Le "honteux" traité de Troyes

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et affronter ensemble les désaccords, et les difficultés, pour pouvoir permettre un avenir et la tranquillité aux deux royaumes.

B. L’Angleterre

L’Angleterre voit quand a elle un moyen d’assouvir sa soif de pouvoir et d’extension du royaume, elle possède certes déjà la Normandie et La Guyenne, mais cette ascension marque la suprématie Anglaise. Les deux pays étant tout les deux sous l’égide de l’église «  ce qu’à Dieu ne plaise » il est d’autant plus facile pour l’Angleterre de s’imposer en France, car elle permets aussi la fin des guerres qui durent depuis trop longtemps ( même si la Guerre de 100 ans sera gagnée par la France ) les Français sont fatigués et la France est en mauvaise posture depuis un certains temps. Ce traité permets à l’Angleterre d’investir la France autrement que par la force armée et violente, mais par la force intellect, mettant au point un traité qui permets d’arrêter les guerres, d’évoluer en paix, et d’avoir un règne Anglais en France. Les forces Anglaises, avant le traité de Troyes, sont plus puissantes que les forces Françaises, ce que sait la France et accepte donc le traité au profit de ne plus perdre d’hommes.

II. La gouvernance et les coutumes

La gouvernance d’Henry V, sous le traité de Troyes

Henri V et Philippe le Bon retrouvent à Troyes, en Champagne, la famille royale. Les deux alliés dénient tout droit à la couronne de France au dauphin Charles. Ils poussent Charles VI et Isabeau de Bavière à déshériter leur propre fils, Charles. Ils conviennent par ailleurs qu’Henri V épousera leur fille Catherine la Belle. Il sera à ce titre le seul héritier de la couronne capétienne.

Le mariage de Catherine et Henri est célébré le 2 juin suivant et le 1er décembre 1420, Charles VI et son gendre font une entrée solennelle à Paris. La ville, épuisée par la guerre civile, leur fait bon accueil sans plus. Henry V dans le traité de Troyes est considéré comme le roi, et qu’au moment ou il recevra la couronne, la France et l’Angleterre seront unies pour toujours, et que tant qu’il vivra et que par la suite ses hoirs deviendront successivement rois de France eux aussi. Et que le pouvoir ne sera jamais séparé sous divers rois, mais en une seule et même personne qui sera alors souverain seigneur des deux royaumes, il dirigera donc la France et l’Angleterre, maintenant unies sous le même règne. Il est aussi dit qu’il travaillera à ce que soit accepter cette nouveauté.

La France ne l’accueillera à Paris sans grande joie, car les Français considère leur trône volé et la France violée de ses pouvoirs et de sa dignité, puisque le trône à été donné à un Anglais, malgré leurs « volonté » de réunir dans la paix les deux royaumes.

Pourtant deux ans après le roi Henry V meurt , à la suite de sa mort inattendue et soudaine, son fils Henri VI, alors âgé de neuf mois, devient roi de France et d’Angleterre selon le principe de l’union des deux couronnes édicté par le traité de Troyes. Une régence aura lieu car Henri VI étant trop petit pour gouverné les deux royaumes.

B. Les coutumes des deux couronnes

Dans le texte « Le honteux traité de Troyes » il est bien dit que aucun des deux royaumes ne devra se soumettre à l’autre, la France restera un grand royaume libre de ses coutumes, lois, usages, libertés et droits, pareillement pour l’Angleterre, et chacun ne soumettra points ses coutumes, lois, usages, libertés et droits à l’autre. Il est donc clairement expliquer que chaque pays compte garder une part d’indépendance. C’est ainsi qu’on fait croire surtout à la France que cela n’aura aucune conséquence quand a son évolution qu’à sa tête, règne un roi Anglais. Et pareillement en Angleterre, cela est vu comme un nouveau territoire conquis, comme un nouveau plan pour peu à peu investir la France, et conquérir autrement que par les armes.

Le texte repose donc sur des promesses, mais aussi explique la future succession au trône de France. Ce « honteux » traité, raconte comment la France pour cesser la guerre, et rétablir une France forte, décide de se séparer de son roi «  fou » , et d’accepter qu’un ennemi s’empare de la couronne pour rétablir le