Daniel Pennac

...

Son essai reprend tous les points de vues qu’on peut avoir par rapport à la lecture (ce qui est une caractéristique de l’essai : Plusieurs point de vues): Point de vue du professeur de Français, point de vue du parent de l’élève qui n’aime pas lire, point de vue de l’adolescent qui n’aime pas lire, point de vue de la jeune adulte qui a appris à réapprécier la lecture grâce à son professeur, etc. l’auteur semble traiter le sujet de manière inépuisable comme dit dans la définition la plus adéquate.

De plus, il n’y a pas de réelle histoire ; son but est d’exposer des idées.

Il tente de produire un effet, en convaincant le destinataire. Et il s’interroge sur un problème existentiel : les jeunes et la lecture… Pq les jeunes n’aiment pas lire ? Peuvent-ils retrouver l’envie et apprécier la lecture ? etc.

Volonté de trouver une/des réponses au(x) problème(s). SAUF que l’essai n’est pas un lieu de réponses mais un moment de questionnement.

D’après Pennac la « rupture » se fait à l’adolescence, période où l’enfant n’est plus enfant pas encore tout à fait adulte. L’ado refuse « tout » en bloc, l’autorité parentales, l’école, les devoirs, la société,…

Remède : reprendre à zéro : lire à haute voix, sans rien attendre en retour, comme qd ils étaient petits.

Vision de la lecture de Pennac : Lecture doit être libertaire. L’école dégoûte les élèves de la lecture. Il ne faut pas sacraliser le livre. Chaque enfant, adolescent, personne n’aimant pas lire a besoin d’un « passeur » : c-à-d une personne qui aime tellement lire, qu’elle vous transmet cette envie. (un bon prof, un parent,…)