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Economie Cours

Par   •  9 Mai 2018  •  5 140 Mots (21 Pages)  •  413 Vues

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PIB : Produit intérieur brut. Synthèse, né des années 50, outil keynésien. Toutes les valeurs ajoutées marchandes + « les VA » des activités non marchandes à l’intérieure du territoire pendant une année donnée, amortissement inclus. CA – les consommations intermédiaires (tout se qui est consommé dans la production). C’est à cela que l’on juge la croissance économique. Indicateur de mesure de croissance d’un pays. Le PIB totalise toutes les VA quel qu’elles soient. Tout est mis au même niveau (celle qui détruit le PA et qui le reconstruise). Pas un bon indicateur de bien être.

IDH : indice de développement humain = Esperance de vie à la naissance, la durée moyenne de scolarité, revenu national brut. Indicateur du progrès humain.

- Les stratégies d’entreprises (FMN ou FTN) dans le cadre de la mondialisation.

- des stratégies qui ont évolués.

la multinationalisation commence avec les firmes US depuis le 19e siècle. Def : quand elle à une filiale de production à l’étranger.

but:

- Rapprochement des sources de matières premières,

- Pénétration de nouveaux marchés, rapprochement de la demande, contournement des barrières douanières

- La DIPP a été incité par la baisse du couts de transport et de communication (En base 100 en 1970 le coût de transport devient 38 en 2000. Prix des communications passe de 100 à 3 en 2000) et fondée sur l’économie d’échelle (le fait de produire à grande échelle : baisse des couts unitaires)

- Des stratégies financières qui visent à maximiser la rentabilité. Logique financière assez récente et supposent certaines conditions : globalisations financières. Les flux de capitaux ne représentent pas les flux de capitaux réels. Déplacement des capitaux sans forcement de flux de marchandises équivalant. Mouvement de capitaux au sein des holdings.

Ces quatre stratégies cohabitent

- Les moyens : les IDE

- Les E peuvent investir à l’étranger grâce à deux moyens : soit les IDE soit les investissements portefeuilles. IDE : Investissement qu’une E réalise dans un pays étranger dans un but durable, pour y acquérir un intérêt. Investissement Env. 10% du capital social de l’E visée. Investissement de portefeuille si inferieur à 10%. Différent investissement de placement et investissement stratégique. Gros développement depuis les années 70 : 1970 flux annuel = 25 Mrd de $ aujourd’hui 7000 Mrd de $. Cependant, chaque pays n’utilise pas la même méthode de calcul.

- Changement de géographie : pays développés et en voie de développement.

- Localement cela permet d’effectuer des transferts de technologie. (voir article sur les IDE).

- l’analyse des stratégies des firmes multinationales.

Deux schémas logiques et rivaux pour expliquer les choix des FMN – FTN :

- Fragmentation des processus productif, conforme à la logique ricardienne (rationalité). Dans une situation de CPP, les E recherchent des avantages comparatifs, (diminution des couts de transport, etc.). C’est légitime d’autan plus que plus de pays offres des avantages grâce à la mondialisation. Ce raisonnement suppose des biens homogènes (standardisés) : Recherche de compétitivité-prix (en opposition à compétitivité-produit): recherche de coût du travail bas, cout du capital, fiscalité attrayante, optimisation fiscale.

- Logique intra-branche de différentiation horizontale : Dans une concurrence imparfaite la concurrence se fait aussi sur d’autre chose que le prix. Les E vont privilégier la différentiation du produit pour obtenir des parts de marché que sur le prix. Donc les logiques de localisation vont évoluer. Les FMN adaptent leurs produits à la localisation. (Vuitton en chine – Danone en Russie). Compétitivité hors prix repose sur une dimension hors cout donc sur une stratégie de RD, ressources immatérielles (compétence, SF), ressources institutionnels (politique, éducation, pôles de compétitivités, services publiques)

Thème 2 :

Le financement de l’économie.

Introduction : La sphère monétaire, toutes les logique de financement des entreprises autrement que par la monnaie (crédit)

1- L’évolution des formes de la monnaie.

Pourquoi la monnaie s’est imposée dans la société ? Plus d’avantage que le troc. Les limites du troc :

- Difficulté de l’évaluation des biens échangés par rapport à un autre bien

- Universalité du troc ? Lieu et bien échangé

- Adéquation entre deux Coéchangistes.

- Problème de conservation, durabilité des biens échangeables

La monnaie rempli donc trois fonctions :

- équivalent général, référence, unité de compte. Cela permet de comparer des biens incomparables initialement

- Instrument de transaction : il a le pouvoir d’éteindre les dettes

- Fonction de réserve de valeur. Il conserve sa valeur dans le temps. Actif liquide – utilisable immédiatement comparativement a un bien solide (maison, voiture, action, obligations)

L’histoire de la monnaie c’est :

- l’histoire d’une dématérialisation progressive.

- La première forme de monnaie : les monnaies marchandises, le proto-monnaies. Marchandise choisie pour ces qualités intrinsèques, propriétés. (le sel, le thé, le grain, l’ambre,) Pas trop rare mais pas trop abondant, divisible, non périssable.

- Le monnaies métalliques : le métaux ont une valeur en rapport à leur poids. Petit à petit, elles se sont détachées de leur valeur intrinsèque pour ne représenter qu’une valeur faciale.

« Quand deux monnaies circulent la mauvaise chasse la bonne »

- La monnaie papier, la monnaie fiduciaire, les billets. C’était

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