Le récit poétique dans Rue des boutiques obscures.
Par Ramy • 8 Novembre 2017 • 3 148 Mots (13 Pages) • 675 Vues
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de vue interne permet aux lecteurs de percer le monde intérieur de narrateur et réduit la distance entre le narrateur et les lecteurs de sorte que les lecteurs peuvent communiquer profondément avec le narrateur dans un aspect mental. Le point de vue de Dieu autourise aux lecteurs de traiter l’intrigue objectivement et calement et faire une connaissance détailleuse sur le contexte. Le changement de focalisation non seulement présente aux lecteurs une imagerie mais aussi les laisse pénétrer dans l’esprit de narrateur. Cela donne un effet d’impact mental entre le narrateur et les lecteurs.
Le récit traditionnel fait grand cas du fil temporel, en même temp, la narration a la plage horaire concrète du début à la fin. Cependant, dans Rue des boutiques obscures, la place du temps est réduite. On ne connais pas à quel moment l’histroire commence et finit. Il ne s’agit que de certaines périodes comme ce soir, un quart moins six heures etc. L’ambiguité du temps pousse les lecteurs à suivre de près le développement de l’histoire. Cette spécialité correspond aux caractères du récit poétique qui s’attche plus aux intrigues qu’à la narration. Le roman compte quarant-sept chapitres dont la longueur est bien différente. Il arrive des altérance du temps entre les chapitres, il existe aussi l’ellipse ou le flash-back. La narration en majorité suit le fil temporel mais au fur et à mesure que le roman se déroule, Guy trouve sa mémoire peu à peu et il commence à se rappeler le temps perdu. Donc, le flash-back alterne avec la narration chronologigue. En outre de l’alternance de narration, le vitesse du récit est aussi déséquilibré, parfois, l’auteur utilise plusieurs chapitres pour raconter ce qui se passe au soir :quand Guy rencontre Stioppa, l’auteur consacre deux chapitres pour raconter leur entretient ; parfois, il utilise plusieurs paragraphes pour montrer un jour. Le changement de la vitesse rend le roman plus rythmé.
Le roman est intitulé Rue des boutiques obscures, de ce nom on peut déduire la couleur fondamentale du roman-le noir ou gris. En grande partie, les incidents se passent dans la soirée ou sous un temps brumeux. Parfois, la lumière est réduite à rien. Dans le septième chapitre, Guy a trouvé le ex-mari de Gay pour lui demander des informations concrètes. Leur premier rencontre se passe dans un bar où la lumière est faible. Ensuite, ils s’installent sur les marches où il n’y a presque pas de lumière. Je lui tendit la première photo. On ne voit rien ici, murmura Blunt. Il actionna un briquet mais il dut s’y prendre à plusieurs reprises car le vent éteignait la flamme. L’utilisation de noir a entouré le roman d’un atmosphère sombre et triste. Comme la première phrase du roman a dit: Je ne suis rien. Cette phrase en a établit la tonalité principale, une ambiance morne et spleenétique.
En tant que la couleur principale, l’obscurité domine du début jusqu’à la fin, quoi qu’il s’agisse de l’identité des personnages, la lumière ou le lieu. Guy a rencontré beaucoup des témoins du passé, de Stioppa-le réfugié ruisse, en passant le joueur du piano, le photograhe à un Jocky, tous les rencontres se passent sous une obscurité. L’entretient avec Stioppa se déroule dans sa petite maison où Stioppa allume une lampe à abat-jour rose saumon qui se trouvait sur sa table de chevet et cela faisait un foyer de lumière douce et des ombres au plafond. Même au moment où ils sortent du restaurant « de l’île », le brouillard s’était levé, un brouillard à la fois si tendre et glacé que les entrées des escaliers faisaient des taches jaunes et constituaient les seuls points de repère. Il en est de même pour les rencontres avec Blunt sur les marches sans aucune lumière,et celui avec Bon dans la salle à manger d’été où l’électricité est coupée.
L’obscurité domine l’atmosphère, mais Modiano utilise beaucoup de couleur pour faire le portrait des personnages. Le chauffeur qui conduit Guy à chercher Stioppa, Guy attache à la couleur qu’il porte :Et moi je regardeais ce gros blond aux yeux bleus et à la peau blanche lire son journal vert. Quand Guy accompagnie Blunt de rentrer chez lui, au lieu de le description physique,l’auteur met accent sur les couleurs de la femme de Blunt. :Venant de l’appartement uen jeune femme rousse, qui portait un peignoir de bain blanc, apparut. De même pour l’image de ses amis : Une tête passa par l’entrebâillement de la porte, une blonde aux cheveux très courts et au rouge à lèvres clair, presque rose. Puis une autre tête, celle d’unbrun à peau mate. La lumière de l’ampoule donnait à ces visages l’aspect de masuqes et le brun souriait. L’image colorée des personnages d’un côté atténuent la tristesse et l’ambiance morne du roman, d’autre côté fait un contraste entre le décor et les personnges. Le temps que l’histoire se passe peut dater de Seconde Guerre Mondiale. C’est une période horrible, surtout pour les juifs. A cause de leurs identité spéciale, les juifs ont suffit des masacres, des menaces, pour échapper les assasinats, ils errent partout. Toute la période de Seconde Guerre Mondiale est une époque insupportable qui pleine des souvenirs douleureux. Donc, Modiano choisit l’obscurité comme la couleur du fond, c’est pour faire ressortir la lourdeur et la douleur de l’époque. La présence des images colorées a pour objet de nous pousser à se soucier les caractères spécifiques des hommes. L’époque est lourde, noire, mais il ne faut pas que faire attention au contexte social. En tant qu’une partie composante, l’homme est le centre de la société, il nous oblige à faire attention à la condition personnelle des hommes surtout dans une période triste. Le contraste entre la couleur de fond et les images des personnes produit un effet de scène qui rend le récit plus poétique et coloré.
Pour le récit poétique, le symbole joue un rôle important qui permet d’atteindre la réalité supérieure de la sensibilité et inspirent l’imagination poétique. Selon Hegel, Le symbole est un objet sensible qui ne doit pas être pris en lui-même tel qu’il s’offre à nous, mais dans un sens plus étendu et plus général. Il y a donc dans le symbole deux termes : le sens et l’expression. Le premier est une conception de l’esprit, le second un phénomène sensible, une image qui s’adresse aux sens. Dans ce livre, le symbole le plus important est « l’hommes plages». Ce sont des êtres dont les traces se perdent. Il surgissent un beau jour du néant et y retournent après avoir brillé quelques paillettes. Et personne ne remarquera qu’un jour il avait disparu des photographies. L’homme des plages est le symbole de tous les personnages du roman n’importe qu’il
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