Stage d'infirmier

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Dans un premier temps je reste avec lui, l’infirmière cour au poste de soin lui préparer une injection ……… et revient aussi tôt (ça ma parût être une éternité).

Dans les minutes qui suivent deux aides soignantes entre dans la chambre pour constater les fait. L’une ramène le tensiomètre et l’autre regarde. Une des aide soin (v) regarde et tien des propos dont elle seule à le secret. « De toute façon ca devais arriver, ça fait un moment qu’il se plaint, il va claquer ».

L’infirmière me demande d’aller prévenir ses collègues qui connaissent la marche a suivre dans ce cas précis et de ramener le nécessaire pour installer l’oxygène. Je cour jusqu'à la réserve et ramène le matériel.

Une as (v) m’arrache le matériel des mains et commence le branchement (sans succès, elle vice mal la petite bouteille d’eau et casse le percuteur). Je propose d’aller chercher le nécessaire pour recommencer l’opération mais elle ne prend même pas peine à m’écouter, elle sort et y va en marchant tranquillement. Frustrer et ne sachant pas quoi faire dans une tel urgence je cour chercher le sac d’urgence dans le qu’elle ce trouve tout le matériel nécessaire et le rapporte dans la chambre. L’infirmière de l’autre ailles arrive (Gwen ma tutrice) avec le médecin et un défibrillateur et prend en charge Mr B. Après analyse l’appareil ne détecte pas de choque nécessaire. Sa spo2 remonte et passe de 83/100 à 90 puis rapidement 100/100 sous oxygène. L’instant suivant la chambre est envahie par médecin infirmier aide soins, avec toute les machines et les personnes dans la chambre je sors pour leurs laisser la place et reprendre la distribution des médicaments.

Une fois dans le couloir je m’occupe de la patiente de la chambre voisine qui demande à ce qu’on l’aide a prendre son repas. Je prête tout de même l’oreille pour suivre a distance la suite des évènements car Mr B reste très mal en point, je l’entends se tordre de douleur (comme si juste à côté se trouvais une salle de torture, c’est horrible.) Quelques minutes plus tard les choses se tassent et l’état de Mr B se stabilise.

Plus tard je rejoins ma tutrice en pause et profite du moment pour lui exprimé mon ressenti.

Ressenti et questionnement

Pourquoi j’ai choisie cette situation ?

J’ai choisie cette situation pour plusieurs raisons. Garder une trace de mon parcours en soin palliatif, mais surtout ne pas oublié que chaque stages est différents, et que pour certain il faut être préparé. Avant d’arriver en stage le 29/02/2016 je n’avais pas bien pris conscience que j’allais m’occupé de patient qui d’un jour à l’autre partirait. Je pense que c’est une expérience que je n’oublierais pas car même en gardant une juste distance comme on nous l’a appris en cours, il faut travailler plusieurs années dans le même service pour en avoir l’habitude. Si toute fois on peut s’y habituer.

Comment j’ai vécu la situation ?

Je pense que la situation aurait été moins frustrante si j’avais été infirmier confirmer avec de l’expérience, car j’aurais pu pratiquer les gestes prévu dans ce genre de situations. Des gestes pratiquer une semaine avant lors de cours AFGSU à l’IFSI. Cependant je pense avoir bien réagie dans l’urgence.

Qu’est-ce que ce stage ma apporter ?

Ce stage ma apporter exactement ce que je suis venu chercher, à savoir la pratique de divers soins techniques, la mise en pratique d’un relationnelle travailler sur mon ancien lieu de stage et à L’IFSI. Langage verbale non verbale, soins de confort et bien être, empathie, climat de confiance, recherche du consentement, écoute active…

Il m’a été plus facile de dialoguer avec des patients pour la plupart conscient de leurs états, avec qui il a presque toujours eut de bons échanges. Lié le relationnelle à des actes de soins plus technique, préventif ou curatif ma permis de prendre un peu plus de confiance en ma pratique mais aussi à m’interroger sur mes propres connaissances. J’ai pu me rendre compte de l’importance des connaissances requise pour la pratique professionnelles.

Analyse de la situation

Sur le moment j’ai eu du mal a réaliser à quel point l’état de Mr B grave, je pense même avoir occulté le faite d’être dans une unité de soins palliatif. Mr B été un patient tout ce qu’il y à de plus gentil, le genre de personne qui refuse de se plaindre ou formuler de multiple demande outre nécessaire. Il était un des seul du couloir à être en isolement contacte, il fallait chaque jour ce vêtir d’un tablier de protection sur blouse et gants pour entré dans sa chambre pour la distribution des médicaments, et dans l’urgence nous somme tous entrer dans la chambre sans même une paire de gants. Heureusement personne n’a eu à le toucher directement. Ce dont je me rappellerais toujours ce sont les parole d’une aide soignante quant elle est entrer dans la chambre pour regarder et constater le malaise. Elle à dit, à plusieurs reprise (de toute façon il va claquer ça fait un moment qu’il ne va pas bien). Des paroles et une attitude qui ma vraiment choquer et qui me choque encore aujourd’hui. On nous apprend beaucoup de chose sur le bien être du patient le confort ,la relation de soin que l’on dois avoir avec lui l’écoute, l’empathie et tout autres concept qui font partie de notre métier et cela peut importe le service dans lequel on se trouve. Et pourtant après ce petit incident ce que je retiendrais de ce jour, c’est l’attitude de certains soignants devant la douleur et la maladie.

Je ne porte pas un jugement de valeur sur la soignante, chacun est libre de se protéger de la façon dont il l’entend, je dis qu’il est difficile pour certains patients d’accepter leur état de santé qu’ils en soient responsable ou non, et qu’un bon professionnel de santé se dois d’être capable de raisonner avec bon sens et préserver la dignité du patient même au porte de la mort.

22/03/2016 Le lendemain matin je prends mon service à 6h45. L’as de nuit annonce avec un brin d’humour la mort de Mr B sur les coups de 21h hier soir.

Avec un peu de recule aujourd’hui je peux entendre qu’une personne choisie l’humour dans ce genre de situations, c’est la juste distance qu’elle à choisie dans ce cas précis.

Elle a pu lire sur mon visage que ce n’est pas