La contestation de l’absolutisme par la philosophie politique des Lumières
Par Plum05 • 15 Novembre 2018 • 2 295 Mots (10 Pages) • 733 Vues
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leurs concitoyens en luttant contre l’ignorance, notamment à travers le projet grandiose de l’Encyclopédie. Elle ce limite a une réflexion politique et entend de régénéré l’homme dans sa globalité. Les philosophes ne prône pas la révolte de la population mais compte sur les moyens intellectuelles pour influencé les dirigeant de l’époque. Afin qu’il procède eux même aux réforme nécessaire. La philosophie de John Locke (1632- 1704) se répand progressivement en France. Pour lui, le peuple demeure le seul souverain véritable, et tous les hommes possèdent des droits naturels inaliénables. Dans l’esprit des Lumières, le philosophe est un homme qui s’engage et propose des solutions pour réformer le système politique, car la réflexion critique permet de libérer l’homme de croyances reposant sur l’autorité ou la coutume.
Ce nouveau courant va apporter en plus des philosophes, de nouvelle théorie pour pallier les manque découvert et permettre a la population de ne plus critiquer le pouvoir.
B) Les philosophe et leurs nombreuses théories
Les philosophes des Lumières vont au fur et a mesure du siècle nous éclairé sur le pouvoir politique, nos liberté et permettre alors une meilleur connaissance. Ils vont permettre a la population de s’affirmer en tant que tel. Ils vont permettre grâce à l’Encyclopédie de nouvelle connaissance sur plusieurs matière. L’un des philosophe les plus connue est Voltaire. Il est un grand intellectuel des Lumières, il est le fils d’un notaire parisien, François- Marie Arouet (1694-1778) est d’abord un poète. Il connaît l’exil en Angleterre à cause de ses écrits politiques interdits en France. Il admire énormément le modèle de la monarchie parlementaire de l’Angleterre, particulièrement l’esprit de liberté. Jean-Jacques ROUSSEAU, né en 1712 et mort en 1778, est aussi un grand philosophe des Lumières. Dans « Du Contrat Social », rédigé en 1762, Rousseau décrit alors sa vision d’une société régie par les lois d’un gouvernement, qui serait le représentant du peuple. Il parle aussi de l’idée qu’un gouvernement injuste peut être renversé s’il ne représente plus le peuple. Pour lui, le gouvernement et le peuple doivent se lier dans un contrat, qu’il nomme « Contrat Social » . C’est un écrit très avancé pour son époque, et a contribué au mouvement révolutionnaire en 1789. On doit à Rousseau la notion de la liberté telle que nous la connaissons aujourd’hui dans la République. Il y a aussi Denis Diderot (1713-1784) qui est aussi un grand philosophe des Lumières. Rédacteur de l’Encyclopédie, il insiste sur l’idée de Nation dans l’article « Autorité politique ». Pour lui : « aucun homme n’a reçu de la nature le droit de commander aux autres ». Montesquieu (1682- 1755) rédige son ouvrage « De l’esprit des Lois » où il décrit un gouvernement idéal selon lui, c’est-à-dire un gouvernement caractérisé par une séparation des pouvoirs. Il s’oppose à un régime politique où tous les pouvoirs seraient concentrés dans les mains d’une seule personne, et donc, à la monarchie absolue qu’il compare à un d’après lui à un : « affreux despotisme ».
Le siècles des lumières a été très important pour notre histoire. Durant ce siècles est apparut un courant qui a prit de l’ampleur avec les événement survenue et un absolutisme très contester par les citoyens. Cette critique a fait place alors aux philosophes qui on alors pointé du doigt le manque de liberté au sein de la France.
II. La liberté politique vue par le philosophe Montesquieu
La liberté politique est importante aux yeux de la population c’est alors que Montesquieu, un philosophe va publié un livre, dans lequel apparaît le manque de liberté en France (A), ainsi que la séparation des pouvoirs politique ainsi que la distribution des pouvoirs (B).
A) Le manque de liberté au sein de la France
Montesquieu qui est un grand philosophe (1682- 1755), va dans « De l’esprit des Lois » exprimer le manque de liberté. Il va critiqué ce manque de liberté et mettre en place une théorie. La liberté politique est très importante car elle permet au citoyen de s’exprimer sur leur droit et leur choix. Les citoyens veulent simplement exprimer leur opinion politique sur la sûreté. Le problème est que les citoyens n’ont pas cette liberté, le gouvernement n’est pas fait de tel. Montesquieu indique qu’on ne peut pas avoir l’ensemble des puissances réunit en une seule personne car cela fait qu’il n’y a aucune liberté. Les citoyens peuvent craindre les politiciens de peur qu’ils créaient des lois tyrannique pour alors par la suite les exécuter de la même manière. Pour Montesquieu, il n’y a toujours pas de liberté si deux des puissances ne sont pas séparer. Si elles sont toute les deux jointe alors la vie et la liberté des citoyens sera arbitraire parce que le juge sera législateur. Si elle est jointe à une autre puissance, le juge aura alors « la force d’un oppresseur », d’après Montesquieu. Montesquieu indique aussi sur la liberté dans le livre XI de « De l’esprit des Lois » : « Il est vrai que, dans les démocraties, le peuple parait faire ce qu’il veut; mais la liberté politique ne consiste point à faire ce que l’on veut. Dans un État, c’est-à-dire dans une société où il y a des lois, la liberté ne peut consister qu’à pouvoir faire ce que l’on doit vouloir, et à n’être point contraint de faire ce que l’on ne doit pas vouloir. Il faut se mettre dans l’esprit ce que c’est que l’indépendance, et ce que c’est que la liberté. La liberté est le droit de faire tout ce que les lois permettent; et si un citoyen pouvait faire ce qu’elles défendent, il n’aurait plus de liberté, parce que les autres auraient tout de même ce pouvoir. ». Montesquieu nous montre ainsi ce manque de liberté des citoyens posé par le gouvernement et leur crainte face à eux.
Montesquieu parle alors de plusieurs puissances. Il les divise en trois puissances distinct qui ne devrons pas être dans la même personne. Il parle alors de la séparation des pouvoirs et propose une certaine distribution.
B) La séparation des trois pouvoirs politique et sa distribution
Montesquieu dans son livre XI « Dans l’esprit des lois », nous parle alors de trois puissances qui deviendront plus tard la séparation des trois pouvoirs. Il parle tout d’abord de la puissance législative où la personne qui s’en occupe fait les lois pour une duré déterminé ou infini. Elle corrige ou abroge les lois déjà faites. La seconde puissance est la puissance
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