Art et pensée Bouddhiste
Par Plum05 • 3 Novembre 2018 • 997 Mots (4 Pages) • 551 Vues
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- Travail du laque : gravure du XVIIIème siècle : LA laque = le matériau ; Le laque= les objets couverts en laque.
C’est une sève extraite d’une lave. On peut lui adjoindre du pigment, de l’or, de l’argent. Un objet en laque peut avoir en support soit la laque elle-même, ou les objets en bois. Il faut au min 3 couche de laque, pour former un objet (bol noir). Pour 1cm d’épaisseur de laque il faut entre 10-30 de couches. Chaque couche doit sécher séparément, dans une atmosphère stable : 80% d’humidités. Laisser sécher au moins 2jours. Un objet en laque prend du temps à être de fait = beaucoup d’argent.
Objets conservés :
« Shosô-in » : on a une réduction en miniature de ce qu’un noble pouvait détenir. (Tout le reste a été détruit.) le Shosôin a un mode de construction particulier : l’Azekura-zukuri : empilement de poutres triangulaires. Cette technique de construction permet de gonfler le bois (sans clou) donc la structure pourra être protéger. Utilisation du bois de pèque : bois qui protège des insectes.
Don de 10 000 pièces : par l’impératrice Komyio.
Route de la soie : route du Bouddhisme.
-Bp d’autres objets : plateau de jeu, décors exotique, objets qui montrent l’influence de la Chine et de la Bizance.
-Masque : de Gigaku Gadura. En bois et pigment.
-Biwa : bois, laque et incrustation de laque.
-Miroir : en cuivre et nacre
Peintures :
-Paravent de quatre beautés sous les arbres : 6 panneaux, peinture sur papier. Les femmes dessus sont debout ou assises, et sont de couleur rose.
-Femme à chignon à double coque : critère de beauté féminine.
-Peintue de Bosatsu : tracé fluide à pinceaux. L’art du tracé.
-Paravent de moutons et d’animaux sous les arbres : technique de teinture de cérumen.
Plan de peinture religieux :
701 : création des bureaux off des peintures : peintres=décorateurs.
-Kichijô ten: grande influence de la Chine : femme aux joues rondes ; application de feuille d’or (bijoux). Elle est représentée comme une dame de la cour (sourcil haut, bouche étroite, robe fluide). Peinture de divinité : l’eau huileux, et elle a dans la main un joyau qui exhausse les désirs.
Sûtra : recopiés sur du papier très fragile. Mais on a un document pour recopier les Sûtra au bureau de copiste.
-Rouleau enluminé du sûtra des causes et des effets : témoignage ancien et particulier car il associe 2 registres : un supérieur avec des images, et un avec des textes (chinois). Ce rouleau est encore à l’Université de Tokyo. Dans ce rouleau, on représente les vies antérieures de Bouddha. Sa vie sera écrite en bas en chinois en 3ème s en Inde et traduit au 5ème s en chinois. Et en Chine il a donné à des représentations imagées.
Rivières, et collines pour les cadres. Les positions des personnages aussi jouent un rôle.
-Mandara : territoire d’une divinité Hokkedô Konpon. On a du mal à le différencier à une peinture chinoise. Les éléments naturels ont donné signe au Japon (arbres…).
=> Fécondité, richesse, beauté
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