Chronologie de Rastignac dans la Comédie humain.
Par Plum05 • 19 Décembre 2017 • 1 241 Mots (5 Pages) • 425 Vues
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en 1847, inachevé à la mort de Balzac, puis paru en 1854 grâce au concours dévoué de Charles Rabou qui s’acquitte là d’une promesse faite à Balzac avant sa mort.)
Rastignac est pour la seconde fois ministre, il vient d’être fait comte et suit les traces de Nucingen. Il a épousé en 1839 la fille de Delphine et du baron de Nucingen. Le comte Maxime de Trailles, relation de Rastignac, définit ainsi son parcours : « Vous avez fini par épouser l’unique héritière des millions de Nucingen, et vous l’avez bien gagné... vingt ans, il est pas trop. Il faut donc que la semaine de travaux forcés ! »
1845 : Les Comédiens sans le savoir écrit en 1845
Rastignac a 48 ans. Il y a un peu de temps pour moi. Je vais faire des 8 99. Le caricaturiste Jean-Jacques Bixiou dit de lui : « Il a trois cent mille livres de rentes, il est pair de France, le roi l’a fait comte, c’est le gendre de Nucingen, et c’est un des deux ou trois hommes d’État enfantés par la Révolution de juillet ; mais le pouvoir l’ennuie quelquefois, et il vient rire avec nous... »3 9 de faire une idée 8
On le retrouve également dans les romans suivants :
Splendeurs et misères des courtisanes
Melmoth réconcilié
Ursule Mirouët
Les Secrets de la princesse de Cadignan
Autre étude de femme
La Cousine Bette
La Maison du chat qui pelotes. Je ne sais
Béatrix. Je ne sais
Le Député d’Arcis
La vicomtesse de Beauséant est un personnage de fiction de La Comédie humaine, et je suis en d’Honoré de Balzac qui apparaît notamment dans le Père Goriot. La vicomtesse est la cousine d’Eugène de Rastignac et l’amante du marquis d’Ajuda-Pinto. C’est elle qui, trahie par son amant, entreprend de donner à Rastignac sa première leçon d’arrivisme. Mme de Beauséant appartient à la haute noblesse et règne au travers de ses réceptions sur le tout-Paris. Née Claire de Bourgogne en 1792, elle descend d’une branche bâtarde de la Maison de France.
Chronologie de la vicomtesse. Je ne sais pas si tu de Beauséant.
en 1817, dans le Lys dans la vallée, la princesse de Blamont-Chauvry lui présente Félix de Vandenesse. Très liée avec Diane de Maufrigneuse à cette date, elle apparaît aussi dans Gobseck, les deux femmes cherchant désespérément à combler leurs dettes.
en 1818, dans la Duchesse de Langeais elle invite Antoinette de L’anglais. Je ne sais pas si à l’un de ses bals fastueux et renommés.
en 1819, son personnage se précise dans le Père Goriot où elle joue un rôle important vis à vis de son parent Eugène de Rastignac. Elle présente d’abord le jeune homme à son mari (le vicomte de Beauséant), puis elle l’introduit dans le grand monde en lui donnant de précieux conseils. Dans ce même roman, on apprend qu’elle vient d’être abandonnée par son amant, le marquis d’Ajuda-Pinto. Et que pour fuir l’humiliation qu’il lui inflige en épousant mademoiselle de Rochefide, elle va quitter Paris immédiatement après la célèbre fête où est enfin invitée Delphine de Nucingen qui attendait cette occasion depuis longtemps.
en 1820, dans l’Interdiction, la duchesse de Langeais lui prend son rôle de reine du tout-Paris. Elle est pas mal de temps. immédiatement détrônée par la marquise d’Espard.
en 1822, dans la Femme abandonnée, elle s’est retirée dans la plus grande solitude à Courcelles, en Basse-Normandie et elle refuse de voir quiconque. Mais le jeune Gaston de Nueil, venu en convalescence dans une famille de haut rang (les Champignelles), finit par forcer sa porte et la séduire. Après bien des hésitations, la vicomtesse se laisse aller aux joies d’un nouvel amour. Après un séjour de plusieurs années à Genève avec son jeune amant, elle l’incite à se marier en espérant qu’il refusera. Gaston de Nueil se marie et de nouveau, la vicomtesse est
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