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Homo economicus - Daniel Cohen

Par   •  3 Décembre 2017  •  6 473 Mots (26 Pages)  •  692 Vues

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L'auteur va évoquer également la prolétarisation des riches, ces derniers toujours dans la logique de l'homo œconomicus, ne sont pas satisfait de leurs avoir et continue de rêver a plus, cela fait que qualitativement parlant ils on le même degré de rêverie qu'un pauvre, tout cela encourager par les penchant d'une société assez compliquer a concevoir. On ne sait pas quelle est l'optimum mais on pense quand même a vouloir l'atteindre.

Au début, avant l'apogée du capitalisme financier il existait une frontière entre la compétition et la coopération, en effet sur les marchés le faite de faire la concurrence était tout a fait normal et justifié et la coopération était instaurée dans les lieux de travail (entreprises). Cependant, le capitalisme financier a été d'une telle ampleur qu'il a fini par détruire ces frontières,c'est a dire que même dans les entreprises, les dirigeants on mit en place un climat de marché, en instaurant les primes ou les externalisations des taches. Tout cela va concorder vers la mise en place de la compétition entre des collaborateurs, ces derniers ne vont finir qu'a chercher leur propre intérêt; cela a un impact sur le bien être car l'homme va s'adapter très rapidement aux progrès et à la nouveauté donc il en voudra toujours plus, et estimera qu'il n'en n'a pas assez, se comparant a l'autre et cela le frustre;cette sorte de cycle va se faire à tous les niveaux de revenus.

D’après l'auteur, dans la société moderne, tous les hommes sont des homo œconomicus, c'est a dire qu'ils sont égoïstes et ne vivent que pour eux même, au point d’être même un danger pour eux même ; une sorte ''d’auto danger''.Ainsi, pour y remédier, la société va mettre en place des moyens pour nous freiner.

L’auteur va également évoquer un problème de gouvernance, en effet d’après lui on peut voir qu'il y a un problème lorsque l'on observe le nombre de conflits que ce soit armée ou d'autres types q'il y a dans le monde ça en dit vraiment beaucoup . Il va ainsi parler de la pauvreté dans le monde . Pour lui il n'est question que de bonnes institutions qui doit être présente et jouer son rôle, afin de conduire un individus vers la richesse . L'homme pauvre n'a pas eu a la base plus de difficulté que l'homme riches, dans ce monde tout le monde a le même niveaux de difficultés, et c'est maintenant au niveaux des institutions et plus particulièrement de leurs efficacités a pouvoir générer un certain nombres de ressources nécessaire a l'homme pour arrivé a surmonter ses difficultés et a prendre les bonnes décisions. Le pauvre serait a lors d’après lui un riche qui manque de soutien institutionnelle, car la différence entre les deux groupes va se jouer a ce niveau. Dans un monde capitaliste, la recherche du profits est primordiale, et tout le reste n'est que secondaire, tout le reste n'est pas prit en compte. L'auteur va s'illustrer par le cas de la chine qui était un pays avec beaucoup de difficultés économique, mais elle a su appliquer un système de fonctionnement de type occidentale, ce qui lui a permis de gravier les échelons d maniéré très rapide, mais le problème ici est que cette richesse ne profite pas du tout a l'ensemble de la population, l’écart entre les pauvre et les riches ne cesse de se creuser, les inégalités perdurent, pourtant les conditions économiques du pays sont en constante amélioration. De plus l'aspect financier et de gain passe avant tout ; l'auteur précise que la contrepartie de de cette croissance va se faire déjà au niveaux écologique, avec un niveau de pollution très très avancé. Paradoxalement, l'auteur va présenter certains pays d’Asie qui non pas le même développement que la chine a cause d'handicapes culturelles. En effet d’après lui ces pays la comme l'inde par exemple n'on pas cette culture matérialiste la que l'on peut retrouver dans les pays développés, ce qui fait que même quand elle amorce des moment de croissance, cela n'est pas soutenu. On peut donc voir que le système capitalisme sertes permet de générer des richesses, mais elles sont très mal reparties. De plus il est vrai que cela a permit a prés de 300 millions de chinois de sortir de la pauvreté au file des années, mais es ce que c'est la même choses pour le bonheur, es ce que ce changement de statut du pays a permis de rendre les populations plus heureuses ? Daniel Cohen pense que le système capitalisme met en place un climat de constante pressions qui va se faire ressentir sur le marché du travail, avec la précarité des emplois, ou encore les harcèlements sur les lieux de travail par les patron pour pouvoir atteindre des objectifs. Il en conclu donc qu'il n'y a pas de lien entre l'argent et le bonheur . Il met en place une comparaison entre les villes asiatique qui sont très développés et les campagnes beaucoup plus pauvre, mais qui au final on la même absence de bonheur .Cohen va s’appuyer sur les travaux de Fred pour dire que le bonheur, peut également passer par la possession de biens intrinsèques c'est à dire l'amour, les relations avec autrui, et l'impression d'avoir un but dans la vie. Cependant tous ces éléments cités ne peuvent en aucun cas se mettre en place individuellement, ainsi l’homme aura beau être un grand homo œconomicus, une grande partie de son bonheur dépendra d'autrui car, il ne peut pas avoir de l'amour pour lui même et qui puisse le rendre heureux, pareil pour les relations, il ne peut pas avoir de relation entre lui et lui, donc il a nécessairement besoin des autres. Il va reprendre les travaux de Tocqueville sur l'abolition des privilèges, et évoquer ses aboutissement néfastes car d’après lui on a voulu mettre en place une société où tous les hommes auront la même chance t’atteindre le sommet. Cependant tous les hommes veulent atteindre ce sommet cela recrée encore une concurrence entre tout le monde alors que l'abolition des privilèges était prédéfinie.Cohen va mettre en place une comparaison entre les États-Unis et l'empire romain , dans le sens où les inégalités ne choquent pas et laissent indifférents les gens. Ils voient cela comme quelque chose qui n'est pas anormal;de plus, il va aussi prendre le mode de fonctionnement des États-Unis et le rapporter à celui de l'homo economicus.

De plus en plus la mondialisation est présentée comme étant la principale cause de la crise qu'a connu le monde depuis les subprimes,en augmentant le gain de productivité et diminuant le temps de

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