Economie de l'entreprise cas
Par Orhan • 19 Octobre 2017 • 2 986 Mots (12 Pages) • 782 Vues
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- propriété collective : salariés-coopérateurs majoritaires (au moins 51% du capital et 65% des droits de vote)
- « un membre, une voix » : quelque soit la part du capital apporté part un coopérateur, il aura seulement une voix
- forme d’auto-organisation : gouvernance démocratique car les dirigeants sont choisis par les coopérateurs, a priori la base a un conttole sur ses représentants
- répartition des profits en 3 parties : réserves (fond commun, ce qui assure la survie de la coopérative à long terme), capital et travail
- il n’y a pas de plus-value sur les parts sociales et impartageables des réserves
- principe de solidarité
6. relation d’emploi et hiréréchie : le justifications théoriques
4 courants principaux
Théorie des droits de propriété / Théorie de l’agence qui annule tous les effets négatifs des aléas morales des salaiérs / théorie des couts de transaction / Théorie des contrats incomplets
Théorie des droits de propriété
Les coopérateurs ne peut pas vendre leurs part donc ils péréfèrent augmenter leurs salaires plutôt que leur part.
Théorie de l’agence
Le travail en équipe augmente la productivité mais il difficile de mesurer l’effort de chacun
Le principe de la rémunération à la productivité est marginale est inapplicable et donc chacun minimise ses efforts car chacun se repose sur les autres coopérateurs car le salaire est le même qu’on travaille peu ou beaucoup donc chacun a tendance à en faire peu donc au final on se retrouve avec une baisse de l’intensité du travail
c’est pourquoi qu’il est nécessaire d’avoir un agent central qui surveille le travail de l’équipe
Cet agent central a 5 droits = l’apprpiration du résidu (profit) / le droit d’observer le comportement des input / le droit d’être la partie centrale commune à tous les contrats passé avec les input / le droit de modifier la composition de l’équipe (licencier) et le droit de vendre ses droits
La théorie des couts de transaction
cette relation d’emploi doit se justifier à une relation d’acaht/ vente entre producteurs et indépendants
la hiérarchie ets supposéé éliminésnle risuqe
BAL BLA BLA BLA
7. De l’entrepreneur propriétaire à la grande société par actions
Une idée fausse : l’actionnaire est propriétaire des actifs de l’entreprise
Blabla bla
La séparation entre propriété du capital et contrôle.
En règle générale les actionnaires ne dirigent pas l’entreprise, ils vont léguer ce droit de propriété à d’autres personnes spécialisées (des managers), le directeur le manager vont s’occuper de l’usus. Ils n’interviennent pas directement. L’usus est délégué à des directeurs des entreprises, les directeurs sont des salariées particuliers certes mais ce sont des salariés qui dirigent l’entreprise au nom des entreprises.
Question : Est-ce que les dirigeants d’entreprises et les actionnaires ont les mêmes but ? Bcp d’études montrent des conflits d’intérêts entre les directeurs et les actionnaires. Il est vrai quelle directeur a un certain avantage car ils savent ce qui se passent dans l’entreprise, ils peuvent manipuler l’informations pour leur fournir des fausses routes car ils n’ont pas les mêmes intérêts que les actionnaires. Les managers pourraient avoir avantage à augmenter la taille de l’entreprise.
Chandler met l’accent sur l’effet bénéfique sur la séparation entre capital et contrôle. L’émiettement du contrôle des actionnaires et la création d’un groupe de manager spécialisée est à l’origine d’innovations organisationnelles notamment avec le passage à la structure divisionnelle qui permettent de poursuivre des stratégies de diversification.
Les dirigeants ne sont plus des fins connaisseurs de l’entreprise aujourd’hui, et c’est peut être mieux comme ça d’après Chandler. Les managers deviennent généralistes.
Chandler va même jusqu’à dire que les entreprises américaines caractérisées par les managers sont :
- caractérisée par classe de manager sait prendre des compétences particulières, ils sont plus compétents que les actionnaires (détenteur du capital)
- grâce à l’entreprise managériale on obtient des économies d’échelle et de variété dans un contexte de rivalité oligopolistique
La perception du manager comme pilote de l’action collection
la manger doit da,s cette vsiosn piloter une organisation complexe, la préserver et la développer
Prise en compte des intérêts des différentes parties prenants et résolution des conflits, ce qui suppose une relative autonomie par rapport aux détenteurs des titres
Comment s’articule les relations entre managers et actionnaires ?
Contrôle interne et contrôle externe
Contrôle externe : le contrôle effectif est exercé par les actionnaires; quand les actionnaires imposent leurs choix
Contrôle interne : le contrôle effectif est exercé par les mas,gers, autonomie des managers
Le degré de dépendance des managers par rapport aux actionnaires défini le type de contrôle, externe et interne de l’entreprise.
S’il y’a une possibilité de la part des actionnaires de contrôler l’assemblée générale, les managers n’auront pas une grande autonomie.
- Cas de forte concentration de la propriété des titres : le manger sera amené à concilier leurs objectifs avec les objectifs de l’actionnaire; si ces derniers ne sont pas satisfaits ils peuvent évincer les managers
- Cas de faible
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