Cours Nation et Nationalisme (relations internationales)

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- La nation et l'international

A) l'internationale des identités.

Après la WWII, après l'international fasciste, et la montée de nationalisme. Et il y a eu une autre internationale anti-fasciste. La résistance française est nationaliste.

Anne-marie Thiesse, « la création des identités nationales », publiée en 99. Il n'y a rien de plus international que la création des identités internationales. Il va revenir sur la création du classicisme.

Avec la renaissance phénomène de plus en plus ancrée. Au XIX, il y a une remise en cause du classicisme, il vont privilégier des nouvelles sources de génies nationales.

L'exemple, du petit chaperon rouge, frères Grimm, il publie en Allemagne. Ils vont se revendiquer allemands, alors qu'il y avait la Prusse, la Bavière. Ils vont piocher dans toutes les communes et vont privilégié un culture commune. Bouquin pour les élites. Chaque nation est attentives dans ce qui se passe chez les autres nations. Frère Grimm, en Allemagne, et Macpherson en Angleterre.

George Sand, La ville marquée, il a sorti « barzaz breizh »il a essayé de se faire financer par le ministère de l'instruction. Succès mais non retenu au patrimoine nationale. (revoir)

Longtemps les nobles se sont revendiquer francs,

B) International et intra-national conflictuelle

Norbert Elias, il étudie les phénomènes de centralisation, chaque territoire rentre en course à la centralisation. Celui qui à réussi à se centraliser de façon la plus efficace, peut devenir nation. (formation d'un corps de focntionnaire pour financer l'armée)

Michael Hechter, « colonialisme interne », en 75. avec l'industrialisation, se créer des différences entre les centres et les périphéries. Les périphéries s'auto-organise et se détache du centre, de par des questions communautaires ou régionales. Il voit deux façon de régler le problème assimilationniste par l'éducation de l'histoire nationale. Il critique cette façon de voir.

Il pense à l'inverse et renforce les politiques éducatives qui contribue à se rapprocher de l'idée du colonialisme et à développé des tensions internes (vision de Hechter)

Pour lui les tensions communautaire, ethnique vont vers un colonialisme interne.

(référence politique international)

Nationalisme partie 2 :

Processus de construction des nations. (nation bulding).

Année 70, l'IRA, l'ETA.

- Nationalisme et contre-évolution :

a) le royaliste Maurras

Charles Maurras (1868-1952), carrière militante, il vient de Provence, de la petite bourgeoisie de famille royaliste. Il est devenu sourd à 14 ans. Il passe son bac et pars à Paris. Il va vivre une vie de bohème. Une époque ou les études commence tout juste à se démocratiser, et il essaie de vivre de sa plume. A Paris, il commence à se mettre dans la politique. Mouvement félibre, (= autour de Frédérick Mittral). Époque de l'affaire Dreyfus. Comité d'action française qu'il va lancé. C'est le nom du journal qui deviendra le nom du mouvement par la suite (il n'y a pas que les royaliste). Il va prendre en main le mouvement, à le développer, il va créer une structure militante. Développer le journal, de mensuel à quotidien. Concuerencer par d'autre mouvement d'extrême droite. Il est accuser de ne pas avoir fait de coup de force du 6 février 1934 (manifestation sanglante anti-parlemenetaire). Par la suite, survient la guerre, au début il est anti-allemands, il n'est pas traumatisé par la défaite, comme une divine surprise. De l'arrivée de Pétain notamment. Régime de Vichy comme application de sa doctrine. Il sera pro Vichy dans la guerre mais pas pro-allemands. Il va finir en prison à la libération. Il va se faire arrêter, et sera libéré en 52, juste avant de mourir. Maurras comme le grand penseur, du royalisme moderne. Avant la révolution ce sont des penseurs d'état. Un précédent à Maurras, avec les jeunesses royalistes, premières action royalistes. Mise en forme moderne du militantisme. Il va englober l'action française de façon efficace. Il devient en 1911, le maître du royalisme moderne. Prétendant au trône, c'est le chef des royalistes, à l'époque. Une pensée de l'ordre, il est marquée par la sociologie, le positivisme d'Auguste Comte.

La Provence avec son aristocratie, avec un ordre générale. C'est un exemple de pensée de l'ordre classique. Mais lui il va être révolutionnaire.

Joseph De Maistre, → contre les idées des lumières, contre révolutionnaire.

Chez les royalistes, il y a les traditionnalistes et la génération de Maurras, qui est elle, pour renverser la politique. Ils sont plus sur des logiques de Putsch. Ils vont essayer de s'allier. Notamment de par George Sorel et George Valois. Ils vont tenté de réunir l'extrême gauche et droite. → les cercles de Proudhon.

1910, grève de Chemineau, l'action française (1898-1914) soutient les grévistes. Pensée de l'ordre, pensée révolutionnaire.

Il y a quelque aspect qui sorte du royalisme classique, il est athée. Il a une position féministe, il défends le droit au femme d'avoir accès aux études supérieur. Il défends le droit de vote des femmes. Les républicains était opposé au droit de vote, et donc les femmes n'aurait pas suivi ces deniers ou l'église. Et donc aurait pu voter pour eux.

Maurras, il plaide pour un antisémitisme de raison. Avec sa théorie de l'anti-France. Il parle de 4 états confédéré au sein de la nation. Les 4 états, les juifs, les protestants, les francs-maçons et étrangers. Dès ces 20 ans, il est antisémite. Il appel les juifs des cosmopolites, dans le sens ou ils n'ont pas de nation et ou ils sont une nation à eux-même, selon lui.

Dans la période de la second guerre mondiale, le premier conflit, il rejoint l'union sacré, il se refait une image publique, du fait d'un germanophobie. Et ensuite avec la second guerre il reste sur la même guerre. Alors qu'ils y avaient d'un côté ceux qui étaient