La vérité cours

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• C ce q Husserl essaie de montrer → loin d'être 1 ch/substance, la csce ê 1 activité de project° vers les ch. Elle ê tjs au-delà d'elle-m, qu'elle se projette vers le M, ses souvenirs ou l'avenir, à chaq fois ds 1 relat° ou visée q Husserl nomme « intentionnelle ».

4. Quel rôle la conscience joue-t-elle dans la perception ?

• Lorsq je perçois qq ch, je le vise en fait ss la forme d'1 « c » : je me rapporte à la cruche comme à ce qui sert à boire, etc. C en ce sens qu'il n'y a pas de percept° sans significat°.

• Surtout, la csce constitue la percept° : par ex, je ne verrai jms d'1 seul regard les six faces d'1 cube. Il faut donc q ma csce fasse la synthèse des ≠ moments perceptifs (le cube de dvt, de côté/derrière) pr construire ma représentat° du cube. Tte percept° ê 1 construct° qui suppose 1 activité de la csce : c ce q Husserl nomme la synthèse temporelle passive – passive, pq ma csce opère cette synthèse sans q je m'en rende cpte, et temporelle, pq’elle synthétise ≠ « moments » perceptifs qui se succèdt.

6. Suis-je totalement transparent à moi-même ?

• La csce n'ê pas pure transparence à soi : le sens véritable des motifs qui me pousst à agir m'échappe souvt. C ce dt Freud rend R en posant l’E d'1 incsct qui me détermine à mon insu. Le Su csct se trouve ainsi dépossédé de sa souveraineté et la csce de soi ne peut plus ê prise c le modèle de tte Vé.

• L'incsct n'ê pas le non csct : mes souvenirs ne sont pas ts actuellemt présents à ma csce, mais ils sont disponibles (c'est le précsct). L'incsct forme 1 syst indpdt qui ne peut pas devenir csct sur 1 simple injonct° du Su pq'il a été refoulé. C 1 force psychique active, pulsionnelle, résultat d'1 conflit intérieur entre des désirs qui chercht à se satisfaire et 1 Pé qui leur opp 1 résistance.

• L'incsct ne pourra s'exprimer qu'indirectemt ds les rêves, les lapsus et les symptômes névrotiques. Seule l'intervent° d'1 tiers, le psychanalyste, peut me délivrer de ce conflit entre moi et moi-m, conflit q Freud suppose en tt H.

La citation

« L'homme est à la fois le plus proche et le plus éloigné de lui-même. » (Saint Augustin)