Audit. Mise en place du progiciel de gestion de comptabilité analytique MyABCM au sein de la CNRA/RCAR

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Apport personnel :

En tant que stagiaire, j’ai pu intervenir sur les 3 premières phases du projet étant donné que les deux dernières phases étaient des phases plus de formation du client au sujet du progiciel mis en place.

Durant ces 3 phases, j’ai pu mettre en pratique mes connaissances théoriques et les concilier avec les exigences du métier et de la mission plus précisément, dans la mesure où la conception du modèle analytique de départ était très enrichissante. Par ailleurs il était tout aussi formateur de faire face à certaines complications :

Problèmes rencontrés

- Par rapport à la méthode ABC, le seul moyen de « capter » la complexité est de multiplier les unités d’analyse. Cela alourdit les collectes de données, nécessite de puissants outils de stockage et de traitement de l’information. La mise en place est lourde tout comme les mises à jour qui seront alors beaucoup trop irrégulières.

- Passer beaucoup trop de temps à analyser l’existant (la phase de diagnostic), pourtant les efforts fournis par l’équipe ont abouti et nous ont permis de se rattraper dans le temps et contrôler la situation en main, par rapport au plan figuré sur le diagramme de GANT. En effet, le temps est l’ennemi du consultant, ce dernier doit toujours lutter contre le temps, il n’y a pas de bonne mission de conseil réalisée en dehors des délais prévus.

- Au niveau du cadre pratique du rapport rédigé, l’entité cliente « CNRA » ne nous donne pas droit à partager certaines informations qu’elle estime confidentielle pour l’entreprise, chose qui nous empêche aujourd’hui de vous présenter un diagnostic d’analyse de la situation de l’entité.

- Le correspondant ABC en accord avec sa hiérarchie, positionne chaque matricule dans les activités sous forme de pourcentage. On risquait d’avoir une surcharge inutile au niveau de la volumétrie de l’application de comptabilité analytique, pour éviter ceci nous avons instauré les 3 règles de gestion suivantes afin d’appréhender les activités significatives :

- Une personne ne peut pas déclarer son temps sur plus de 4 activités (hors projets),

- Chaque activité ne peut pas représenter moins de 10% du temps d’une personne.

- Afin de limiter le temps de saisie, l’unité de saisie est un multiple de 10% entré sous la forme %

- Comme indiqué au paragraphe « Périmètre analytique », les dépenses qui ne résultent pas directement de l’activité du Pôle Prévoyance, ou qui ne sont pas directement liées à la responsabilité de managers, sont exclues du système de calcul des coûts.

Ainsi Pour équilibrer le modèle analytique, ces coûts hors périmètre seront affectés aux produits du Pôle Prévoyance à part égale, chose qui risque d’allonger la durée du projet plus que prévu.