Cours éco les acteurs de l'économie
Par Junecooper • 10 Mai 2018 • 4 400 Mots (18 Pages) • 591 Vues
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-le 1er adulte : 1 unité de consommation
-Autres personnes de + de 14 ans : 0,5 UC
-Enfants de moins de 14 ans : 0,3 UC
(Doc 2 du poly 1) → haut niveau d'intervention de l'État. Dépenses liés au logement / alimentation/ habillement. Mais aussi pour les biens secondaires comme les transports / loisirs.
3-Transformation de la structure de consommation des ménages.
L’accroissement quantitatif du niveau de vie s'accompagne d'une évolution structurelle dans la composition qualitative de la consommation des ménages.
Ces transferts sont révélateur de grandes mutations sociétales : urbanisation / progrès de l'éducation / individualisation (développement de l'individualisme. Les pratiques d'alimentation se diversifie avec le recours à la restauration rapide, qui indique un déclin de la ritualisation du repas quotidien. Néanmoins l'alimentation demeure un vecteur important de la sociabilité comme l'indique la progression des dépenses de restaurant ou d'alimentation à vocation festive (ex: le champagne). Quant aux caractéristiques des aliments, elles traduisent un rapport au corps marqués par la forme / diététique , plus que la valorisation de la forme physique→déclin des produits gras et peu raffinés. Mais augmentation des produits conformes à une culture de la santé.
→Progrès : La loi d'Engel est une loi empirique avancée en 1857 par le statisticien allemand Ernst Engel. D'après cette loi, la part du revenu allouée aux dépenses alimentaires (ou coefficient d'Engel) est d'autant plus faible que le revenu est élevé. (Cette loi critiquée par Halbwachs)7
Veblen : Contre l'utilitarisme : les riches dépenses leur argent dans des biens à effets négatifs. Alimentation devient un bien ostentatoire pour montrer sa richesse. (repris ensuite par Halbwachs).
Texte d'Annie Ernaud :
→ Supermarchés : zones leur est dédiés, en périphérie des villes (concentration).
→ Supermarchés sont le symbole de la consommation de masse, beaucoup de produits en libre accès (très diversifié) → logique individualiste.
→ Ce sont des lieux de mémoire: repère dans la vie d'une société et c'est un facteur de cohésion sociale. Mais à l'intérieur d'un supermarché, ségrégation sociale et spatiale (ex: rayon BIO)
→Ce sont aussi des lieux de sociabilité : rencontre, discussion, lieux de vie. Pas simplement pour prendre des denrées, mais aussi pour satisfaire un besoin sociale. Révélateur des échanges entre les individus (ex de la petite fille avec sa grand-mère, forme de marchandisation du lien social).
B- Les entreprises et la production marchande
1-la diversité des entreprises
Depuis 2008, il y a un décret d’application de la loi de modernisation de l’économie (LME), qui définit l’entreprise :
Entreprise : la plus petite combinaison d’unité légale qui constitue une unité organisationnelle de production de biens et de service jouissant d’une certaine autonomie (≠indépendance) de décisions notamment pour l’affectation de ses ressources courantes → unité légale qui exerce une unité au sein du service marchant. Le but de l’entreprise n’est pas seulement de faire du profit.
- Les entreprises se différencient selon leur statut juridique. Elles sont soient publiques, soient privées. Les entreprises publiques sont celles sur laquelle l’Etat peut exercer in/directement une influence dominante.
- EI (l’Entreprise Individuelle)→ son propriétaire est une personne physique, responsable sur ses biens des dettes de l’entreprise. Pas de différence entre les apporteurs de travail et de capitaux.
- SARL (Société A Responsabilité Limitée) → forme d’association (où les associés peuvent être entre 2 et 100) où les associés ne sont plus responsables des dettes de l’entreprise. Chaque associé possède une part de la propriété de l’entreprise, proportionnelle à l’apport de capitaux. Pour sa gestion, il y a un gérant qui va rendre des comptes annuellement à l’assemblée générale des associés. Il y avait un montant minimum de dépôt pour en créer une, ce montant minimum (7500 €) a été supprimé en 2003 pour inciter les entreprises. L’avantage est de gagner en gain de capital mais en perte de pouvoir décisionnel.
- SCOP (Société Coopérative et Participative) : société où les parts sont détenues par les salariés. Le dirigeant est élu par les salariés associés. Le partage du profit est répartie équitablement entre les salariés.
- SCIc (Société Coopérative d’Intérêts Collectifs) : entreprise collective qui permet d'associer autour du même projet des acteurs multiples : salariés, producteurs, bénéficiaires, bénévoles, usagers, collectivités publiques, entreprises, associations, particuliers... tous types de bénéficiaires et de personnes intéressées. Elle produit des biens ou services qui répondent aux besoins collectifs d'un territoire.
- Société Anonyme (car on n’identifie plus les propriétaires des parts→ min 7 actionnaires) : dissociation entre la propriété et la gestion de l’entreprise. Les actionnaires désignent un directeur générale (qui sera salarié) qui devra appliquer les lignes directrices décidé par les actionnaires. Il doit rendre des comptes périodiquement. Ici, le capital est divisé en actions.
- Rechercher en quoi l’OPA est une menace pour l’entreprise de Société Anonyme.
→Une OPA (Offre publique d’achat) est une opération par laquelle une entreprise cherche à prendre le contrôle d'une société cotée en achetant ses titres à ses actionnaires. Pour inciter ceux-ci à vendre leurs titres, le prix offert est généralement supérieur au cours coté. Les actionnaires acceptent souvent de vendre leur part pour faire du profit. Ce peut être une menace car un actionnaire peut possédez toutes les parts de l’action. Ce peut être une menace car les actionnaires peuvent en perdre le contrôle. De plus, en cas d’OPA hostile, une stratégie mis en place ne peut que leur faire accepter la vente de leur société.
→En quoi le holding est une solution à cette menace ? Le holding
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