Rapport économie - Bac - Pub mensongère
Par Orhan • 9 Octobre 2017 • 794 Mots (4 Pages) • 640 Vues
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bien la des points commun... Mais il y a toutefois une différence. Le clip US qualifie la nourriture « bonne pour la santé ». Ce que les réclames françaises se gardent bien de faire. Grâce à ce détail, un consommateur français n’aurait qu’une chance infime de remporter un procès contre la marque, celons l’association de consommateurs CLCV.
Les spots précisent que le produit est riche en énergie. Dans le langage nutritionnel, cela signifie une énergie riche en calories. A ce titre, la marque ne ment pas. Nutella réussit à faire comprendre « produit qui donne la pêche » au consommateur là où le législateur lit « produit bourré de calories ».
Les règles européennes sont très strictes pour les allégations en matière de sucre ou de cholestérol. Mais le législateur n’a tout simplement pas prévu qu’une marque communiquerait sur des apports élevés en énergie ou en calories. Un joli coup de la marque, vu que la France détient le record de consommation mondiale de Nutella en consommant 26 % de la production mondiale (qui est de 300 000 tonnes), d’après mon estimation, la chocolaterie Italienne aurait du donc remboursé le double de la somme donner au américain soit en virons de 30 milliards d’euros.
CONCLUSION
Pour les associations cela est difficile pour eux de gérer toute les tromperies vu leurs nombre qui ne cessent d’augmenté (Par exemple : avec les nouvelles technologies les promotions), c’est pour cela que j’ai choisie de vous présenter cette exemple, nous voyons bien que les grandes entreprise ont toujours la possibilité de contourner le vocabulaire et surtout la loi dans leurs intérêts.
Sans oublier qu’une t’elle entreprise a un poids énorme économiquement, la chocolaterie Ferrero représente environ 85 % du marché de la pâte à tartiner en France. L’obésité en France à augmenté, près de 40 % des français souffre de surpoids, le coût direct des maladies liées à l’obésité (incluant les consultations médicales, les soins hospitaliers et les médicaments pour des maladies ayant un rapport bien établi avec l’obésité) s’élève à environ 2 % des dépenses totales des soins de santé.
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