Synthèse prison cas

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- L’évolution des prisons

- Avant

a/ Les peines

Dans l’ancien temps, les peines étaient dîtes normales, il fallait « purger sa peine » pour « payer sa dette à la société », texte de Jean DANIEL. Au XVIIe siècle, les peines étaient sous forme de souffrances physiques directes comme dans le texte de Jean DANIEL « le fouet, la pendaison, la condamnation à avoir le poing coupé, la langue coupée ou percée avant d’être pendu ».

b/ Les conditions de vie

Au XIXe siècle, les conditions de vie en prison étaient abominables. Comme le montre Victor HUGO dans son texte, très peu de place, un espace minime pour dormir où le prisonnier dormait sur une botte de paille, habillé très froidement pour l’hiver avec simplement « un pantalon en toile et une veste de coutil ». Aucunes fenêtres, hormis une petite ouverture sur la porte d’entrée où le guichetier resté les yeux rivés sur le délinquant, donc aucune intimité. Aucun droit de sortie de cellule, condamné à rester enfermé tout le temps de sa purgation de peine.

c/ L’incarcération

Au XXe siècle, les conditions d’humanisation étaient invivables pour certains détenus. L’amélioration des parloirs a favorisé l’humanisation dans les prisons.

- Après

a/ Les peines

Aujourd’hui, les peines sont fixées en fonction du délit d’après le texte de Jean DANIEL.

b/ Les conditions de vie

Les conditions de vie, y sont toujours autant déplorables car certains détenus vont subir des sorts atroces, comme des viols. Dans les cellules, c’est gorgé de moisissures, surpeuplés, une vie monotone. La circulation de drogues se répand d’avantage. L’installation de la télévision a des bons atouts comme des mauvais.

c/ L’incarcération

La prison favorise des groupes, les délinquant vont se rassembler, les plus forts vont dominer les plus faibles.

Les conditions d’emprisonnement vont conduire à la déchéance de l’Homme. « On se suicide dans les prisons françaises six fois plus qu’on ne le fait à l’extérieur » Jean DANIEL.

Conclusion :

Pour conclure, on peut dire que les prisons ont des enjeux essentiel sur les délinquant tant sur la société. L’incarcération permet la réflexion aux détenus, assurer la sécurité de la population extérieure et change le comportement des prisonniers. La prison et l’enfermement ont inspiré les artistes car c’est un lieu et une situation insolite. Pendant l’enfermement nous sommes condamnés à réfléchir, on observe ce qu’il se passe autour de nous, cela fait débat. La prison est le lieu où tous les délinquants se trouvent, cela peut attirer l’œil mesquin des artistes et par la suite les inspirer pour de nouvelles histoires.