Rapport du jeu d'entreprise

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Nous avons donc continué notre activité avec nos 33 ouvriers et ceux jusqu’à la sixième année.

L’effectif des vendeurs a varié d’année en année, en effet, notre politique était de recruter un vendeur à chaque lancement d’un nouveau produit et chaque vendeur était affecté à un produit spécifique.

Ainsi, en première année, nous n’avions qu’un seul vendeur car nous avons pris comme décision de produire qu’un seul type de produit à savoir l’interphone.

On a continué par la suite sur cette même lancée et à la sixième année on s’est retrouvé avec un effectif total de 4 vendeurs.

- Stocks

- Stocks en Quantité

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- Stocks en Valeur

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- Frais de stockage

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Ces trois graphes représentent les variations de stocks ainsi que les coûts engendrés par le stockage au cours des six dernières années.

En effet, en l’absence d’information sur la concurrence détaillée ainsi que sur la demande réelle existante sur le marché, nous avons surproduit la première année. Nous nous sommes retrouvés avec un stock final de 4465 interphones soit 641.844 Euros en Valeur et des frais de stockage de 4465 euros. Ce marché était donc inondé car l’offre était très largement supérieure à la demande.

En seconde période, nous avons stoppé la production d’interphones car notre stock était quasiment suffisant pour satisfaire la demande du marché.

Nous nous sommes donc concentrés dans la production de notre nouveau produit à savoir les « centrales ». Là aussi, nous avons eu un stock final de 2766 centrales soit 811.959 Euros avec des frais de stockage 11175 Euros. Toutefois, nous avons entièrement écoulé notre stock d’interphones.

En troisième année, nous avons uniquement produit les centrales mais cette stratégie ne nous a pas aidés car nous ne sommes retrouvés avec un stock de 3818 centrales largement supérieur à celui de 2008 soit une valeur de 1.200.561 Euros et 15.567 Euros de frais de stockage.

Après étude des résultats de l’année dernière, nous avons pris la décision de produire à la fois les interphones et centrales car la demande était élevée. Un choix qui a porté ses fruits car nous nous sommes retrouvés avec un stock restant de 1014 interphones et 1499 centrales soit en valeur 169.175 Euros et 471.975 Euros et des frais de stockage de 7220 Euros.

Ce qui montre donc que nous commençons à maitriser nos stocks ainsi que la demande du marché.

L’objectif zéro stock a été atteint pendant les deux années suivantes du fait d’une bonne maitrise du marché et de nos concurrents.

- Ventes

- Ventes des produits

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- Ventes perdues

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Ces graphiques montrent le nombre de ventes réalisées durant les six dernières années ainsi que l’ensemble des ventes perdues sur chaque produit.

- Pour les alarmes

Durant les trois premières années, nous avons décidé de ne pas produire d’alarmes. Notre choix s’explique par le fait que ces produits étaient en phase de déclin. On a conclu qu’il ne serait donc pas rentable.

Ce n’est qu’à la quatrième année (2010), après analyse des mauvais résultats obtenus les années précédentes mais aussi, une étude du marché et de la concurrence, que nous nous sommes rendu compte qu’il avait une demande insatisfaite sur ce marché due à une offre insuffisante.

Ce qui nous a davantage poussés à commencer la production d’alarmes.

En effet, pour notre première année, nous n’avons produit que 3200 unités d’alarmes alors que la demande réelle était de 3547 unités, ce qui entraine une perte de 347 unités.

En 2011 tout comme en 2012, les quantités produites ne suffisaient pas pour satisfaire la demande car celles-ci étaient de 1600 et 1077 alors que les demandes étaient de 2500 et 1501, soient des pertes de 901 et 423 unités.

Ces pertes s’expliquent d’abord, par le fait que nous étions nouveau sur ce marché, mais surtout ne nous voulions pas prendre plus de risque sur ce produit qui était toutefois en déclin.

Nous avons donc à la cinquième et sixième année, préféré baisser l’offre d’alarmes sur notre marché et sous-traité la production de ces derniers avec deux autres entreprises qui se trouve au Portugal.

En somme, nous avons mal évalué le marché ce qui nous a valu des pertes durant ces trois dernières années.

- Pour les Interphones

La première année nous avons largement satisfait la demande du marché. Par contre, notre décision de stopper la production l’année suivante n’était pas la meilleure car nous nous sommes retrouvés avec 1274 unités perdues dans le marché soit 22,20% des ventes.

Durant la troisième année, à défaut d’une capacité de production suffisante, nous n’avons pas pu satisfaire la demande ce qui a encore entraîné 2869 unités perdues soit 52,35% des ventes.

Cette situation a été toutefois résolue en 2010 mais, en 2011 et 2012, notre choix s’est porté sur la sous-traitance (c’est-à-dire produire pour d’autres entreprises) ce qui nous a valu la diminution de l’offre sur notre marché, nous avons donc une nouvelle fois perdu 756 et 813 unités.

- Pour les centrales

Nous avons mobilisé la majorité de nos équipements pour la production de notre produit phare. Cette décision était rationnelle vue que pendant les deux premières années nous avons entièrement répondu à la demande.

En 2010, nous avons préféré écouler notre stock restant et ne pas produire, une décision très judicieuse car nous a non seulement permis d’écouler