L'école n'est-elle qu'un lieu de transmission du savoir ?

L'école n'est-elle qu'un lieu de transmission du savoir ?

Pour répondre à cette question, il suffit de se fier en grande partie à son expérimentation scolaire vécu jusqu’à maintenant.

Dans un premier temps, j’ai souligné, dans les lectures, qu’il existe deux êtres en nous. Celui qui m’a le plus interpelé est « l’être social » qui se rapporte aux pratiques morales, aux opinions collectives…

Selon Durkheim, « l’éducation répond avant tout à des nécessités sociales ».

En temps qu’élève parmi tant d’autres, on prend un parti (politique ou non), une opinion que l’on construit sois même avec le temps et en comparaison des opinions des autres élèves et des enseignants dans un cours d’histoire par exemple.

On développe aussi un côté social : on apprend à vivre en société, on apprend à respecter les ainés, on noue des liens avec autrui et on apprend le respect envers les autres.

Le deuxième être en nous est l’être individuel qui se rapporte à nous même : en effet, inconsciemment on développe au fur et à mesure un esprit créatif, un sens critique, une passion pour x chose etc…

Dans un troisième et dernier lieu, l’école nous fait part d’une chose qui est sans doute la plus importante : elle nous permet de nous informer des problèmes et des inégalités dans le monde ancien et actuel. Par conséquent, un étudiant qui travaille en géographie va se tourner vers la lutte contre le réchauffement climatique par exemple, un étudiant en science politique va se tourner probablement vers une pensée plus égalitaire du monde dans l’avenir en ajustant ou en créant des lois etc.

En conclusion, l’école n’est pas qu’un lieu de transmission de savoir mais bien plus. Elle permet en parallèle de développer des capacités sociales et de s’affirmer dans la société dans laquelle nous devons nous adapter afin de la comprendre.