Analyse de l’entreprise SEMCO

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tirés du cas peuvent se relier aux cinq thèmes de postulats du mouvement des relations humaines, mais aussi on peut les relier au mouvement participatif « qui examine la dynamique du groupe comme un élément central de l’organisation. » Aussi on peut relier les extraits tires du texte au modèle participatif par le fait que celui si « concilie les besoins individuels, notamment le besoin supérieur d’actualisation de soi et les besoins organisationnels. » C’est tout à fait le cas de SEMCO, qui valorise ces employés et leur donne le sentiment d’apparence ce qui a pour effet de tisser de très bons liens entre tous les employés.

SEMCO répond à tous les postulats du mouvement des relations humaines. Au niveau de la division de travail, SEMCO offre et incite ces employé à changer souvent leur poste et leur rôle ce qui les rends plus compétents dans différents types et postes de travail. SEMCO correspond aussi au postulat de l’administration « la formalisation administrative rompt les liens de solidarité des groupes et isole les membres » or chez SEMCO il n’y a pas de formalisation administrative, mais plutôt un climat de bien-être entre les employés. Ils n’ont pas des secrétaires et des assistantes sectaires, les employer gère leur propre temps de travail. Voici un exemple qui démontre très bien la structure administrative non hiérarchisée de SEMCO : « La mise en place d’un nouveau système signifie qu’on va démolir la pyramide, supprimer radicalement des niveaux hiérarchiques, éliminer des tas de titres, briser les chaînes de commandements établis. »

Un autre postulat qui est similaire a la structure de SEMCO est celui de satisfaction des besoins sociaux. A titre d’exemple du cas on peut citer : « les horaires sont flexibles et chaque employé détermine ses journées et son horaire de travail selon les caractéristiques de ses fonctions et ses activités, et selon ses préférences » ceci montre très bien que SEMCO se préoccupe des besoins sociaux de ces emplois. Les employer est très bien valoriser au sein de SEMCO. Le dernier postulat dit que « l’être humain est un animal social et non rationnel […] Seule l’intégration dans un groupe lui fournira les satisfactions qu’il recherche. » La multinationale applique très bien ce dernier au sein de ses employés, comme on a vu dans plusieurs exemples. Elle accorde une très grande valeur à chacun de ces employés et les laissant s’exprimer librement et assister à toutes les conférences. SEMCO ne cache rien de ces employés, mais au contraire elle leur donne le droit de parole et implique son personnel dans toutes les décisions.

Avec tous ces exemples il advient clair que la politique de SEMCO est la valeur beaucoup plus grande de la personne travaillante que celle de là l’entreprise. Les employés qui aiment leur travaillent performeront beaucoup mieux que ceux qui le font par obligation, et c’est d’ici que découle la politique de SEMCO.

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Le capitalisme dit industriel est un modèle qui est plus basé sur les principes de l’organisation du travail. Alors que celui-ci prône le profit de l’entreprise au détriment de la personne et de son bien-être. Donc on réduit le plus possible le nombre d’employés, on exploite au maximum la main d’œuvre et on réduit le plus le cout de production pour faire profiter l’entreprise. En fin de compte les employés sont exploites et les dirigeants des entreprises sont fortunes. Lors de la crise, SEMCO n’a pas utilisé tout à fait cette stratégie. SEMCO a plutôt acquis plusieurs d’autres compagnies et entreprises pour augmenter leur expertise et pour se diversifier dans plusieurs autres secteurs d’activités. De plus ils ont fait plusieurs changements structurels de l’entreprise. Tous ces changements on porte fruit. Voici un exemple du cas prouver ce fait : « Plusieurs changements fondamentaux sont adoptés et le chiffre d’affaires de l’entreprise passe de 4 millions de dollars en 1980 à 35 millions en 1994, puis à 212 millions en 2003 (Trouvé, 2005) et l’effectif de 90 employés en 1990 à 3 000 employés en 2003 ». Alors ici on peut voir que l’entreprise SEMCO n’a pas utilisé l’approche du capitalisme industriel pour se sortir de la crise et augmenter sa productivité, mais bien une tout à fait autre stratégie. Il est important de noter ce qu’on dit à propos de SEMCO à la fin du cas : « De manière générale, on respecte plus les aspects anthropologiques et humains que les aspects politiques. » Ceci vient encore une fois d’éclaircir sur le point que les valeurs de l’entreprise SEMCO ne sont pas du niveau capitaliste industriel, mais plutôt de niveau humain. Ce qui d’ailleurs explique le succès de cette multinationale avec un système de management très différent des entreprises traditionnel.

De ce qui du capitalisme financier, qui est définit comme étant « l’ensemble désigne l’ensemble d’activités spéculatives entre agents qui vise à maximiser les gains dans le délai le plus court possible. » De ce qu’on comprend du cas de SEMCO, cette entreprise n’a pas eu à faire aucune spéculation durant son existence, ni pendant la crise qu’elle a vécu ni après avoir sorti de la crise. Au contraire, l’entreprise multinationale SEMCO n’a pas cessé d’augmenter sa valeur réelle en travaillant avec d’autres entreprises, en ayant recours à des entreprises satellites et en gérant de manière très efficace et inhabituelle sont personnelles. SEMCO est un excellent exemple d’une bonne manière de gérer une entreprise en prônant le bien-être de ces employés et en tissant des bons liens avec le monde extérieur. Selon certains experts du cas, il n’y a pas beaucoup d’entreprise à l’échelle internationale qui sera capable de fonctionner à la manière de SEMCO. « Seulement peu d’entreprises ont essayé de copier sa gestion, parce qu’il semble que le management tel que pratiqué à la SEMCO va à l’encontre de toute tradition managériale »