Trous structurels cas
Par Matt • 15 Février 2018 • 969 Mots (4 Pages) • 513 Vues
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par : Calu | le 2006/10/02 à 19:00 | Répondre |
Cher Francis,
Je ne vois rien de bien nouveau dansl’intérêt d’appartenir à plusieurs réseaux humains et si possible d’être un pont entre groupes.
Le vocabulaire de la théorie des réseaux est un peu hermétique.
Rédigé par : Henri Pépin | le 2006/10/02 à 19:47 | Répondre |
Hélas, chère Florence, cette rationalisation/sémantisation est dans la nature même du numérique. l’approche est tellement contre-intuitive qu’elle produit des effets pour le moins bizarres sinon totalement absurdes. Ainsi les possibilités offertes par les machines numériques sont tellement nombreuses que tout le monde finit par exploiter… toujours la même ! La diversité potentielle produit ainsi de l’uniformisation… Un exemple ? Les effets vidéo. Et dans un autre domaine, les « modèles » tout fait – les « templates – des applications bureautiques. Intéressant, non ?
Chasser le naturel, il revient au grand galop.
Rédigé par : Snoopy | le 2006/10/03 à 03:08 | Répondre |
Je dois avouer que j’ai un faible pour l’expression “trou structurel” c’est le genre de formule que j’aimerais trouver. Légèrement absconse et très parlante à la fois. Mais là n’est pas l’intérêt principal.
Ce qui intéresse Burt et les autres théoriciens réunis pour ce séminaire c’est la possibilité de prouver chiffres à l’appui l’importance de cette position. Je crois comprendre qu’ils sont particulièrement contents quand, sur cette base, ils peuvent prévoir une évolution.
Ce qui m’intéresse en fait, c’est qu’on peut, sur cette base faire un plaidoyer argumenté en faveur de la diversité. On peut montrer aux gens qu’au lieu d’avoir intérêt à être “comme les autres” (comme ceux qui sont dans leur réseau) ils s’en sortiront mieux s’ils se connectent à d’autres groupes, s’ouvrent sur le monde, établissent des relations avec des étrangers. Pas vraiment scientifique, mais par les temps qui courent ça n’est pas négligeable.
Rédigé par : Francis | le 2006/10/03 à 07:31 | Répondre |
Au dela du vocabulaire et des concepts, ce qui change vraiment c’est que nous héritons d’une condition où sa vie durant l’individu occupait successivement trois ou quatre « trous structurels », selon ses liens familiaux, son implantation géographique ou sa situation socioéconomique. Aujourd’hui, le réseau infini des communautés virtuelles nous donne la possibilité d’inscrire le moindre de nos actes dans une dimension collective.
Rédigé par : Laurent Samuel | le 2006/10/24 à 00:43 | Répondre |
Il ne s’agit pas d’une théorie des réseaux (qui serait universel), mais bien d’un aspect de cette théorie. Pour définir une théorie universel des réseaux il faut répondre à 3 questions qui en définissent le cadre théorique:
1 Quelle est la définition du réseau, qui rend compte de tous réseaux dans l’univers (sa profondeur, dans le temps et l’espace).
2 Quelle est la finalité du réseau (son but) ?
3 Par quel principe structurant le réseau arrive à son but ?
Seul une réponse à ces 3 quetions peut préciser les termes d’une théorie des réseaux. Pour le moment on confond une partie avec
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