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D'où vient l'angoisse chez l'être humain?

Par   •  15 Septembre 2018  •  1 878 Mots (8 Pages)  •  495 Vues

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Pour lui, nous sommes juste dans une société d’individu, une addition de personne. Donc les individus son déliés, et ils souffrent de cette déliaison qui se traduit par un sentiment d’angoisse permanent. L’auteur cherche donc à montrer l’opposition qui se passe par les objets et non d’individu à individu. Ce pouvoir entre les individus est régit par les objets. La cause de cette déliaison entre les individus, les met donc dans une situation où ils ne peuvent compter que sur eux-mêmes.

Marx va donc s’intéresser sur la question du travail car le travail peut être une source d’épanouissement, mais aussi une source d’angoisse. Il a donc une autre solution pour permettre aux gens de vivre dans le bonheur et donc il s’intéresse au capitalisme qui se caractérise par le fait d’augmenter ses biens, le capitalise se caractérise par l’avènement de la propriété privée. L’idéologie du capitalisme a une sorte de vision du monde qui divise le monde en deux, les bourgeois et les prolétaires, et Marx va montrer qu’il n’y a pas de catégorie, mais qu’il y a une relation, il n’y a pas de prolétaire sans bourgeois, et il n’y a pas de bourgeois sans prolétaire. Pour Marx, le mode de production ce forme par une infrastructure et une superstructure. Pour lui, l’infrastructure peut être définit comme l’ensemble des moyens de production, plus précisément i s’agit là des machines, du matériels nécessaires à la production, mais on y trouve également les rapports de production qui représentent les liens qui s’institue autour de ce qui est produit. Qu’il va opposer à la superstructure qui elle concerne tous les problèmes de politique de droit, de religion ou de la morale, et donc en quelque sorte tous ce qui de l’ordre de l’idée, et il estime donc qu’il n’y a pas d’infrastructure sans superstructure et vice versa. Il oppose ainsi l’aspect matérielle a l’aspect spirituelle. Faire tenir ces oppositions, sans soulever d’opposition : Marx dit que c’est par l’idée qu’on fait tenir les relations d’opposition. Il est nécessaire de rentrer dans le monde de la croyance. Marx va être très critique à l’égard de toute cette dimension spirituelle, il va s’attaquer à toute ces idées. Pour l’homme, la racine c’est l’homme (phrase de Marx) : il veut dire par là que ce n’est pas la peine de chercher la racine en dehors de l’homme, il ne s’agit pas de juger, mais de comprendre. C’est le contexte idéologique dans lequel nous vivons à l’époque qui produit ces inégalités matérielles, c’est donc ces infrastructures. Marx attire donc lui aussi l’attention sur le lien entre les individus. Et pour lui, c’est ce monde capitalisme qui crée cette liaison, c’est ce qui fait que tous changent au point où les individus doivent se prendre en charge eux même. Donc les individus se retrouvent dans un état d’angoisse, où ils ne savent plus qui ils sont. L’angoisse frappe les gens, mais ce n’est pas une peur, c’est une sorte d’état d’inconnue, un état insaisissable, on ne sait plus qui on est. C’est comme si la société d’aujourd’hui était face à un vide, et l’angoisse se trouve entre la société et ce vide. Quand nous sommes en déliaisons, il n’y a plus personnes qui nous retient, qui nous aides, d’où l’importance d’une société collective, où les gens nous poussent vers le haut. C’est cette ambiance qui a été amorcé après la révolution française.

3) L’angoisse dû à l’aliénation

Il y a aussi l’importance de l’aliénation qui est en lien avec cette angoisse, qui nous fait perdre tous moyens. En effet, en prenant l’exemple de la construction d’un objet, l’entrepreneur sait pourquoi il construit cet objet, il connait son utilité, cependant les travailleurs se perdre car il ne comprenne pas l’objet. Donc l’objet est l’identité d’une personne, mais pour les travailleurs, ce n’est qu’un moyen de gagner de l’argent, il n’y trouve aucun bonheur.

L’aliénation est un processus ou l’individu est en dépossession de son objet de travail, je ne suis pas moi-même, je suis contrôlé par quelqu’un d’autre (perte du libre arbitre). On parle de mal-être, d’angoisse au travail. Au cœur du travail, il y a le qui je suis, on attribue une valeur à une personne par la valeur du travail. L’identité de la personne se fabrique dans le travail ; cette identité peut être un avantage, ou on peut être déposséder de soi-même, on ne sait plus qui on était. Donc l’individu se fait ou se défait par le travail. (Les souffrances du jeune Werther). Pour Marx il y a des inégalités en termes d’attention, ce qui arrive à prendre une liberté, qui possède une entière attention, son ceux qui réussisse. Ce qui est centrale chez Marx sont les conflits entre les classes, les propriétaires de moyens de production sont propriétaire de leur personne (Locke), tous ceux qui ne sont pas propriétaire de leur moyen de production, ne sont pas propriétaire de soit même et sont dont malheureux.

Pour Marx « ce n’est pas la conscience des hommes qui fait leur existence, mais c’est leur existence qui fait leur conscience. » Cela veut dire que ce que pense les Hommes on s’en fou, mais c’est leur condition qui fait ce qu’il pense, c’est la situation dans laquelle on vie qui fait ce qu’on l’on pense. Cela nous permet d’avoir une conscience de qui on est, à partir des conditions matérielles dans lesquelles nous sommes. Et donc pour lui c’est le matériel qui va déterminer ce que l’on pense, ce sont les conditions matérielles, leur situation sociale qui vont faire ce que les gens pensent. Ce sont les conditions matérielles qui sont au cœur des apports ente les personnes.

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