Economie

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- Les troubles respiratoires ( gorge serrée, voix éteinte ou coupée )

- Les troubles cardiaques ( palpitations, sensation d’arrêt du corps, syncope )

- Les troubles vaso-moteurs ( rougeur ou pâleur de la face )

- Les troubles neuro-musculaires ( tremblement, sueurs froides, spasmes intestinaux )

- « L’existence d’un bon équilibre affectif et caractériel parait évidemment souhaitable pour que l’adaptation scolaire soit bonne. Cet équilibre dépend bien sur des caractéristiques constitutionnelles et tempéramentales propres à l’enfant mais surtout de la qualité des relations qu’il entretien avec son milieu familial »

Commentez cette phrase et donnez des exemples pour justifier vos explications.

Pour que l’enfant s’adapte au système scolaire et s’intègre comme il faut il est important que cet individu possède une certaine chaleur affective et une certaine force de caractère pour qu’il puisse s’imposer si besoin. Son adaptation dépend donc de son tempérament ( est il capable de respecter les règles du monde scolaire: règlement intérieurs etc… Cela dépend en partie du tempérament de l’individu ).

Mais ce qui joue le plus dans l’adaptation de l’enfant dans le milieu scolaire c’est le milieu familial où il vit.

Par exemple un enfant qui chez lui ne possède aucune règle ( ses parents lui autorise absolument tout ) ne respectera pas les règles du milieu scolaire. L’enfant aura un temps d’adaptation scolaire extrêmement long.

Un enfant ayant également un mauvais équilibre caractériel sera donc un élève effacé qu’on risque d’oublier, et qui vit généralement séparé de la classe. Cela nuit également à son adaptation scolaire.

- Analysez et commentez cette expérience. Quelles conclusions pouvez vous en tirez ?

K. Lewin distingue trois formes de leadership ou de mode d’exercice du commandement : le leadership autoritaire, le leadership démocratique, le leadership du laisser-faire. Un leadership est une personne responsable d’un secteur et exerce donc une influence sur l’ensemble du groupe. Toutes les personnes d'un groupe agissent et réagissent les unes par rapport aux autres ou par rapport au groupe.

Dans la condition « directive », l'animateur est autocratique dans sa passation d'ordres et ceux-ci ne peuvent pas être discutés (pas de rétro-action possible). Le statut de chef est assimilable au paternalisme. Le leader autoritaire se tient à distance du groupe et use des ordres pour diriger les activités. Le leader a pris les décisions sans consulter les autres. Le rendement d’un groupe dirigé de cette manière est élevé. Malheureusement, la pression dégrade les relations entre les différents membres et leur leader. Un manque de confiance apparait qui peut s'accompagner d'actes de défiance, de rébellion voire de révolution.

Dans la condition « participative », l'animateur adopte une attitude démocratique avec tous les membres du groupe. Le leader prend les décisions après avoir consulté les autres ou laisse la majorité décider sur ce qui est à faire. L'animateur facilite l'apprentissage qui est basé sur l'interaction entre les membres du groupe. Ce leader démocratique s’appuie sur des méthodes semi-directives et encourage les membres du groupe à faire des suggestions, à participer aux discussions et à faire preuve de

créativité. Ce groupe manifeste des relations amicales et chaleureuses. Le départ du leader n’affecte en rien la continuité du travail.

Dans la condition « laissez-faire », l'animateur est en retrait face aux demandes du groupe. Le leader permet aux autres de se prononcer sur les décisions à prendre. Son rôle est de surveiller les activités sans intervenir dans le groupe. Le leader du laisser-faire ne s’implique pas dans la vie du groupe et participe au strict minimum aux différentes activités. Cela donne une situation négative où le groupe reste constamment en quête d’informations et de consignes de la part d’un leader peu impliqué. L'enthousiasme et la coordination manquent.