Analyse genetique
Par Christopher • 21 Octobre 2017 • 1 806 Mots (8 Pages) • 546 Vues
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Durée
Incubation
(min)
Types de géloses
Groupe expérimental
Avec plasmides
Groupe témoin
Sans plasmide
Ampicilline
+ arabinose*
Sans antibiotique
Ampicilline
+ arabinose
Sans
Antibiotique
10
62
T
0
T
30
91
T
0
T
40
114
T
0
T
Commentaire : Les résultats obtenus augmentent avec le temps d’incubation.
Calculs
- Le nombre de bactéries vivantes au début de l’expérience :
[pic 1]
[pic 2]
[pic 3]
Dans 1 mL, il y a 5.8x10-8 bactéries. Alors, si ce nombre est multiplié par la quantité de bactéries par 1 mL alors
la quantité initiale sera trouvée.
- Pourcentage de bactéries transformées aux différents temps d’incubation :
[pic 4]
[pic 5]
[pic 6]
Temps d’incubation (min)
% des bactéries transformées
10
0,000107
20
0,000139
30
0,000156
40
0,00019
Tableau 3 : La variation du % des bactéries ayant été transformées selon le temps d'incubation
[pic 7]
Commentaire : Les résultats de l’expérience sont logiques et ils forment une droite assez précise qui démontre un lien entre le temps d’incubation et le % des bactéries ayant été transformées.
3.1 Discussion
Pour débuter, selon le graphique, il existe un lien entre les deux variables étudiées. En effet, le coefficient de corrélation est de 0.9855, un nombre assez élevé qui prouve la concordance. Une raison de la fiabilité droite est que les bactéries n’ont pas été affectées par les manipulations. La raison première est que les manipulations comme les changements de milieu ont été faites à portée d’une flamme, ce qui crée un volume autour de la zone de travail qui empêche les contaminants d’approcher les bactéries puisque le courant les pousse vers le haut. Ensuite, pour le choc thermique, la bactérie à former une membrane qui autorise l’ADN plasmique d’entrer dans la bactérie. Cette membrane protège la bactérie des contaminants et en plus, ce choc a été fait dans un contenant fermé, donc il est impossible d’avoir des contaminations. Pour la centrifugation, c’était fait avec les contenants fermés, donc il y a aucune contamination.
Ensuite, il est possible de constater que les bactéries E. coli DH5α placées au départ des manipulations n’étaient pas résistantes à l’ampicilline car le taux de survie est nul tel que le montre le tableau 2 pour le groupe témoin sans plasmide pGLO. Par contre, les bactéries qui ont été placées avec le plasmide pGLO ont développé une résistance à l’antibiotique car, à la fin du laboratoire, il a été possible de constater des colonies bactériennes. Afin de comprendre la résistance acquise par les bactéries placées en présence du plasmide, il est nécessaire de savoir de quoi il est composé : a) un gène de résistance Amp’ qui permet l’activation de l’enzyme ϐ-lactamase et par conséquent la destruction de l’ampicilline ; b) un gène de contrôle GFP qui donne aux bactéries une protéine fluorescente qui permet de corroborer que le gène de résistance à l’antibiotique a été assimilé et c) un gène de contrôle AraC qui, en présence de l’arabinose, déclenche le gène de contrôle GFP. Bref, le plasmide pGLO apporte les éléments nécessaires aux bactéries pour transformer leur ADN et ainsi
Durée
Incubation
(min)
Types de géloses
Groupe expérimental
Avec plasmides
Groupe témoin
Sans plasmide
Ampicilline
+ arabinose*
Sans antibiotique
Ampicilline
+ arabinose
Sans
Antibiotique
10
62
T
0
T
30
91
T
0
T
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