L'adolescent , l'adulte , le vieillesse, la mort Mémo
Par Ramy • 5 Juillet 2018 • 1 481 Mots (6 Pages) • 407 Vues
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Les hommes peuvent aussi connaître des modifications de la production hormonale, diminution de la fertilité.
L’adulte connaît aussi des périodes de « crise », de mutation, de choix.
Choix d’exercer tel ou tel métier
Le lieu de l’habitat
Le rapport à l’argent
La parentalité
Le mode de vie : mariage, célibat, vie en couple
Choix des loisirs, de la culture
Engagement religieux, politiques
Des évènements extérieurs peuvent provoquer des séparations brutales : divorce, chômage, déménagement, maladie, départ des enfants, décès des parents etc…L’adulte fait face ou s’effondre et déprime selon ce qu’il aura pu consolider préalablement durant sa vie.
LE VIEILLISSEMENT
Les personnes âgées sont en nombre de plus en plus important grâce à l’allongement de l’espérance de vie (environ 85 ans pour les femmes et 78 ans pour les hommes).
Cet allongement est lié :
Aux progrès en matière de santé (surveillance, prévention…)
Aux progrès sociaux : hygiène, alimentation, conditions de vie moins dures etc…
Aspect physiologique :
La vieillesse n’est pas une maladie mais conduit à des pathologies liées au vieillissement. Le vieillissement est l’ensemble des processus physiologiques et psychologiques qui modifie la structure et les fonctions de l’organisme. Le vieillissement est lent et progressif, et différent selon les individus en fonction des facteurs génétiques et de l’environnement.
Le corps change (diminution de la vue et de l’ouïe, troubles du sommeil, incontinence, problème de peau…) les risques de maladies augmentent. Les facultés intellectuelles baissent (perte de mémoire, manque d’attention, de concentration.
Il est important de ne pas voir la personne âgée uniquement dans une perte de ses capacités, la personne âgée n’a plus les mêmes capacités qu’avant, mais elle peut aussi encore vivre en bonne santé et de façon autonome.
Aspect psychologiques :
La personne âgée se sent souvent dévalorisée. Psychologiquement elle doit faire face à une image dépréciée d’elle-même tout en supportant des changements et des traumatismes importants (retraite, fin de la vie active qui lui assurait une reconnaissance sociale, perte du conjoint, éloignement des enfants, entrée en maison de retraite, décès des amis…).
Un environnement chaleureux jouera un rôle essentiel, elle se sentira entourée affectivement, il est important que la vie puisse lui apporter encore des plaisirs.
Les personnes âgées en possession de leurs moyens intellectuels sont nombreuses. L’influence de l’environnement est importante : stimulation, dialogue, valorisation….La mémoire est de plus en plus atteinte si elle n’est pas sollicitée régulièrement.
Les effets à la fois physiques et psychiques du vieillissement aboutissent à une perte des centres d’intérêts.
Représentation de la vieillesse :
C’est l’ensemble des images, schémas, modèles, symboles, idéaux véhiculés par une société.
Les représentations du vieillissement peuvent avoir un aspect positif ou négatif.
La vieillesse comme « perte » des capacités physiques et psychiques.
Pourtant les seniors sont des acteurs dans la société économique. Ils consomment des loisirs, voyages, du paramédical (cures…), des activités sportives. Ils sont propriétaires bien souvent, ce sont encore eux qui permettent le maintien des commerces de proximité qu’ils préfèrent souvent aux grandes surfaces. Ils jouent un rôle important dans la famille : disponibles ils gardent les petits-enfants, ils apportent un soutien matériel, financier et affectif important. Ils jouent un rôle de transmission de la culture.
La vieillesse comme « sagesse » (expérience de la vie).
LA MORT
Biologiquement, la mort est l’état d’un organisme qui a cessé de vivre. Pour l’individu c’est la fin de l’existence.
La mort peut survenir dans des contextes différents : fin de vie, maladie ou de manière brutale : accident ou autre. Cela représente toujours une épreuve pour les proches.
La mort clinique :
On parle de « mort clinique » lorsque le patient n’a plus d’activité musculaire spontanée, plus de réflexes et ne respire plus.
La mort cérébrale :
On parle de « mort cérébrale » quand un patient est au stade de coma dépassé, que son cerveau ne fonctionne plus. Le cerveau contrôlant toutes les fonctions vitales, le patient n’est donc plus capable de respirer, il faut le faire respirer artificiellement. Le sang continue à circuler.
La fin de vie et les évolutions législatives :
Pour les personnes malades, se pose de plus en plus souvent la question des conditions et de la qualité de cette fin de vie.
Depuis la loi Kouchner (2002), et la loi Léonetti (2005), les établissements de santé travaillent à améliorer l’accompagnement de fin de vie visant à respecter les choix du patient et empêcher une obstination déraisonnable.
Les dispositions législatives concernent le stade de fin de vie, mais aussi un état végétatif chronique évolué.
Si le malade est conscient, aucun traitement (y compris l’hydratation et l’alimentation artificielle) ne peut lui être imposé contre sa volonté.
S’il est inconscient, le médecin tiendra compte de son avis à travers ses directives anticipées et sa personne de confiance.
Directives anticipées et personnes de confiance :
Toute personne majeure peut faire une déclaration écrite appelée « directives anticipées » pour préciser ses souhaits quant à sa fin de vie, prévoyant l’hypothèse
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