Psychosociologie des organisations.
Par Raze • 12 Juin 2018 • 3 115 Mots (13 Pages) • 586 Vues
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internes: -personnalité -connaissance acquises -motivation perceptive (pourquoi on perçoit).
3) La dissonance (désaccord) cognitive
Existence de désaccords qui entrainent de la part des individus un effort (de perception, d’attitude ou de comportement) pour les faire mieux s’accorder ou diminuer le désaccord crée.
Les décisions créer un désaccord car l’alternative choisi n’est jamais totalement positive et l’alternative rejeté jamais totalement négative. L’individu va s’efforcer de rendre l’alternative retenue encore plus attrayante en sélectionnant les informations qui convienne : rationalisation.
La dissonance cognitive permet de trouver des explications à des choses marquantes.
Fermeture du contour= ellipse: choses pas dites mais évidentes (ex: je dis hier je suis parti de l’IAE, cela implique que j’ai pris la porte et quelque me dit comment tu as fait c’était fermé).
4) La perception de l’autre
Motivation perceptive : motivation a sélectionné les infos que l’on perçoit et retient.
L’environnement: pousse à porter un jugement, à des conséquences sur la perception, influence notre manière de percevoir les gens (en stress, on peut envoyer des messages qu’on ne veut pas envoyer).
Perception :
• fondamentale dans la gestion des conflits.
• 1 événement = plusieurs perceptions.
• En management : primordiale de prendre en compte comment l’autre perçois et comprend.
• Pour donner des objectifs : prendre en compte les différentes perceptions.
a) Erreur fondamental d’attribution de Ross
Surestimer les caractéristiques de personnalité au détriment des pressions situationnelles (causalité externe). Les stéréotypes et aprioris peuvent modifier notre perception.
Sujet : fait attention à l’environnement et la situation.
Observateur : fait attention au comportement du sujet. Pour garder le contact avec nos équipes, maintenir le dialogue et éviter de rentrer dans le jugement (je suis en stress, on me clash, je réponds, il aura une mauvaise perception de ma personnalité alors que c’est le contexte qui fait que j’ai réagi comme ça).
b) L’attribution de Kelley
• La signification de l’action, sélection d’un acte significatif (Giovanni parle avec ses mains).
• Le jugement (attribution causale) (Giovanni parle avec ses mains : c’est un italien).
• L’inférence social : déduire les intentions des personnes c’est-à-dire déduire les intentions de la personne avec des actes significatif donc jugé et se tromper dans l’interprétation. (Giovanni parle avec ses mains : c’est un italien. C’est un italien donc c’est un beau parleur).
5) La perception de soi
« Moi social » : quand on communique avec les gens nous ne sommes pas tout de suite 100% naturels. Le « moi social » renvoie à la défense, au mensonge.
« Moi intime » : totalement naturel.
a) Cinq « biais, régularité, perceptifs»
Défense perceptive: (non perception, danger vital inévitable) fait de volontairement ne pas percevoir un danger, nié certain éléments. Voire dissonance cognitive.
Projection: je me projette sur l’autre, projeter doutes et attentes. Quand on a quelqu’un qui a des similitudes avec nous on a tendance a se projeté à travers lui.
Stéréotypes: (modèles sociaux ou personnel) utiles en début de relation si on est capable de les dépasser.
Effet de halo: (le détail révélateur) (lors d’un oral, la personne avant est nul ; si je suis correct, le 7 mérité devient un 11).
Introduction de l’atteinte: Anticipation, prédéfinir le comportement de l’autre en fonction de ce que je pense qu’il attend de moi.
Thème 3 : Motivation dans le travail
Motivation: force/énergie intérieur qui pousse l’individu à agir. Permanent.
1) 3 grandes théories
a) Les théories rationalistes
L’acteur rationnel (personne logique et censé) cherche à maximiser son intérêt (souvent économique. Nous ne sommes pas totalement rationnels.
b) Les théories comportementalistes-cognitives
Le sujet apprend des comportements à travers des expériences (conditionnement).
Comportementaliste : approche réductrice de la motivation.
Approche cognitive : + relationnel, certaines restent proches des théories substantialiste.
c) Les théories substantialistes
L’acteur psychologique (personne qui fait appel à ses émotions et tout les éléments liés a la psychologie) cherche à satisfaire ses besoins, satisfaire ses besoin n’est pas forcement maximiser son intérêt.
Souvent irrationnel : il raisonne souvent au feeling, par les sentiments (en fonction de ma personnalité, j’adapte mon style vestimentaire).
Pyramide de Maslow
Un besoin satisfait n’engendre pas de motivation, quand un besoin est satisfait un autre apparait : hiérarchie des besoins, tout les être humains ont la même structure de besoins.
Critique de la pyramide de Maslow:
• Tous les êtres humains ne pensent pas de la même manière.
• Hiérarchie non vérifiée.
• Théorie idéologique.
La théorie SRP d’Alderfer
La pyramide est conservée
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