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Economie du developpement cas

Par   •  21 Mars 2018  •  2 138 Mots (9 Pages)  •  468 Vues

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L’autre enregistrement se fait sur la base des transactions. La transaction proprement dite, il s’agit du flux physique lorsqu’il s’agit d’une marchandise. Et pour les services c’est le moment où le service est totalement rendu au résident ou au non-résident. Ex : transporteur → service, l’enregistrement du transport ne va pas se faire lorsque le camion est à mi-chemin, la transaction sera enregistrée quand le camion arrive à bon port car il s’agit d’un transfert de service.

- Retenir que dans les manuels on a pris la décision d’enregistrer les opérations sur la base des transactions et non pas sur la base des règlements.

- On a décidé de ramener toutes les valeurs d’échanges en FOB (free on bord).

De façon très claire les flux purement de nature financière (ex : l’achat ou la vente de titres, le prêt ou l’emprunt), ces opérations font l’objet d’un règlement monétaire (monnaie scriptural, débit/ crédit d’un DAV). On distingue alors ici bien le financier du monétaire. Pb quand les avoirs que l’on transfère d’un pays à l’autre sont purement monétaires ; dans ces cas-là, il est difficile de faire la différence entre un avoir financier et un règlement monétaire. On va dégager une position monétaire avec les soldes de l’ensemble des résidents par rapports aux non-résidents. Cette position monétaire va dépendre notamment (mais pas seulement) des règlements des transactions.

On va classer dans la BP les opérations par nature et le classement général de ces opérations est assez simple, le classement général va du plus physique (produits) au plus monétaire. Il va y avoir en haut de la balance toutes les transactions réelles, de biens et de service et on va passer aux transactions financières et on terminera par les écritures monétaires.

- Les différents soldes et la notion d’équilibre extérieur

La première possibilité est d’abord de dire qu’on ne peut tenir compte que des échanges de produits, si on ne tient compte que des échanges de produits, on va parler seulement de la Balance Commerciale (BC). Souvent dans la BC on va inclure également les services. Donc en réalité le premier solde à retenir est le Soldes des Biens et Services.

- Solde des Biens et Services

- Solde des Transactions Courantes → il est sur le plan microéco le solde le plus significatif de l’équilibre macro éco par rapport à l’extérieur. Que retient-il en plus par rapport au soldes des b&s ? Il va rajouter les revenus des facteurs de production (revenus des salariés qui peuvent transférer vers l’étranger & revenus des salariés étrangers → les revenus qui peuvent être tirés de l’appareil productif, ce qui émane de l’économie réelle).

- Le Solde des flux financiers → les opérations financières proprement dites, c’est le solde de toutes les opérations qui n’ont pas un caractère de règlement monétaire.

- Le Solde à Financer → va représenter l’ensemble des transactions courantes et on va rajouter les mouvements qui concernent l’investissement direct. L’investissement direct c’est soit l’achat de toute ou partie de l’entreprise ‘qui peut se faire par l’achat d’actions), soit l’implantation dans un pays en créant mon entreprise. Le résultat est le même sur le plan de la nature, c’est une stratégie d’entreprise pas juste une opération financière. Voilà pq on introduit l’investissement direct dans ce solde financier.

- En dessous de cette BP il va nous rester les opérations financières (achats et ventes de titres/ opérations de prêts/emprunts) et monétaires (jeux d’écritures sur des DAV).

Notion de position extérieure → la position extérieure c’est la situation de créances et de dettes entre les résidents et les non-résidents (RDM). Si on est débiteur du RDM → position avantageuse car si on est débiteur cela veut dire que les non-résidents nous ont financé un certains nombres d’opérations. Ex : Un fond d’investissement japonais achète des obligations françaises. L’entreprise fr a trouvé un financeur mais d’un côté elle est endettée. Le Fait d’avoir une position extérieure débitrice montre que l’on est financée majoritairement par l’étranger. Au contraire quand position créditrice, c’est nous qui finançons les projets en termes de sole net. Les USA ont la plus grosse position débitrice au monde aujourd’hui. Le premier créancier des USA est la Chine.

- Les nouvelles modalités en réponse à la globalisation

- plus tard

II) RETROSPECTIVE ET VUE D’ENSEMBLE DE LA SITUATION ACTUELLE DES ECHNAGES INTERNATIONAUX

- Brève Rétrospective

- L’essor du XIXème et du début du XXème siècle

Quand on va parler de la naisse du commerce international on va faire référence au 19ème siècle. Les historiens s’entendent pour dire que cet essor du commerce international est né à peu près en même temps que la Révolution indus, la production de masse. Une idée fréquente est de dire qu’on a appris à produire à grande échelle. La logique a donc été de dire que les entr d’un pays vont commencer par approvisionner leur propre pays mais puisque ces entreprises ont la capacité de produire en masse, c’est à ce moment-là que les entreprises ont décidé d’investir, de s’attaquer aux marchés étrangers. On prend souvent l’exemple de Ford, on inonde le marché américain mais on s’aperçoit qu’on peut aller au-delà → économies d’échelle, rentabilité, etc… Ces débuts oint été un peu chaotiques, une période d’essai rapide qui va de 1850 à 1914, une seconde période qui va de 1919 à 1939 qui est une période très heurtée (crise éco mais pas seulement) et 3ème temps l’après 2nde GM : la croissance, le ralentissement & une période d’incertitude. Ces grands événements de l’histoire du commerce international vont modéliser les pensées et réflexes.

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