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La politique monétaire

Par   •  11 Octobre 2017  •  1 603 Mots (7 Pages)  •  646 Vues

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Limites : liberté de circulation des capitaux,

Une politique de lutte contre l’inflation peut réduire matériellement les instruments de paiement en circulation, on n’a plus assez de monnaie pour acheter des biens qui sont produit et disponible. Donc les tensions inflationnistes en France ont été durablement éliminés car il a un chômage en France très important et donc la lutte contre l’inflation reste une priorité et ça joue sur les politiques économiques et donc baisse les prix.

2 – La mutation des modalités d’intervention sur les marchés

- La critique des politiques monétaires restrictives

- Les entraves à la croissance

- Une stratégie non coopérative

Agir sur les taux d’intérêts peut provoquer des mouvements de capitaux non souhaité. En effet, diminuer les taux d’intérêts directeurs peut avoir pour impact une baisse de la valeur de la monnaie = taux de change qui pousserait les capitaux à fuir vers des destinations mieux rémunérer. Si on augmente les taux d’intérêts, les prix diminuer mais les capitaux arrivent. La baisse des crédits limite l’inflation = ca marche si des IDE viennent chez vous pour augmenter la masse monétaire.

Une diminution du taux directeur (taux à CT) n’a pas d’impact immédiat sur les taux à LT = la politique monétaire menée sur les taux directeurs à CT a un décalage très fort avec l’effet que vous escomptez. Une interaction non coordonnée de la politique monétaire et budgétaire peut aboutir à une situation de blocage de l’économie = équilibre sous optimale.

Dans le cadre d’une relance budgétaire avec un déficit budgétaire il faudrait :

- accompagner la politique budgétaire par une politique monétaire accommodante = baisser les taux d’intérêts pour que les entreprises investissent plus mais pbs : fuite des capitaux en 81 par exemple = risque.

- leur donner confiance

Les stratégies monétaires de recherches de compétitivité sont par nature non coopératives = les Etats ne coopèrent pas entre eux.

Dans le milieu des 90 : USA/ALL/FRC

USA : forte croissance éco = hausse des taux d’intérêts pour juguler l’inflation

ALL : réunification = bcp de monnaie en circulation = inflation

FRC : voie un démarrage de sa croissance éco au milieu des 90 = Banque de FRC = augmentée les taux d’intérêts et a casser la reprise et croissance éco. Si elle avait pas fait ça, les capitaux se seraient enfuient de FRC vers l’ALL ou USA ou ils auraient mieux rémunéraient = donc besoin d’une coordination internationale des politiques monétaires pour éviter les effets pervers de celles ci.

CCL : La BCE et politiques budgétaires européennes avaient deux objectifs à la création de l’euro :

- une politique monétaire accommodante : baisse des taux d’intérêts en Europe

- politique budgétaire plus truc avec l’application des critères de convergences

Or on remarque que c’est l’inverse qui s’est passé. Le pacte de stabilité et de croissance n’a pas été respecté ce qui a conduit la BCE à mener une politique monétaire restrictive qui a conduit à avoir des taux d’intérêts en Europe plus élevés qu’aux USA comparativement.

La politique monétaire a donc connue une évolution profonde au cours de ces 20 30 dernières années à la fois dans ses objectifs et dans ces instruments.

Dans ses objectifs elle est passée d’une multitude d’objectifs à un seul : la neutralité (le moins d’interventions possibles).

Dans ces instruments = mouvement de simplification. La fixation des taux directeurs devenant l’instrument centrale du pilotage monétaire (mouvement de la masse monétaire à beaucoup moins d’intérêt = c’est le taux d’intérêt aujourd’hui).

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