ALÉNA - guide
Par Plum05 • 13 Septembre 2018 • 865 Mots (4 Pages) • 418 Vues
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milliards
≈192,1 milliards
≈ 30,2 milliards
≈268,8 milliards
Sources : 1-Statistique Canada - Canada; Department of Commerce and Bureau of Labor Statistics. 2-Trading Economics, www.tradingeconomics.com
Conséquences majeures de l’ALÉNA
Conséquences positives :
- Valeur des échanges quadruplé entre les trois nations
- Renforcement des relations sociopolitiques et stabilité économique
- Extension des marchés et économie d’échelle
- Création d’emplois
- Augmentation d’investissements étrangers
- Diminution de dépenses fédérales
- Diffusion des connaissances et transfert de technologies
Conséquences négatives :
- Traffic de drogues illicites facilité et amplifié
- Délocalisation d’entreprises et perte d’emplois américains (P.ex. : entreprises automobiles américaines produisent au Mexique)
- L’utilisation de la main d’œuvre à bon marché (« Maquiladoras » : usines mexicaines. Salaire horaire dans le secteur automobile de 8,19 $, contre une moyenne de 46,35 $ aux États-Unis et de 41,06 $ au Canada (2013) )
- Concurrence accrue qui entraine la disparition des petits producteurs
Avantages et inconvénients au plan national canadien
Pour les travailleurs canadiens, l’ALÉNA a généré un nombre immense d’emplois. L’ALÉNA a notamment permit aux entreprises canadiennes Bombardier et Unique Solutions de s’accroître à une vitesse considérable, contribuant à l’avancement de l’économie canadienne. En revanche, le Canada a souffert de la délocalisation de ses entreprises aux usines américaines. De plus, la concurrence entraina la faillite et fermeture de petites entreprises et fermes locales.
Pour les consommateurs canadiens, l’ALÉNA les a offerts une diversité des biens de consommation ainsi qu’une hausse du pouvoir d’achat en raison des prix bas. Toutefois, les consommateurs perdent l’option d’acheter plusieurs produits locaux dut à la fermeture d’entreprises locales.
Aujourd’hui, l’avenir de l’ALÉNA est précaire et les relations nord-américaines sont tendues. Le 45e président des États-Unis, Donald Trump, vient remettre en question le jugement de ses prédécesseurs. Il est d’avis que l’ALENA désavantage les Américains et favorise plutôt le Mexique. Il adopte des mesures protectionnistes, utilisant des barrières tarifaires pour empêcher la délocalisation de Ford et General Motors au Mexique et menace de quitter l’accord si les renégociations ne lui semblent pas acceptables. Pour l’instant, le premier ministre Justin Trudeau comme porte-parole du Canada reste diplomate et accepte de rouvrir les discussions. On ne peut que deviner où ces-dernières mèneront et attendre de voir ce que l’avenir réserve aux relations nord-américaines et à l’ALÉNA.
Bibliographie
Limoges, Isabelle et Miville-de-Chêne, Karl. Le Commerce International 3e édition, Chenelière Éducation, 2013.
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Information Please, North American Free Trade Agreement, http://www.infoplease.com (consulté le 2 mars)
Gouvernement du Manitoba, Government : Key Features of NAFTA, https://www.gov.mb.ca (consulté le 3 mars)
Benessaieh, Afef. Les effets attendus de l’Accord de libre-échange nord-américain (ALÉNA), https://depot.erudit.org (consulté le 3 mars)
Gouvernement du Canada, L’ALÉNA après 10 ans, http://www.international.gc.ca/ (consulté le 7 mars)
ICI Radio-Canada, http://ici.radio-canada.ca (consulté le
Le Cours, Rudy. La Presse, Trump, L’ALENA et le Canada, http://plus.lapresse.ca (consulté le 7 mars)
Amadeo, Kimberly. The Balance, Do NAFTA’s 6 Pros Outweigh Its 6 Cons?,https://www.thebalance.com (consulté le 7 mars)
Trading Economics, www.tradingeconomics.com (consulté le 8 mars)
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