Pierre et Jean, Lecture analytique, chapitre 2
Par Andrea • 26 Octobre 2018 • 1 019 Mots (5 Pages) • 564 Vues
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II- Une méditation :
1) Pierre réfléchit profondément et surtout ce fit à son instinct et à ce qu'il ressent, du coup il se produit une comparaison avec le fait qu'il compare 'l'être instinctif et créant en lui un courant d'idées et de sensations douloureuse ou joyeuse', contrairement à 'celles que désire, qu'appelle, que juge bonne et saines l'être pensant, devenu […] de son intelligence'.
2)
'Ce désir de rencontrer quelqu'un pour ne pas être du même avis, et aussi ce dégoût pour les gens qu'il pourrait vois et pour les choses qu'ils pourraient lui dire'.
'Il avait l'esprit excitable et réfléchit en même temps'.
'déjà las de marcher et dégoutté de sa promenade avant même de l'avoir faite'.
3) Pierre parvînt à formuler l'hypothèse suivante :
Si je suis énervé, si je désire discuter avec quelqu'un juste pour le contredire, si j’éprouve ce dégoût envers les gens que je pourrais voir où les choses qu'ils pourraient me dire, c'est certainement la faute à l’héritage de Jean, il n'y a parfois des émotions que l'on en contrôle pas.
'D'où lui venait cet énervement […] et aussi ce dégoût pour les gens'.
Il en vînt à cette conclusion en ce lisant guider par son instinct, car pour lui 'l'homme sensitif dominait toujours l'homme intelligent'. Il se fiait donc à se qu'il ressentait et en cherchait la cause.
III- Conclusion :
1) La promenade de Pierre, commence dans une grande foule 'éclairée, animée, bruyante', mais se termine dans la solitude, seul dans sa réflexion.
Il éprouve plusieurs, sentiments, plusieurs désirs, certains dégoûts, certains sont même contradictoire.
'Il avait l'esprit excitable et réfléchit en même temps'.
Il s'interroge également sur les raisons de ces sensations, pourquoi ce dégoût ? Pourquoi cet énervement ?
Il en arriva à la conclusion que la cause de tout cela était l'héritage de Jean, il dit lui-même que 'Certes, on n'est pas toujours maître de soi, et on subis des émotions spontanées et persistantes, contre lesquelles on lutte en vain'.
Lors de sa méditation, Pierre se fit plus à son instinct, créant ainsi un 'courant d'idées et de sensations douloureuses ou joyeuse.'
Puis, sa réflexion terminé, Pierre s'enfonce 'vers le bout de la jetée', comme si il s'enfonçait dans sa solitude.
2) Cet extrait nous montre seulement un petite partie de l'enquête de Pierre, c'est, à ce moment là, de la curiosité qui pousse Pierre à continué son enquête, l'élément déclencheur de cette dernière n'arriva que plus tard, pour le moment Pierre est seulement, un homme dans sa solitude, plus tard ce sera toujours la même chose, mais en plus il sera accompagné par de la terreur et de la souffrance.
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