Le pont Mirabeau d'apollinaire, annalyse
Par Raze • 18 Avril 2018 • 646 Mots (3 Pages) • 698 Vues
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prédominance de la souffrance.
* Anaphore vers 13, 14 ( "L’amour s’en va comme cette eau courante" / "L’amour s’en va" ) => l’accent de la césure sur le verbe "aller" accentue le départ.
2 ) Qui prend une dimension universelle
* Fonction de la poésie lyrique; le lecteur s’y reconnait. Le "je" n’est pas individualisé => identification facile. L’être aimé n’est pas précisément évoqué. Le possessif "nos" peut avoir un sens général ( v.2 : "Et nos amours" ).
* Vérité générale avec l’anaphore v.13/14
* La simplicité des sentiments évoqués rend le poème universel ( "joie", "peine", "Espérance" = allégorie avec maj )
ccl: le thème de l’amour qui ne dure pas est lié à la question du temps qui passe. Le lien entre ces deux thèmes fait l’objet d’une évocation originale.
III - Le thème lyrique de la fuite du temps
1 ) Une image classique de la métaphore de l’eau qui coule
* Référence de l’eau: seule référence précise ( pont Mirabeau + Seine ).
* VOC du mouvement: "coule" v.1, "passe" v.9, "s’en va" v.13, "courante" V.13
=> VOC relié au temps: "vienne la nuit" v.5, "les jours s’en vont" v.6, "passent les jours et passent les semaines" v.19, "les amours reviennent" v.21
* Tout les verbes sont au présent => ça dure et se répète.
* Lien entre l’amour et le temps affirmé à pls reprises: v.1/2: "et" relie Seine et amour
* v.10: "Des éternels regards l’onde si lasse"
=> Personnification
Regard des amoureux qui contemplent l’eau qui coule
Désir d’éternité
v.13: "comme cette eau courante" = comparaison.
* Le subj peut e
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