Plan sur Méditations poétiques (recueil de 24 poèmes) / «Le lac» D'Alphonse de la martine

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a) «se peut-il que» (v.39), «Que les jours de malheur?» (v.42), «Que faites-vous» (v.49) etc.

b) (si nécessaire) «He quoi!» (v.44), «Quoi! tout entiers perdus!» (v.45)

à Le poète prolonge son questionnement

C.A. : (conclusion du paragraphe A) Le poète est plongé dans une profonde réflexion

B. (2e argument secondaire) Le poète recherche la justice

1. (1re preuve : procédé + citation + commentaire) Ton exclamatif + lexique de la perte

a) «passés pour jamais! Quoi ! tout entiers perdus !» (v.45), «Ne nous les rendra plus !» (v.47)

à Le poète est en révolte contre la puissance du temps

2. (2e preuve : procédé + citation + commentaire) métaphore +variation de longueur de vers +répétition

a) Toute la septième strophe (v.27 à 30)

b) (si nécessaire) «Assez de malheureux ici-bas vous implorent» (v.27), «prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent» (v.29) = Vers longs

c) «Coulez, coulez pour eux» (v.28), «Oubliez les heureux» (v.30) = Vers courts

à Met de l’emphase sur l’injustice du temps qui coule trop vite pour les mauvaises personnes

C.B. : (conclusion du paragraphe B) Le poète trouve injuste la manière avec laquelle le temps choisi ses victimes

C.I. : (conclusion de la partie I) Le poème entier est la réflexion du poète sur l’injustice dû à la mort prématuré de Julie Charles

III. (3e argument principal) Vision personnelle du poète à propos du temps

A. (1er argument secondaire) Le poète est obsédé par le temps

1. (1re preuve : procédé + citation + commentaire) Champs lexical du temps

a) «toujours», «eternel», «jamais», «temps»

à Montre que la notion du temps est très présente dans la vie du poète

2. (2e preuve : procédé + citation + commentaire) Le narrateur présent

a) (v23) «Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices !

Suspendez votre cours (…)»

à Le destinataire est le temps lui-même.

C.A. : (conclusion du paragraphe A) Il est obsédé par le temps et compte lui dire personnellement

B. (2e argument secondaire) Le poète suggère de profiter du temps qu’il nous reste et d’aimer

1. (1re preuve : procédé + citation + commentaire) Répétition

a) «Aimons donc, aimons donc! de l’heure fugitive» (v.35)

à Met l’accent sur l’importance d’aimer le moment présent

2. (2e preuve : (procédé + citation + commentaire) Champs lexical de la vitesse

a) «rapides délices» (v.25), «m’échappe et fuit» (v.32), «plus lente» (v.33), «l’heure fugitive» (v.35), «Hâtons-nous, jouissons!» (v.36), «même vitesse» (v.41) etc.

à Le temps et les bons moments passent vite

C.B. : (conclusion du paragraphe B) Le poète dit d’aimer et de vivre les cours moments présent

C.III. : (conclusion de la partie III) L’auteur sait maintenant qu’il ne peut rien changer au passé, il dit alors de profité des moments futur pendant qu’il est encore temps

CONCLUSION

 Confirmation : Après avoir été une victime du temps, le poète plonge dans une longue réflexion qui le mène à être obsédé de celui-ci pour ensuite l’accepter et tenter de profiter de ce qui lui reste

 Synthèse : C.I. Le poète

 Ouverture :