O voleur, ô voleur, quelle vie est la tienne?, Le Clezio
Par Christopher • 5 Novembre 2018 • 1 249 Mots (5 Pages) • 1 227 Vues
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non et après lui a demandé de partir parce que il y a son acheteur qui allait bientôt arriver. Sa femme sait mais ses enfants croient que leur père travail comme avant.
L’interviewer lui demande s’il aime cette vie
Il répond qu’au début il n’aimait pas mais que maintenant il n’a pas d’autres alternatives
L’interviewer va lui poser des questions sur ses habitudes, il commence par lui demander s’il sort toutes les nuits
Le narrateur répond que ça dépend des endroits, parfois il doit rester longtemps sans sortir car il sait qu’il a plus de risque de se faire prendre mais que des fois, il a des dettes à payer alors il se met à chercher les morts (comme il dit) c’est-à-dire qu’il lit le journal et il regarde s’il y a une personne qui riche est morte, il sait qu’il n’y aura personne chez elle le jour de son enterrement.
Après, il va décrire les méthodes qu’il emploie pour entrer chez les gens.
En premier il dit qu’il s’assure qu’il y ait personne ensuite il force la serrure et si elle résiste, il casse un carreau avec une ventouse. Il met toujours des gants pour ne pas laisser de trace. Une fois à l’intérieur de la maison, il emporte tout ce qui se vend bien à condition que ce ne soit pas trop encombrant car il doit faire vite. Ensuite il charge tout dans la voiture et il part.
Il dit qu’il est soulagé d’avoir une voiture car sinon il aurait pu être forcé à rejoindre un gang ce qui lui aurait déplu car il dit que les gangsters font ça pour le plaisir mais que lui fait ça pour vivre et que s’il retrouve du travail il arrêtera tout de suite de voler comme ça il pourrait retrouver la même vit qu’il vivait au paravent sans avoir à se soucier de l’avenir.
Mais maintenant, il a l’impression que ça vie est vide et qu’il n’y a rien derrière tout ça. Il compare ça à un décor. Il a l’impression que tout ça est faux et truqué, qu’un jour on va lui dire que c’est de la comédie et que ça n’appartient à personne.
L’interviewer lui demande s’il pense que tout redeviendra comme avant
Le narrateur dit qu’il ne sait pas quelques fois il se dit que c’est un mauvais moment et que ça va passer, qu’il va pouvoir recommencer à travailler. Mais le reste du temps il se dit que ça ne finira jamais, que les gens riches n’ont pas de considération pour ceux qui sont dans la misère, qu’ils gardent leurs richesse enfermés dans leurs maisons vides, dans leurs coffre-fort. Et pour avoir quelques choses, pour avoir une miette de leur fortune, il faut entrer chez eux et la prendre.
L’intervieweur pose une dernière question et lui demande qu’est-ce que ça lui fait de savoir qu’il est devenu un voleur ?
Il répond que ça l’accable, que le fait de devoir mentir à sa famille sa le fait se rendre mal surtout quand il à dit à sa femme qu’il n’y avait aucun risque car la vérité c’est qu’un jour il y aura un problème et ça va lui être fatale.
Il explique que ça a failli dégénérer quelques fois surtout une fois où il se faisait tirer dessus à coups de fusil.
Il sait que ça va arriver mais il ne sait pas quand peut-être demain, il se dit que peut-être la police va l’attraper et il passera des années en prison. Mais il préfère penser à sa femme et à ses enfants plutôt qu’à lui car lui il ne vaut rien.
A la fin de l’entretien il se souvient d’une chanson chantée par son grand-père qui commençait avec
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