Littérature
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Commentaire sur l'incipit de Voyage au bout de la nuit, Céline
au dialogue un aspect cru, un peu brutal (« que j’ai répondu moi », « qu’il insistait lui », « qu’il me fait »). Ils se coupent parfois la parole, cherchant à couvrir la voix de l’autre : Bardamu veut répondre « du tac au tac », Arthur le « taquine », l’interrompt par ce qui est presque une interjection (« Si
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Commentaire sur l'Or de Cendrars.
intégrer à la Nouvelle-Helvétie. On aperçoit à la page 68 : ‘’Partout des fontaines et des canaux. Les villages canaques étaient propres. Tout le monde était à son travail. Il régnait partout le plus bel ordre’’. Ce court extrait présente plusieurs hyperboles représentés surtout par des mots tels que :
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Commentaire sur le chapitre X d'Une Vie de Maupassant
la brutalité : « un geste forcené », « secouer », « briser en pièces ». La violence des sentiments est traduite par la violence des actions. La violence du Comte semble même liée à la folie « forcené » et il parait communiquer sa démence à la carriole qui
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Commentaire sur Micromégas - Voltaire
Micromégas représente un esprit proche des lumières. Voltaire insiste beaucoup sur ses connaissances et sa raison. Le mot « esprit » revient à plusieurs reprises : « par la force de son esprit » (l.29), « se défendit avec son esprit » (l.41). Le champ lexical des connaissances, des
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Commentaire sur ultima verba
Victor Hugo nous montre dans son poème qu’il a la nostalgie de la France d’avant Napoléon III mais également il nous décrit son sentiment de devoir quel qu’en soit les conséquences pour lui. Victor Hugo sait nous faire transmettre un message politique tout en restant dans les caractéristiques de
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Commentaire sur un extrait de De Architectura, Vitruve
→ Ainsi l'homme réussit à contrôler ses éléments grâce à sa maîtrise de la théorie et de ses déduction rationnelles (thèses des philosophes antiques) pour pouvoir alors les mettre en pratique → il assure de cette façon la durabilité et la solidité de ses constructions « aedificiis praestat firmatem
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Commentaire sur Zola, La bête humaine, 1890
Jacques se rapproche peu à peu de la terre tel une créature tellurique en même temps qu’il perd son humanité ; il est << vautré sur le ventre> l.2, <cramponné aux herbes> l.10, <ses doigts tordus entrèrent dans la terre> l.12. On est face à un topos qui se rapproche
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Commentaire Vénus anadyomène, Rimbaud.
Le poète insiste sur la laideur de la femme à travers le lexique et le jeu des sonorités: la description présente des détails réalistes et grossiers ("la graisse" vers 8, "gras et gris" vers 5, renforcé par l'allitération en gr, "rondeur des reins" vers 7, renforcé par l'allitération en
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Commentaire – L'homme qui rit, Victor Hugo
Mais dans des circonstances douloureuses : « Cet effort, Gwynplaine, disons le, le faisait presque jamais, car c'était une fatigue douloureuse et une tension insupportable » (l.50) L'auteur termine son texte par la phrase suivante : « On lui avait laissé les dents. Les dents sont nécessaires au rire,
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Commentaire — Elixir de longue vie, Honoré de Balzac.
également dans la nouvelle une atmosphère fantastique, les registres de la peur, de l’angoisse, du mystère : «moribond » (l.9) « mort » (l.10) « secret » (l.13), «révéler ce mystère » (l.16), « cette table gothique » (l.17), «comme son père était mort au désespoir sur la foi du
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Commentaire, Colonel Chabert, Balzac
Chabert agonise , perd ses sens ,a des hallucination et perte de mémoire .Il n'a pas en sa possession tous ses sens , il ne voit pas comme il l'indique lui même « je ne vis rien » .De plus Chabert n'entend pas très bien « crus entendre »
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Commentaire, La mort est mon métier, incipit jusqu’à « je me mis à trembler », pp 9-12, Robert Merle.
d) Une mère soumise Désignée par le narrateur par le terme affectueux et enfantin de « Maman » (contrairement au père). Elle semble définie par sa peur du père, par sa soumission. - Champ lexical de la peur : « d’un ton craintif » (l. 40), « sa main
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Commentaire, Les Etats et Empires du Soleil, Cyrano de Bergerac
Les préjugés des hommes sur le règne végétal sont alors bouleversés. On se souvient des premières rencontres de Dyrcona avec tout d’abord un humanoïde (le petit homme de la Macule qui prouvait l’existence d’une vie extraterrestre) puis avec les oiseaux doués de raison et enfin, ici, le narrateur rencontre
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Commentaire: "A l'abri de rien"- Olivier Adam
--------------------------------------------------------------- Femme au foyer délaissée par son époux, Marie se sent de plus en plus abandonnée. Au bord du gouffre, elle s'attache à des migrants qui, dans le nord de la France, attendent pour passer en Angleterre. Un soir, sur la route avec son fils, elle en croise quelques-uns
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Commentaire: Le Misanthrope, Molière.
qu’Alceste devrait être honoré de cet amour et en être heureux. Cet amour n’est pas exclusif et elle le reconnaît, mais elle estime qu’il est suffisant et qu’Alceste devrait s’en estimer satisfait, ce qu’il ne comprend pas : "Un aveu de la sorte, a de quoi vous suffire." De nouveau,
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