Devoir Guy de Maupassant, Une vie

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traversé de joie » ;  « un élan vers un bonheur nouveau » ; « Elle se trouvait […] délivrée, apaisée, heureuse ». A partir de la ligne 31, le narrateur glisse un peu de son ironie, il nomme le nouveau né « cette larve ». Il prend le bébé gesticulant et bruyant pour un insecte qui n’est pas encore sortie de son cocon, cette ironie est facilement remarquable grâce au connecteur logique (de temps) placé juste avant qui est « lorsqu’elle ».A la ligne 31, Guy de Maupassant laisse le lecteur perplexe, on ressens à la fois une réelle joie de la part de Jeanne quand elle voit son enfant naître, mais elle parle de lui comme si c’était un petit insecte « fripé » ;  « grimaçant » ;  « vivant ». Ce n’est pas cohérent avec la joie qu’elle ressent juste avant. La est le paradoxe. Dès lors que la jeune maman vit son fils, elle devient instantanément une mère aimante, protectrice (« il lui fallait toujours le berceau près de son lit). Elle est à présent maman, elle aime son bébé, elle est très attentive et protectrice.

Sa haine disparaît en donnant la vie à son fils.

3.Cet extrait de « Une Vie » de Guy de Maupassant relate du réalisme par cette vision du « tout » réel. Il laisse place aux sentiments, au côté sociable qui prennent rapidement le dessus sur la situation de base d’une mère qui accouche dans une maternité. Comme le veulent beaucoup de romanciers réalistes, toute la narration est écrite à la 3ème personne du singulier. Guy de Maupassant tente de nous expliquer que une naissance peut simplement changer la vie de quelqu’un. Aider une femme à passer outre de beaucoup de problème. La naissance de cet enfant est synonyme d’ignorance pour les 2 personnes qu’elle à en face d’elle. (Rosalie et Julien) C’est un véritablement changement, un tournant de la vie de Jeanne. La naissance d’un être, c’est une nouvelle vie, d’où le titre de cette nouvelle. « Une vie ». La fin de cet extrait est ouvert.