La dégradation des sites.
Par Matt • 26 Novembre 2017 • 1 674 Mots (7 Pages) • 587 Vues
...
* La lumiére :
fai ressortir le relief par le jeu des ombres et des contrastes ,elle est la source des couleurs sans elle on ne peut pas distinguer les teintes
*la couleur :
est liée à la lumiére : genre de lumiére qui la frappe
* la texture :
elle permet de deviner la structure du paysage => une sorte de peau et elle est l’indice de profondeur ,En effet l usage de la texture n’est jamais le fruit de hazar
le mécanisme de perception
lorsqu’on observe un paysage , ce ne sont pas les élements de ce paysage qui pénètrent dans l’œil, mais bien la lumière. Les rayons lumineux donnent les indications nécessaires à l’œil et celui-ci transmet les indications au cerveau qui les interprète. Notre perception ne passe pas par les détails au début plutôt elle se focalise sur l’ensemble dans son tout puis sur un ou deux détails qui lui attire l’attention comme le dit piaget : « quand je perçois un paysage, je ne vois pas les différents élements qui le composent, les arbres, les rochers, je vois d’emblée le paysage et ne passe qu’ensuite à l’analyse du détail ».pour ce qui identification on va dire : il existe certainement un traitement de l’information par le cerveau. celui-ci fait appel à une banque de données qui est la mémoire ; cherchant à faire coincider une image nouvelle à une image connue et répertoriée afin de l’identifier.
dans la perception du paysage , si un composant colline , montagne , n’est pas identifié , il résulte une une impression d’instabilité .
par example en architecture , il existe une certaine agressivité devant l’idée d’une construction non conforme au modèle habituel .
l’homme est plus sensible à la forme d’une maison qu’à la forme du paysage en effet
la maison plus lisible et plus familiére
sites et milieux physiques
afin de s’adapter au milieu l’homme le modifie et sy inere mais ces modifications ne doivent pas nous conduire à négliger le cadre physique dans lequel s’exerce l’activité humaine
Ce que nous appelons le paysage naturel témoigne le plus souvent d’une intervention anthropique. A vrai dire, le cadre fourni par le relief est plus au moins contraignant pour les sites. Parfois il ne se constitue qu’un simple ‘support’, comme dans les plaines et plateaux du centre du bassin de paris, a l’écart des vallées principales
Mais aussi , il peut commander toute la valeur du site, ‘ecraser’ toute autre influance, au point qu’il devient difficile de ne pas confondre dans ce cas site et paysage naturel
La gestaltheorie
Les lois de la théorie de la forme sont les suivantes :
*Une forme est de plus que la somme de ses parties.
*Une partie dans un tout est autre chose que cette partie isolée
*Les faits psychiques sont des unités organiques qui s’individualisent et se limitent dans le champ spatial des perceptions.
*Chaque forme est une fonction de plusieurs variables.
*Les formes sont transposables
La ségrégation des unités
La ‘’silhouette’’ c’est « la forme qui se profile en noir sur un fond clair .»,
Les Contours
Ce contour continu, c’est la silhouette. Ainsi un objet se détache du fond devant lequel il est place et sa forme est délimite par une ligne continue. De ce fait la structure globale se seine en deux plans spatiaux, la première surface occupant le plan le plus proche et devenant figure, la seconde occupant le plan le plus éloignes et devenant le fond
Les groupements
L’œil et le cerveau humain ont la particularité d’effectuer des groupement. En effet, lorsque nous regardons un ensemble des objets, nous ne percevons pas tous les objets, notre œil effectue un classement parmi ces objets et les groupes dans un même voisinage suivant leur couleur, leur texture, etc. l ‘œil trouve les dénominateurs communs de chaque objet et effectue des groupements. Il semble que le nombre d’éléments que nous pouvons percevoir ne soit pas illimité, considérons des points. Il existerait un seuil au delà duquel un temps de réflexion est nécessaire, ce seuil serait situe entre cinq et six éléments. Notre faculté de ségrégation des unités est donc limitative
...