La Culture Générale

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l’universel.

Ce coté collectif est d’ailleurs limité par le coté personnel qui est riche de diversités socio-historiques et individuelles.

En particulier c’est la composante individuelle qui distingue chaque individu, selon son milieu, sa famille et ses intérêts.

Pour ce qui concerne la famille; si elle appartienne à un milieu élevé, on aura une transmission de compétences spécifiques utiles à l’individu pour trouver sa place dans la société. Au contraire elle s’occupera de transmettre des valeurs humains comme le sens de sacrifice, du travail, du respect de l’autre et de la tradition.

Étant donné qu’il y a un aspect personnel, la composante universel est toujours plus réduites au minimum à cause des diversités issues de l’être humain.

D’ici le fait que questions de culture générale sont utilisées pour évaluer le degré de connaissance des étudiants semble être discriminant surtout car le système scolaire est celui qui doit combler le vide et le déficit culturel de certaines familles qui n’ont pas eu accès à la culture.

Un autre limite qui concerne l’enseignement de la culture générale à l’école est l’incapacité de la mémoire humaine de retenir chaque information. En regard de ce déficit humain, on a développé des moyens technologique capables de mémoriser chaque type d’information et dont les applications et les services sont facilement accessibles grâce à la diffusion d’Internet.

Puis on a aussi le système scolaire qui est fermé sur la transmission d’un savoir exclusivement littéraire au détriment de matières artistiques comme la musique et la sculpture généralement considérés comme des luxes superflus.

A cet égard Edgar Morin propose l’introduction dans les école d’un méta-savoir, capable de faire communiquer les savoirs pour les rendre nourriciers pour l’esprit de chacun. En effet la culture générale comprend aussi la capacité de passer d’un savoir à l’autre, de manière à développer un sens critique qui doit distinguer les informations qui nous parviennent des médias.

En particulier sont les matières artistiques qui doivent être introduites dans l’enseignement, car il a été prouvés qu’ elles stimulent l’imagination et permet l’étudiante d’expérimenter des situations différentes de celles qu’il connaît. Les professeurs peuvent donc organiser une mise en scène où chaque élève joue son rôle ou en les impliquant dans des activités qui développent leur sens de la solidarité et les encouragent à participer activement et pleinement à la société.

En effet, selon Martha Nussbaum, le théâtre et la danse réussissent a toucher les enfants d’une manière entièrement différente par rapport aux livres. Si un élève, elle dit, joue une pièce consacrée à la discrimination raciale, il comprendra l’oppression personnelle qui peut en résulter, il le vivra sur son corps avec un effet cathartique.

En outre l’enseignement de la culture générale ne doit pas concerner seulement des savoirs pratiques ou des connaissances spécifiques mais elle doit intéresser aussi bien à transmettre des valeurs qui vont former l’esprit des futurs citoyens qui doivent vivre dans une société en respectant les autres.

Un des risques majeures est celui d’une globalisation culturelle où toutes diversités culturelles qui caractérisent chaque civilisation risquent graduellement de disparaître au profit d’une hégémonie culturelle.

Ce phénomène est déjà visible au niveau linguistique, où c’est la langue anglaise à dominer sur les autres langues, surtout dans les domaines modernes de l’informatique et de la technologie.

Ces derniers domaines n’ont pas seulement facilité l’accès à l’information mais ils ont inévitablement changé le mode di transmission de la culture générale du vertical de génération en génération à l’horizontal .