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Management

Par   •  8 Décembre 2017  •  784 Mots (4 Pages)  •  424 Vues

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l’artisanat, …).

Division du travail Centralisation Mécanisme de coordination

Continu Forte division Décentralisation Standardisation des procédés et des qualifications

Série Forte division Décentralisation Supervision directe et standardisation des procédés

Unitaire Faible Décentralisation Ajustement mutuel car il faut s’adapter au consommateur (flexibilité)

Structure J, organique, adocratique.

B - la technologie

Définition : la technologie d’une entreprise comprend l’ensemble du processus productif qui va de l’approvisionnement de matière première à la distribution des produits finis. La technologie impose un certain mode de division des tâches et un certain mode de coordination entre les unités chargées de ces différentes tâches. La technologie fait donc peser des contraintes organisationnelles sur le choix de la structure.

Joan Woodward distingue trois modes d’organisations de la production qui influence la structure :

- La production unitaire, elle implique une structure avec une hiérarchie très courte pour maintenir un rapport direct entre l’ouvrier et son manager. C’est pourquoi, la structure entrepreneuriale ou simple est la plus adaptée à ce type de technologie.

- La production en continue, elle implique une structure pyramidale longue et une hiérarchie intermédiaire importante. Ainsi une structure matricielle ou divisionnelle sera plus adaptée à cette technologie.

- La production en série (petite ou grande), elle impose une structure fonctionnelle qui permet à la fois de garantir une division des tâches et d’assurer la coordination des activités par le sommet stratégiques.

C - la taille

La taille de l’entreprise se mesure par son effectif ou par son chiffre d’affaires. Les petites entreprises sont caractérisées par une faible spécialisation du travail et par une division limitée des tâches. Dès que la taille d’une entreprise augmente, la spécialisation du travail s’amplifie, les responsabilitées sont déléguées, la division du travail s’impose ainsi que leur coordination par un sommet hiérarchique. Plus je grossis, plus je vais aller vers une structure divisionnelle voir matricielle.

C – la culture

La notion de culture doit se comprendre au sens national (c’est un facteur de contingence), c’est l’ensemble des valeurs partagées par un ensemble géographique homogène. La culture peut s’entendre également comme la culture d’entreprise constitué des valeurs qui réunissent les salariés autour d’un projet commun .G. Hofstede a mis en évidence 4 facteurs pour caractériser une culture d’entreprise :

 individualisme/collectivisme

 Contrôle de l’incertitude

 Féminité/masculinité

 Distance hiérarchique

En France et dans les pays latins, il y a un fort contrôle de l’incertitude, ce qui génère des structures ou la distance hiérarchique est très marqué. A l’inverse, dans les pays anglo saxons, ou l’incertitude est plus facilement accepté, les distances hiérarchiques sont réduites et les structures sont plus flexibles.

Cas

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