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Morales du livre 1 des fables de la fontaines

Par   •  19 Juin 2018  •  3 598 Mots (15 Pages)  •  3 787 Vues

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Les voleurs et l’Âne :

Cette fable raconte l’histoire de deux voleurs se battant pour un âne et tandis qu’ils se battent, un troisième brigand se saisit du bien. La morale de cette histoire est une observation qui montre que lorsque se battent des gens pour un bien qui ne leur appartient pas réellement, une tierce personne viendra sûrement se saisir de ce dernier réglant ainsi le problème. Et les premiers qui étaient trop occupés à se chamailler n’auront aucun recours puisque le bien ne leur appartenait pas réellement. Il vaut donc mieux partager équitablement plutôt que de tout vouloir et finir par ne rien avoir.

Simonide préservé par les Dieux :

Cette fable raconte l’histoire de Simonide, un auteur, qui a écrit pour un athlète un texte, mais vu qu’il n’avait rien à dire sur l’athlète, les deux tiers parlaient de Castor et de Pollux. L’athlète décida donc de ne payer qu’un tiers de la somme dû à l’auteur et de l’inviter à manger. Lorsqu’ils étaient à table l’auteur dû se rendre dehors et rencontra Castor et Pollux qui le prévinssent que la maison allait s’écrouler et l’athlète ainsi que ses invités furent blessés. Cette fable est un appelle à la sponsorisation des artistes (Mécénat).

La Mort et le Malheureux :

Cette fable raconte l’histoire d’un malheureux souhaitant tous les jours sa propre mort, puis, quand le jour fatidique arriva, il voulut que la mort s’en allât. La morale est qu’il vaut mieux être malheureux que mort.

La Mort et le Bûcheron :

Cette fable raconte l’histoire d’un bûcheron ne faisant que souffrir et qui décida d’appeler la Mort afin qu’elle le soulage. La morale est que la Mort règle tous les problèmes mais qu’il vaut mieux souffrir que mourir.

L’Homme entre deux âges et ses deux Maîtresses :

Cette fable raconte l’histoire d’un homme qui ne savait choisir entre deux femmes, l’une était agée et l’autre était jeune. La plus vieille enlevait les cheveux noirs de l’homme pour qu’il lui plaise plus tandis que la plus jeune lui enlevait les cheveux blancs, si bien qu’il finit chauve et qu’il décida de ne se marier à aucune des deux. La morale de cette fable est que ce n’est pas entre les femmes qu’il faut choisir mais en soi.

Le Renard et la Cigogne :

Cette fable raconte que Renard a invité la Cigogne à manger et qu’il a fait en sorte qu’elle ne puisse rien manger du à ses caractéristiques physiques. La Cigogne l’a, un peu plus tard, inviter à manger et lui a fait le même coup de telle sorte qu’il rentre chez lui à jeun. La morale de cette histoire est que si l’on joue un tour à quelqu’un, il faut s’attendre à être trompé en retour.

L’Enfant et le Maître d’école :

Cette fable raconte qu’un enfant tomba dans la Seine et qu’il fut sauvé par un arbre. Un maître d’école le vit et critiqua les gens qui dans cette situation ne feraient que réfléchir et parler avant de sauver l’enfant. Cette fable critique donc les gens qui face à un problème discutent d’abord puis sauve ce qu’il reste par la suite au lieu de faire l’inverse.

Le Coq et la Perle :

Cette fable raconte l’histoire d’un Coq qui trouve une perle et qui la donne à un lapidaire en l’échange d’une chose de bien moindre valeur et de celle d’un ignorant qui hérita d’un manuscrit et qui le donne à un libraire en l’échange d’une chose de bien moindre valeur. La morale de cette Fable est que le plus grand des trésors dans les mains d’un ignorant ne vaut pas grand-chose puisque ce dernier serait prêt à l’échanger contre des choses de peu de valeur.

Les Frelons et les Mouches à miel :

Cette fable raconte que du miel se trouva sans propriétaire et que les frelons et les abeilles dirent que c’étaient le leur. Le procès avec comme juge les guêpes prit beaucoup de temps jusqu’à ce que les abeilles disent qu’il suffisait de voir lequel des deux partis étaient capable de faire tel miel. Les abeilles eurent donc le miel pour elles puisque les frelons n’étaient pas capables de faire du miel. La morale de cette histoire est qu’il faudrait que le juge utilise son bon sens pour départager les querelles. Cette fable est en fait une critique du système judiciaire.

Le Chêne et le Roseau :

Cette fable raconte qu’un roseau et un chêne discutaient et que le chêne plaignait le roseau de ne pas être à l’abri du vent et de devoir se plier à chaque coup de ce dernier. Le roseau répondit qu’il se plis certes, mais ne rompt pas contrairement au chêne. D’ailleurs après cette conversation, un vent venu du nord fit plier le roseau et déracina le chêne. La morale de cette histoire est que le plus fort ne gagne pas toujours puisque le roseau en se pliant face au vent put lui survivre tandis que le grand chêne face à plus fort que lui ne pus résister.

Contre ceux qui ont le goût difficile :

Cette fable ne raconte pas d’histoire à proprement parler mais plutôt une réflexion qui amène à la conclusion que « Les délicats sont malheureux Rien ne saurait les satisfaire » ce qui sert aussi de morale.

Conseil tenu par les Rats :

Cette fable raconte l’histoire de rats qui ayant marre de se faire tuer par le chat décidèrent de se réunir pour prendre des décisions. La réunion se termina sur la sage décision qu’il fallait accrocher autour du coup du chat un grelot pour l’entendre venir de loin. La décision fut donc prise mais rien ne fut fait. La morale de cette histoire est plutôt une constatation qui est que beaucoup de gens se réunissent pour trouver des solutions mais cela ne sert à rien étant donné que personne ne les appliquera.

Le Loup plaidant contre le Renard par-devant le Singe :

Cette fable raconte qu’un loup après s’être fait voler porta plainte et accusa le renard son voisin. La personne qui jugea cette affaire fut le singe qui décida que tout deux devaient payer l’amende car le Loup a porté plainte alors que l’on ne l’avait pas volé et parce que le renard a volé le loup. La morale est que le singe dû rendre un jugement paraissant illogique et injuste puisqu’il ne pouvait rendre

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