La socialisation par la famille entre t-elle en contradicton avec celle de l'école?

...

positivement ou négativement dans la réussite scolaire. Le capital culturel est déterminant dans la réussite scolaire. Pour les enfants issus de la classe dominante il y aurait adéquation entre ce qui est valorisé par l’école et les aptitudes et connaissances que leur milieu familial d’origine leur a transmises. Dans le document 1 on peut constater que les enfants dont les parents ont un niveau supérieur des études, une bonne profession et des pratiques de lectures, eux ils ont une niveau culturel plus élevé par exemple 80% des personnes dont les parents étaient diplômes du supérieur lisaient lorsqu’ils avaient entre 8 et 12 ans donc on peut voir que ces enfants sont en harmonie avec la socialisation par l’école puisqu’ils ont les aptitudes nécessaires et valorises pour réussir dans l’école or les familles populaires ne disposent pas nécessairement d’un capital culturel qui correspond à celui qui est valorisé par l’école Cela peut avoir un impact négative sur la réussite scolaire, les enfants des milieux défavorisés ne disposent pas des normes valorisées par le système scolaire, ils ont donc moins de chances de réussir scolairement par exemple 51% des personnes dont les parents étaient agriculteurs lissaient lorsqu’ils avaient entre 8 et 12 ans. la socialisation familiale est influencée aussi par le capital économique, si les parents de l’enfant ne possèdent aucune diplôme ils vont donc se retrouver plus facilement au chômage et ce facteur peut affecter la réussite scolaire puisque les parents vont beaucoup moins aider leur enfants dans leur scolarité, au document 2 ont peut voir que Plus les parents sont diplômés, plus les enfants réussissent au baccalauréat ,Le taux d’obtention du baccalauréat des garçons ayant vécu dans une famille touchée au moins un an par le chômage du père est de 43,2 %, contre 63,4 % pour ceux dont le père n’a pas vécu un chômage durable. Le réussite du bac est encore plus élevé pour les filles avec 67,8% contre 57,5% pour les garçons. Enfin, les enfants dont les parents sont moins diplômés et donc qui se retrouvent au chômage ont de moins bonnes chances de réussite scolaire, en raison de moyens financiers réduits, d’un moindre capital culturel et d’une moins bonne connaissance du système éducatif. Ainsi, lorsque la mère a un diplôme d’études supérieures, un enfant a trois fois plus de chances d’obtenir le baccalauréat que lorsqu’elle n’est pas diplômée les enfants ayant été affectés par le chômage de leur père obtiennent donc beaucoup moins souvent le baccalauréat. lors de l’éducation de l’enfant la famille et l’école doive être en complicité ca veut dire qu’ils doivent être de la main et aider a les enfants en leurs études. Dans le document 4 on voit que Quel que soit le milieu social et le niveau scolaire de l’élève, la mère consacre son temps pour aider a son enfant . Ce sont les femmes les moins diplômées qui y consacrent le plus de temps et leur soutien s’adresse plus particulièrement aux enfants en primaire (en moyenne 15,2 heures par mois) contre (13 heures) les mères qu’ont un niveau supérieur d’études. Les mères aident d’autant plus tard dans la scolarité qu’elles possèdent un diplôme élevé passeront plus de temps à aider leur enfant lycéen que celles qui n’ont pas le bac. Ainsi on remarque que l’aide que les mères donnent a ces enfants est nécessaire pour le réussite de ces enfants , le temps qui consacrent ces mères a ces enfants peuvent influencer positivement dans les résultats de ces enfants ce qui est donc attendu a l’école.

Pour conclure La socialisation dirigée par la famille peut être en contradiction avec celle dirigée par l’école et réciproquement. Cependant ces contradictions semblent plus importantes pour certains groupes d’individus ou la socialisation familiale a été un sucit(problème) car les aptitudes nécessaires pour réussir a l’école n’ont été pas enseignés ou très peu enseignes. Ainsi dans a plupart du temps les milieux favorisées tendent a être plus synchronisés a les exigences de l’école puisque les enfants sont plus inculqués dans le domaine culturelle ce qui leur facilite la réussite scolaire. Néanmoins ce n’est pas le cas toujours puisque L’école peut être aussi pour certaines personnes un moyen de découvrir d’autres cultures que la sienne, d’acquérir une liberté en apportant