple ou qui n’a peut être jamais présent, ne sera pas considérer comme un membre de la famille alors qu’il y a pourtant un lien biologique j’ai pris l’exmple du père mais cela aurait était tout aussi ontéréssant avec un autre membre de la famille ,en effet dans certaine familles, on est plus ou moins porhce des oncles, des tantes, des cousins ; la distance géographique joue aussi
Véritable entre soi, on ne fait pas la même assiette pour la voisine que pour le paternel, dimension affective profonde chez tout le monde même si cela s’exprime différemment. Famille soudé et ouverte mais pas tant que
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