John R. Porter

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R. Porter conclut une entente, en collaboration avec le gouvernement, avec une partie des employés, suite à la menace de grève survenue lors de la préparation de l’exposition de Rodin. Rôle de négociateur

18. En 1997, John R. Porter met en place un comité qui a pour mandat de réviser l’ensemble des activités du musée afin d’en rationaliser le fonctionnement et d’assurer la stabilité financière. Rôle de répartiteur des ressources

19. À l’hiver 1995, John R. Porter met sur pied une fondation qui a pour mandat d’accroître la stabilité financière du musée. Rôle d’entrepreneur

20. John R. Porter établit la restructuration de l’organisation en trois directions, dont l’administration, la conservation et les affaires publiques, de façon à accroître la décentralisation et à contrer la baisse d’effectifs. Rôle de répartiteur des ressources

Rôle d’entrepreneur

3. Bergeron décrit quatre types de compétences que les gestionnaires doivent posséder (p. 26-27). Décrivez les expériences passées de John R. Porter qui ont pu lui permettre de développer chacun de ces types de compétences. Plus précisément, repérez et catégorisez, en donnant des détails, huit éléments d’expérience ou de formation dont au moins un élément pour chacun des types de compétences.

 Les compétences liées au domaine technique

 Entre 1990 à 1993, le directeur John R. Porter a acquis de l’expérience dans une tâche spécialisée comme conservateur en chef du Musée des Beaux-Arts de Montréal. Il a l’expérience de diriger diverses directions de services.

 En 1981, il fait un doctorat en histoire de l’art à l’Université de Montréal. Le titre de sa thèse, «Un peintre et collectionneur québécois engagé dans son milieu : Joseph Légaré (1795-1855)». De par sa formation sur l’art, celui-ci a acquis les connaissances nécessaires pour remplir la mission du musée de promouvoir l’art québécois dans toutes les périodes.

 Les compétences liées aux relations interpersonnelles

 Lorsque John R. Porter a été conservateur en chef au Musée des Beaux-Arts de Montréal, celui-ci a encadré une cinquantaine de personnes; de par sa fonction; celui-ci a mobilisé les diverses équipes de travail pour remplir la mission du musée.

 De 1984 à aujourd’hui, John R. Porter a dirigé ou codirigé neuf étudiants de maîtrise et six étudiants de doctorat.

 Les compétences liées à la conceptualisation

 En 1989, John R. Porter a soumis au Musée des Beaux-Arts de Montréal le projet d’une exposition majeure sur le mobilier de l’époque victorienne au Québec; celui-ci a utilisé l’expertise d’une quinzaine de chercheurs différents pour arriver à son but, Il a eu une vision globale pour représenter l’exposition.

 Avant d’être directeur du Musée de Québec, John R. Porter a co-organisé et participé à l’organisation de huit expositions.

 Les compétences liées à la communication

 De 1978 à 2000, John R. Porter a enseigné l’histoire à l’université Laval de Québec. Sa formation et son expérience dans la transmission de ses connaissances lui sont un atout précieux.

 De 1990 à 1993, John R. Porter a été conservateur en chef du Musée des Beaux-Arts de Montréal. Son expérience acquise lors de ses participations à des réunions hebdomadaires avec l’équipe de direction démontre des expériences à communiquer avec divers responsables de directions.